maidoc
DR IDRISSI M. AHMED
ORAISON, AINSI PARTAIT ZAHRA THOUSTRA.
LECTEUR,
Je vous offre quelque chose à lire, pour réfléchir, gratuitement, sur votre cas ! Un devoir de vacance, (dans le sens du vide et de la partance), une lecture ramadanesque pour la réflexion et la délivrance de cette âme qui est partie, celle de Lalla Khadija.
DOCTEUR,
Docteur, disait-elle, je souffre, je suis timide, je nai jamais approché le Roi. Je ne sais comment lui demander ce qui me manque. Mais, SM na pas de baguette magique ni de boule de cristal pour me soigner ! Je souffre dune certaine timidité, qui se confond avec le respect dautrui. Ça doit provenir de léducation reçue de mes parents. Sauf que la colère me rend courageuse et me donne des forces qui dépassent ma santé et qui surprend les gens. Et puis, si avec Dieu, je mentretiens sans entraves ni intermédiaires, chaque jour, pourquoi pas avec le Sultan ?
MON DIEU !
Seulement, mon Dieu, le soleil a disparu de ma fenêtre. Les nuages et la lumière aussi. Es-Tu encore là ? Ou parti avec nos ancêtres, eux qui ont pourtant bien cru. Ou, as-Tu été chassé par les gratte-ciels du quartier ? Perdu par nos maîtres, ou spolié par la faute de leurs parrains ? Je suis veuve de mes amis et orpheline de dieu. Au moment de partir, je ne comprends pas pourquoi je suis là, ni pourquoi je suis venue. Jaurais voulu rester à labri chez le bon Dieu, sans besoin de descendre ici et si bas Dieu aura-t-Il quelque compassion en entendant cela, Majesté ? "
Ainsi parlait Zahra Thoustra.
LA SUITE EST ICI :
http://www.rezoweb.com/forum/sante/myastheniagravi/38115.shtml
LECTEUR,
Je vous offre quelque chose à lire, pour réfléchir, gratuitement, sur votre cas ! Un devoir de vacance, (dans le sens du vide et de la partance), une lecture ramadanesque pour la réflexion et la délivrance de cette âme qui est partie, celle de Lalla Khadija.
DOCTEUR,
Docteur, disait-elle, je souffre, je suis timide, je nai jamais approché le Roi. Je ne sais comment lui demander ce qui me manque. Mais, SM na pas de baguette magique ni de boule de cristal pour me soigner ! Je souffre dune certaine timidité, qui se confond avec le respect dautrui. Ça doit provenir de léducation reçue de mes parents. Sauf que la colère me rend courageuse et me donne des forces qui dépassent ma santé et qui surprend les gens. Et puis, si avec Dieu, je mentretiens sans entraves ni intermédiaires, chaque jour, pourquoi pas avec le Sultan ?
MON DIEU !
Seulement, mon Dieu, le soleil a disparu de ma fenêtre. Les nuages et la lumière aussi. Es-Tu encore là ? Ou parti avec nos ancêtres, eux qui ont pourtant bien cru. Ou, as-Tu été chassé par les gratte-ciels du quartier ? Perdu par nos maîtres, ou spolié par la faute de leurs parrains ? Je suis veuve de mes amis et orpheline de dieu. Au moment de partir, je ne comprends pas pourquoi je suis là, ni pourquoi je suis venue. Jaurais voulu rester à labri chez le bon Dieu, sans besoin de descendre ici et si bas Dieu aura-t-Il quelque compassion en entendant cela, Majesté ? "
Ainsi parlait Zahra Thoustra.
LA SUITE EST ICI :
http://www.rezoweb.com/forum/sante/myastheniagravi/38115.shtml