Les voyageurs qui prennent le métro dans la capitale des Etats-Unis risquent fort de se retrouver nez à nez avec le chef du réseau Al-Qaïda, Oussama Ben Laden, souriant et arborant un T-shirt sur lequel figure la mention "I love Guantanamo".
Cette image insolite de l'ennemi numéro un des Etats-Unis figure sur des affiches dans une station de métro située à deux pas de la Maison Blanche à Washington, dans le cadre d'une campagne lancée récemment par l'organisation Avaaz et visant à obtenir la fermeture du camp de Guantanamo.
Elle vise, selon Avaaz, à "rappeler aux législateurs que la torture est illégale, contraire à l'éthique et est un excellent outil de recrutement pour le leader terroriste Oussama Ben Laden et son réseau Al-Qaïda".
Le président Barack Obama, qui s'est engagé dès sa prise de fonction à fermer Guantanamo d'ici janvier, est également représenté, l'air pensif, avec le slogan: "Nous rejetons comme erroné le choix entre notre sécurité et nos idéaux", une citation issue de son discours d'intronisation.
Avaaz, qui se présente comme un réseau internet citoyen co-fondé par le mouvement Res Publica et l'organisation de gauche MoveOn, revendique plus de 3,5 millions de membres dans le monde.
Auteur : AFP
Cette image insolite de l'ennemi numéro un des Etats-Unis figure sur des affiches dans une station de métro située à deux pas de la Maison Blanche à Washington, dans le cadre d'une campagne lancée récemment par l'organisation Avaaz et visant à obtenir la fermeture du camp de Guantanamo.
Elle vise, selon Avaaz, à "rappeler aux législateurs que la torture est illégale, contraire à l'éthique et est un excellent outil de recrutement pour le leader terroriste Oussama Ben Laden et son réseau Al-Qaïda".
Le président Barack Obama, qui s'est engagé dès sa prise de fonction à fermer Guantanamo d'ici janvier, est également représenté, l'air pensif, avec le slogan: "Nous rejetons comme erroné le choix entre notre sécurité et nos idéaux", une citation issue de son discours d'intronisation.
Avaaz, qui se présente comme un réseau internet citoyen co-fondé par le mouvement Res Publica et l'organisation de gauche MoveOn, revendique plus de 3,5 millions de membres dans le monde.
Auteur : AFP