salam
Un nouveau consulat général du Maroc ouvrira bientôt ses portes à Naples pour répondre aux besoins administratifs d'une communauté marocaine de plus en plus nombreuse au sud de l'Italie, a annoncé l'ambassadeur du Royaume en Italie, M. Hassan Abouyoub.
Le siège du nouveau consulat sera opérationnel d'ici début février prochain, a-t-il précisé dans un entretien à la MAP, expliquant qu'il s'agit, en effet, du transfert du consulat général du Maroc à Rome vers Naples pour des raisons liées à "l'évolution de la démographie marocaine en Italie".
M . Abouyoub a fait observer que ce transfert, qui interviendra dans "quelques jours", sera suivi, au cours de l'été prochain, de l'ouverture d'une antenne consulaire dans la capitale italienne.
Selon M. Abouyoub, l'idée d'ouvrir un consulat général à Naples remonte à la visite d'Etat effectuée par Feu SM Hassan II à Rome en 1991. "L'évolution de la démographie marocaine en Italie a fait que l'émigration traditionnellement concentrée sur le nord s'est, petit à petit, diversifiée dans sa localisation géographique.
Aujourd'hui nous avons un tiers de Marocains, soit près de 200.000 personnes, qui vivent dans le sud de l'Italie", a-t-il relevé.
"Un problème d'inégalité de chance se pose donc entre les Marocains qui vivent et travaillent dans le nord de l'Italie et ceux qui vivent au sud. Aujourd'hui, pour avoir des documents administratifs, une famille marocaine qui vit à Brindisi doit se déplacer jusqu'à Rome (477 km), ce qui n'est pas normal", a-t-il fait observer.
Dès lors, a poursuivi le diplomate marocain, la décision de l'ouverture d'un consulat général à Naples, où toutes les grandes nations possèdent des consulats, est "tout à fait naturelle".
Le transfert du consulat général de Rome à Naples interviendra avant l'ouverture d'une antenne consulaire à Rome qui permettra de continuer d'offrir des services "à la population diplomatique qui traverse la Méditerranée vers le Maroc" et "à la population marocaine qui vit dans Lazio (région de Rome) et dont le nombre est estimé à moins de 20.000 personnes".
Un nouveau consulat général du Maroc ouvrira bientôt ses portes à Naples pour répondre aux besoins administratifs d'une communauté marocaine de plus en plus nombreuse au sud de l'Italie, a annoncé l'ambassadeur du Royaume en Italie, M. Hassan Abouyoub.
Le siège du nouveau consulat sera opérationnel d'ici début février prochain, a-t-il précisé dans un entretien à la MAP, expliquant qu'il s'agit, en effet, du transfert du consulat général du Maroc à Rome vers Naples pour des raisons liées à "l'évolution de la démographie marocaine en Italie".
M . Abouyoub a fait observer que ce transfert, qui interviendra dans "quelques jours", sera suivi, au cours de l'été prochain, de l'ouverture d'une antenne consulaire dans la capitale italienne.
Selon M. Abouyoub, l'idée d'ouvrir un consulat général à Naples remonte à la visite d'Etat effectuée par Feu SM Hassan II à Rome en 1991. "L'évolution de la démographie marocaine en Italie a fait que l'émigration traditionnellement concentrée sur le nord s'est, petit à petit, diversifiée dans sa localisation géographique.
Aujourd'hui nous avons un tiers de Marocains, soit près de 200.000 personnes, qui vivent dans le sud de l'Italie", a-t-il relevé.
"Un problème d'inégalité de chance se pose donc entre les Marocains qui vivent et travaillent dans le nord de l'Italie et ceux qui vivent au sud. Aujourd'hui, pour avoir des documents administratifs, une famille marocaine qui vit à Brindisi doit se déplacer jusqu'à Rome (477 km), ce qui n'est pas normal", a-t-il fait observer.
Dès lors, a poursuivi le diplomate marocain, la décision de l'ouverture d'un consulat général à Naples, où toutes les grandes nations possèdent des consulats, est "tout à fait naturelle".
Le transfert du consulat général de Rome à Naples interviendra avant l'ouverture d'une antenne consulaire à Rome qui permettra de continuer d'offrir des services "à la population diplomatique qui traverse la Méditerranée vers le Maroc" et "à la population marocaine qui vit dans Lazio (région de Rome) et dont le nombre est estimé à moins de 20.000 personnes".