Otan : Le gouvernement turc donne son accord préliminaire à l'entrée de la Suède dans l'alliance atlantique

Hypocrisie :
**************
La Suède se rapproche un peu plus des portes de l'Otan, après un accord préliminaire de la Turquie, mardi 26 décembre. Un accord qui devra encore être confirmé par l'Assemblée turque. La Turquie est le dernier membre de l'Alliance atlantique, avec la Hongrie, à barrer la route à la Suède, qui a demandé à intégrer l'Otan en mai 2022 après l'invasion russe de l'Ukraine. Mais la commission des Affaires étrangères du parlement turc a approuvé le protocole d'adhésionn mardi, et l'a transmis à l'Assemblée plénière pour adoption définitive – une procédure dont la date n'a pas été précisée.

La décision a été aussitôt saluée par le ministre suédois des Affaires étrangères, Tobias Billström : "Nous nous réjouissons de devenir membres de l'Otan", a déclaré le ministre au site de la télévision publique SVT Nyheter. Le secrétaire général de l'alliance atlantique, Jens Stoltenberg, a également "salué" le vote, et ajouté dans un communiqué que l'entrée de la Suède dans l'organisation "rendra l'Otan plus forte".

Des F-16 américains comme condition​

Le président turc, Recep Tayyip Erdogan, s'est opposé pendant de longs mois à l'entrée de la Suède dans l'Otan, dénonçant une mansuétude supposée de Stockholm envers certains groupes kurdes, considérés par Ankara comme terroristes. Annoncé comme une simple formalité en novembre, l'examen du protocole d'adhésion avait capoté après une seule réunion.

Début décembre, Recep Tayyip Erdogan avait ajouté comme condition à sa ratification une approbation "simultanée" par le Congrès américain de la vente d'avions F-16 de nouvelle génération à la Turquie, dont elle a besoin pour moderniser sa force aérienne. "Il semble désormais évident que les deux processus vont avancer en parallèle", a déclaré à l'AFP le directeur du German Marshall Fund à Ankara, Ozgur Unluhisarcikl
 
Hypocrisie qui se justifie encore . Qu'est ce qu'il attend pour quitter l'OTAN cette organisation crapuleuse lâche et criminel ?
Les turcs ont manifesté contre les crimes de guerre en Palestine occupée et lui se moque d'eux alors qu'il vient d'être réélu.

BLA BLA a critiqué nétanyaou qu'il quitte l'OTAN au lieu de se moquer de son peuple et des autres .
Au lieu de mendier des armes à un gouv us qui fournit des armes et des milliards avec de la planche à billets à cette entité qui vit sous perfusion depuis 1948 qu'il quitte l'OTAN .


IL FAUT DES ACTES : QUITTER l'OTAN et trouver des solutions correctes avec les Kurdes . Derrière les mercenaires de daesh il était là aussi en échange de quoi ? Bashar est toujours là et l'Asie Mineure est une terre sismique .

La Turquie dispose d'une ambassade à Tel Aviv. Isr aël et la Turquie à l'étranger. L'ambassade d'Isra ël à Ankara est l'un des 465 représentations étrangères en Turquie,
Pareil pour les autres gouvernements qui voient les crimes de guerre .





***************
Recep Tayyip Erdogan n'en est pas à sa première invective. Le président turc a estimé, ce mercredi 27 décembre, qu'il n'y avait « aucune différence » entre le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahou et le dictateur nazi Adolf Hitler. « En quoi êtes-vous différent de Hitler ? » a-t-il lancé à l'adresse du dirigeant israélien, lors d'une cérémonie à Ankara.

Le Premier ministre israélien n'a pas tardé à répondre dans un communiqué. « Erdogan, qui commet un génocide contre les Kurdes et qui détient le record mondial d'emprisonnement de journalistes qui s'opposent à son régime, est la dernière personne à pouvoir nous prêcher la morale », a-t-il rétorqué.

Passe d'armes​

Accusant le président turc d'accueillir les dirigeants du Hamas, Netanyahou a défendu l'opération militaire israélienne à Gaza. L'armée israélienne « se bat pour éliminer l'organisation terroriste la plus odieuse et la plus brutale du monde », a-t-il déclaré en référence au Hamas, ajoutant que le mouvement palestinien avait « commis des crimes contre l'humanité ».

Depuis le début du conflit entre Isra ël et le Hamas, le chef de l'État turc, allié traditionnel de la cause palestinienne, a multiplié les invectives à l'égard d'Isra ël, dénonçant aussi le soutien des États-Unis au gouvernement israélien. Erdogan a notamment qualifié Isr aël d'État « terroriste »
 
Haut