Once Upon a Time in the Kitchen – Western Spaghetti-Nouilles

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Sharm

Veni, vidi... déchanté.
VIB
Once Upon a Time in the Kitchen – Western Spaghetti-Nouilles





Ça commence toujours comme ça.

Une table, deux bols, et ce silence…. Pas celui qui apaise et repose les sens, non. Celui qui pèse, qui t’entaille la peau pour s’y infiltrer et ramper jusqu’aux tréfonds de ton âme. Là où même le diable n’a pas accès. Moi qui ai toujours aspiré au silence, mais ce silence-là, celui qui amplifie les cliquetis des couverts. Ces vilains cliquetis, symétriques, réguliers, immanquables, ne sont qu’un compte à rebours vers l’apocalypse conjugal.



Elle, en face, religieusement concentrée sur ses nouilles. Ses mouvements sont précis, aussi précis qu’un chirurgien maniant un bistouri. Pas un bruit, pas un mot. Juste cette maîtrise froide, avec une précision suisse, horlogère jusqu’à la moelle. Et moi, poète fou, pris au piège à ce jeu qui n’est pas du ressort de mon code génétique.



Je me demande comment on en est arrivé là ?

Peut-être à cause de ces échanges silencieux, de ces non-dits empilés comme des plats sales d’un célibataire qui refuse de les laver. Peut-être à cause de cette façon qu’elle a de transformer des mots simples comme “oui”, “non”, “d’accord”, “merci”, en des lames acérées, juste assez pour ne jamais faire saigner, mais aussi puissantes que des lancers destinés à faire tomber un mammouth en pleine Sibérie. Quelle différence entre toi, Sharm, et ce mammouth ?

Le mammouth est mort sous les lancers. Mais toi, tu n’es pas de ceux qui fuient. Tu es de ceux qui transforment l’absurde en art, qui prennent le chaos et le métamorphosent en musique. Alors même ici, dans ce salon, où la tension est plus épaisse qu’une dague empoisonnée, je trouverai de quoi rire.

Parce que c’est ça, l’arme secrète des poètes fous : rire en pleine tempête.



Bienvenue dans ma cuisine.

Là où les regards tuent plus que les mots, et où chaque bouchée cache un duel silencieux. Parce qu’ici, dans ce western spaghetti de l’âme, les émotions mijotent à feu doux, jusqu’à exploser en saveurs rarement explorées. Et les vraies batailles se mènent à la fourchette. Et ici, l’Eldorado, c’est juste de survivre.



Alors, accroche ta serviette. Ici, on sert du chaos à la louche.

Once Upon a Time in the Kitchen…




@SpiceKhoubz

Les dieux ont exaucé les vœux des shamans plus vite que ces derniers n’aient prié. Les éclairs sont lancés. Les dés aussi. Et le fou ? Libéré.







To be continued..
 
Dernière édition:
Sharm reloaded

même pas sûr que ce soit du ressort de @Trackergirl - "lionne aux superpouvoirs psychiatriques et pilier de HDC" (je me trompe peut-être sur le titre exact, je le cite de mémoire) selon le célèbre nazôréen québécois du forum - laquelle te chargera d'honoraires délirants pour un coaching option mâle alpha, un programme skincare en profondeur et qui se résignera finalement à la camisole chimique, sinon à l'injection létale.
 
Dernière édition:
Sharm reloaded

même pas sûr que ce soit du ressort de @Trackergirl - "lionne aux superpouvoirs psychiatriques et pilier de HDC" (je me trompe peut-être sur le titre exact, je le cite de mémoire) selon le célèbre nazôréen québécois du forum - laquelle te chargera d'honoraires délirants pour un coaching option mâle alpha, un programme skincare en profondeur et qui se résignera finalement à la camisole chimique, sinon à l'injection létale.

SpiceKhoubz, prophète malgré lui, témoin du déluge et de la rédemption.

Les vents du chaos ont soufflé, et même @Trackergirl, friande de chansons indiennes, et clasheuse au "Tozz" facile, avec ses superpouvoirs, ses programmes mâle alpha et son skincare en profondeur, devra se résoudre à une vérité simple : certains phénomènes ne se coachent pas. Ils dérivent, inexorables, jusqu’à retrouver leur sanité enfouie dans leur propre folie.

Camisole ? Injection létale ? Encore faudrait-il pouvoir capturer une anomalie temporelle. Préparez les seringues, mais pas trop vite… J’ai encore un ou deux chapitres à écrire.
 
sacrée plume
elle mange ses nouilles de façon chirurgicale et toi, tu écris au scalpel

pour rester dans le taimes


Chacun son instrument.

Au final, c’est toujours une question de précision. Certains dissèquent des émotions, d’autres des illusions. Et puis il y a ceux qui manient le scalpel en cuisine… et ceux qui s’en servent pour graver des vérités. M’enfin… ce qu’ils pensent être des vérités.
 
Chacun son instrument.

Au final, c’est toujours une question de précision. Certains dissèquent des émotions, d’autres des illusions. Et puis il y a ceux qui manient le scalpel en cuisine… et ceux qui s’en servent pour graver des vérités. M’enfin… ce qu’ils pensent être des vérités.

Passer de l'arme à l'instrument, c'est passer, au moins sur le plan lexical, du combat au combo.
Je ne pollue pas plus, j'attends la suite des réjouissances.
 

Chapitre 1 – L’horloge et le chaos




Partie 1



Il y a des vérités qu’on sait avant même d’ouvrir les yeux. Comme le goût amer d’un café trop serré. Comme la certitude qu’un Tarantino finira mal.


Ça ne tiendra pas. C’est déjà écrit dans les étoiles.

Pas parce que l’un est mauvais, l’autre est bon. Pas parce que l’amour manque. Ni que le désir est absent. Mais parce que certaines horloges tournent à une fréquence qui ne tolère pas le moindre grain de sable, sous peine de sombrer dans le chaos.



Mon chaos.

Elle, c’est le mécanisme suisse, réglé au quart de tour. L’ancêtre de l’horloge atomique. Vainqueur des temps modernes. Parrain infaillible des tic-tacs et des diktats. Le Big Brother qui nous tient par le poignet… jusqu’aux chiottes.

Moi, c’est l’ouragan qui traverse un marché de Marrakech en plein ramadan, renversant les babouches, faisant déborder le café sur les terrasses, soulevant les mégots oubliés des cendriers.

Une rafale insaisissable qui vole une pincée d’épices dans chaque sac en toile et l’explose en sortilège.

L’artisan du rass l’hanout flottant, un apéritif olfactif interdit, troublant les derniers instants du jeûne, et réveillant les glandes salivaires desséchées dans l’attente fébrile du grand ftour.

Et ces fidèles, eux ? Non, ils ne s’apprêtent pas à manger des nouilles. Ce serait un sacrilège.



Ce couple, ce sacrilège.

À quel moment on s’est dit que c’était une bonne idée, ce duo ?




Partie 2



Le duo, le duel


Miss Horloge Suisse
: Je crois qu’il faut qu’on parle.


Le « il faut qu’on parle » dans la bouche d’une femme, c’est comme entendre un flingue s’armer dans un western spaghetti. Le temps s’arrête. Le silence se dilate. L’air devient lourd. Une mouche suspend son vol, même la gravité hésite. Quelqu’un va mourir ce soir, mais qui ?


Sharm (murmure) : Ouhhh, ça sent le headshot…

Miss Horloge Suisse : Pardon ?

Sharm : Non, rien, je t’écoute.



La mouche reprend son vol et débarque pile quand je finis ma phrase :
« …je t’écoute. ».

Elle me parle en dialecte de mouche.

Bzz.
Ça commence bien.

Bzz Bzzzzz Bzz Bzzz Bz

Cerveau, assiégé par les pendules, pense comprendre.

« Mate mes ailes, pauvre bipède !
Tu crois que je viens d’apparaître ? Bzz…
Je planais déjà sur ta déchéance ! Bzz…
Et toi, misérable mortel, tu vas y laisser ta peau. Bzz…
Bzhahahaha ! Bzhahahaha !! »




Un raclement de gorge sec me ramène sur terre.

Miss Horloge Suisse : Tu es… instable.



Instable.

Le mot préféré des horloges suisses. Si tu n’es pas un engrenage bien huilé dans leur système, tu es un grain de sable. Et moi, je suis une put... de tempête de sable.


Sharm : Tu veux dire… que je ne rentre dans aucun cadre bien précis, que je suis un électron libre, imprévisible, un artiste du chaos…


Miss Horloge Suisse marque une pause.
Me fixe.
Sans broncher.


Miss Horloge Suisse : Je veux dire que tu es un fou.




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To be continued..
 
Dernière édition:
Toujours trop fort à l'écriture 👌👌

Le silence dont tu parles dans ton premier écrit, est horrible. Tu as juste hâte que le repas se finisse !! Et tu pries pour que l'autre sorte vite de la maison 🤣🤣
 
Toujours trop fort à l'écriture 👌👌

Le silence dont tu parles dans ton premier écrit, est horrible. Tu as juste hâte que le repas se finisse !! Et tu pries pour que l'autre sorte vite de la maison 🤣🤣

Le silence où même les assiettes ressentent le malaise, jusqu’à ce que la plus téméraire lâche : "Terminez vite de bouffer. C’est irrespirable ici. Vous avez 5 min grand max, sinon je me casse d'ici"

30 secondes plus tard, un fracas de vaisselle brisée retentit. L'assiette aura tenu parole. Un peu trop même :D
 
Il semble que les malentendus et les silences qui s’installent entre vous soient le reflet d’une dynamique complexe, où chacun interprète les actions de l’autre à travers le prisme de ses propres attentes et blessures. Sans prétendre détenir la vérité, il est possible que ces tensions naissent d’un mélange de fierté, d'immaturité et de lassitude, où les mots manquent pour apaiser les frustrations accumulées. Peut-être serait-il opportun de prendre du recul pour réfléchir à vos comportements respectifs, afin de dépasser ces schémas répétitifs et de tendre vers une communication plus sincère et constructive. Travailler sur soi, sans nécessairement chercher à désigner des torts, pourrait être une voie salutaire pour renouer un dialogue apaisé et retrouver une forme d’équilibre.
 
Il semble que les malentendus et les silences qui s’installent entre vous soient le reflet d’une dynamique complexe, où chacun interprète les actions de l’autre à travers le prisme de ses propres attentes et blessures. Sans prétendre détenir la vérité, il est possible que ces tensions naissent d’un mélange de fierté, d'immaturité et de lassitude, où les mots manquent pour apaiser les frustrations accumulées. Peut-être serait-il opportun de prendre du recul pour réfléchir à vos comportements respectifs, afin de dépasser ces schémas répétitifs et de tendre vers une communication plus sincère et constructive. Travailler sur soi, sans nécessairement chercher à désigner des torts, pourrait être une voie salutaire pour renouer un dialogue apaisé et retrouver une forme d’équilibre.

Habibi s'ils font tout ça nous on passe comment nos soirées popcorn?

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Habibi s'ils font tout ça nous on passe comment nos soirées popcorn?

Regarde la pièce jointe 407998
fi samim :D

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Tant qu'il reste des nouilles, y a bon espoir qu'aucun d'entre vous ne finisse haché menu et servi en plat de résistance.
Après le travail introspectif et le regard rétrospectif, il faut parvenir à accepter les défauts de l'autre comme si on l'avait mis au monde, le supporter comme on supporte la chair de notre chair, pour le meilleur et pour le pire.
Et comme on dit à table ! on finit bien par dire au lit ! et à la fortune du mot, un nouveau champ des possibles s'offrira à vous.

Et comme elle aura commencé par exiger un déjeuner en paix, elle finira par un je n'ai pas d'ami comme toi @Boystomen la seule qui suit :D

 
Once Upon a Time in the Kitchen – Western Spaghetti-Nouilles





Ça commence toujours comme ça.

Une table, deux bols, et ce silence…. Pas celui qui apaise et repose les sens, non. Celui qui pèse, qui t’entaille la peau pour s’y infiltrer et ramper jusqu’aux tréfonds de ton âme. Là où même le diable n’a pas accès. Moi qui ai toujours aspiré au silence, mais ce silence-là, celui qui amplifie les cliquetis des couverts. Ces vilains cliquetis, symétriques, réguliers, immanquables, ne sont qu’un compte à rebours vers l’apocalypse conjugal.



Elle, en face, religieusement concentrée sur ses nouilles. Ses mouvements sont précis, aussi précis qu’un chirurgien maniant un bistouri. Pas un bruit, pas un mot. Juste cette maîtrise froide, avec une précision suisse, horlogère jusqu’à la moelle. Et moi, poète fou, pris au piège à ce jeu qui n’est pas du ressort de mon code génétique.



Je me demande comment on en est arrivé là ?

Peut-être à cause de ces échanges silencieux, de ces non-dits empilés comme des plats sales d’un célibataire qui refuse de les laver. Peut-être à cause de cette façon qu’elle a de transformer des mots simples comme “oui”, “non”, “d’accord”, “merci”, en des lames acérées, juste assez pour ne jamais faire saigner, mais aussi puissantes que des lancers destinés à faire tomber un mammouth en pleine Sibérie. Quelle différence entre toi, Sharm, et ce mammouth ?

Le mammouth est mort sous les lancers. Mais toi, tu n’es pas de ceux qui fuient. Tu es de ceux qui transforment l’absurde en art, qui prennent le chaos et le métamorphosent en musique. Alors même ici, dans ce salon, où la tension est plus épaisse qu’une dague empoisonnée, je trouverai de quoi rire.

Parce que c’est ça, l’arme secrète des poètes fous : rire en pleine tempête.



Bienvenue dans ma cuisine.

Là où les regards tuent plus que les mots, et où chaque bouchée cache un duel silencieux. Parce qu’ici, dans ce western spaghetti de l’âme, les émotions mijotent à feu doux, jusqu’à exploser en saveurs rarement explorées. Et les vraies batailles se mènent à la fourchette. Et ici, l’Eldorado, c’est juste de survivre.



Alors, accroche ta serviette. Ici, on sert du chaos à la louche.

Once Upon a Time in the Kitchen…




@SpiceKhoubz

Les dieux ont exaucé les vœux des shamans plus vite que ces derniers n’aient prié. Les éclairs sont lancés. Les dés aussi. Et le fou ? Libéré.







To be continued..
:D

 
Chapitre 2 – Discussion autour d’une table spirale






Sharm : — Tu savais à quoi t’attendre en choisissant un... un fou.

Miss Horloge Suisse : — Non, Sharm. J’ai choisi un homme qui semblait avoir une profondeur fascinante, un esprit unique, un brin de mystère… Mais ce n’est pas du mystère, c’est un labyrinthe. Et moi, je ne veux pas passer ma vie à chercher la sortie.

Sharm : — Un labyrinthe ? Si tu veux que je te spoile le jeu… j’en connais une sortie, pas très loin.

Miss Horloge Suisse : — Recommence pas avec ça !

Sharm : — Bon écoute… J’ai essayé d’être aussi carré que le damier d’un échiquier… mais toi, t’avances comme un pion… et moi, comme un cavalier. Ou… un fou.

Miss Horloge Suisse : — Un pion ? Un pion ?? Donc pour toi, je ne suis qu’une boniche ?!

Sharm : — Tu interprètes mal. J’veux dire... T’es un pion qui sait exactement où il va… Qui vise rien de moins que la couronne royale.



S’il survit aux cases noires et blanches… Perso, je te vois déjà en PLS sur e5. Ou d4.



Miss Horloge Suisse : — Ah… donc moi, je me tape la galère sans me retourner, et toi, tu pars en freestyle ? Zigzague comme un cheval... Ou pire, file en diagonale comme un fou ?

Sharm : — Tu vois, tu parles déjà de galère pour gravir les échelons, alors que moi, je prends plaisir à errer dans ce labyrinthe de diagonales et de sauts impossibles…

Miss Horloge Suisse : — Alors là, je ne comprends plus rien, Sharm. J’aimerais être dans ta tête, des fois.


Surtout pas. Si tu voyais le bordel dans ma tête.



Sharm : — Bon écoute. J’ai essayé de respecter le rythme de ta vie au jour le jour. Mais je suis né pour perdre pied dans les torrents de mes passions.

Miss Horloge Suisse : — Et moi, j’suis née pour quémander un semblant de stabilité, c’est ça ?

Sharm : — La stabilité que tu cherches, c’est surtout que je m’aligne sur tes priorités… Mais voilà, moi, je suis meilleur pour admirer les belles choses que pour leur trouver une utilité.

Miss Horloge Suisse : — Ah ouais ?! Et moi, j’ai quelle "utilité", du coup ?

Sharm : — T’as des aiguilles. À force de sauter pour ne pas m’y prendre les pieds, je finirai tôt ou tard par me vautrer, me casser la gueule… Et te casser aussi.



Une tragédie shakespearienne inversée, à coup de marteau… Pas de poison romantique, pas de poignard tragique.
Juste deux âmes éclatées sur le carrelage de la cuisine, entre une théière et un tabouret bancal.
Roméo et Juliette, édition Ikea.




Miss Horloge Suisse : — Me casser ?

Sharm : — Ouais, c’est comme vouloir dompter le monstre du Loch Ness dans un bocal pour poisson rouge.

Miss Horloge Suisse : — Tu oses me traiter de poisson rouge ???

Sharm : — Non… Te traiter de poisson rouge ce serait une insulte à ta mémoire… Tu te souviens même des horreurs que j’ai sorties de ma bouche il y a deux ou trois ans… Et que tu me rappelle à chaque dispute, alors que moi, j’ai tout zappé…

Miss Horloge Suisse : — Ahhh donc maintenant je suis un vulgaire bocal rancunier ?!



Mais bordel…



Sharm : — Non, non… Toi, t’es la montre suisse, la haute précision, un ornement que seuls les riches peuvent s’offrir.

Miss Horloge Suisse : — Et toi, tu es quoi ?

Sharm : — Un pauvre meuble qu’on monte sans lire la notice. Au bout de trois mois, il penche, et un jour, il s’effondre sans raison. Et là, au milieu des débris, quelqu’un dira sûrement : "Il était… instable"













To be continued..
 
Dernière édition:
Mdr t as vu ? Guelbou 3aaamer lbarhouch on dirait qu il sort de 3 divorces et 5 ans de cabane pour violence conjugale :D

Un petit prophète :D

Franchement, ces gosses précoces en intelligence sociale, j’ai l’impression que ça n’existe qu’au Maroc. Tu les trouves confiants, imperturbables, perspicaces, et carrément intrépides. Le type pourrait deviner le sexe d’une fourmi juste en la faisant trembler, et il ne se trompe jamais. Un vétéran de la life, qui aura tout vu dans le ventre de sa mère.
 
Un petit prophète :D

Franchement, ces gosses précoces en intelligence sociale, j’ai l’impression que ça n’existe qu’au Maroc. Tu les trouves confiants, imperturbables, perspicaces, et carrément intrépides. Le type pourrait deviner le sexe d’une fourmi juste en la faisant trembler, et il ne se trompe jamais. Un vétéran de la life, qui aura tout vu dans le ventre de sa mère.

ça me rappelle un documentaire qu'on avait débriefé @amraam
 
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