Soupçonnés davoir frappé un adolescent de 15 ans, des policiers font actuellement lobjet dune enquête de lIGS (inspection générale des services). Les faits remontent au 27 mai dernier. Assis sur un banc aux abords du collège Sonia-Delaunay, dans le 19e arrondissement de Paris, le jeune garçon est interpellé par des agents des forces de lordre. Ces derniers soupçonnent le collégien de fumer un joint et lembarquent au commissariat du quartier.
Arrivés au poste de police, la situation dégénère. Selon le témoignage de ladolescent à « Street press », il aurait reçu des coups de pied et un coup de poing au visage pendant sa garde à vue de 24 heures. Souffrant dune fracture au coude, le jeune garçon sest vu prescrire une incapacité temporaire totale de travail de 31 jours. Le 11 juin dernier, ses parents déposent finalement plainte. De son côté, la préfecture de police a indiqué au « Parisien » quelle prenait ses accusations très au sérieux : « Ce sont des faits très graves qui, sils étaient avérés, ne resteront pas impunis ». « Autant parfois les accusations portées contre les forces de lordre ne tiennent pas la route, autant celles-là sont prises au sérieux », a confié une source proche de laffaire au quotidien.
Arrivés au poste de police, la situation dégénère. Selon le témoignage de ladolescent à « Street press », il aurait reçu des coups de pied et un coup de poing au visage pendant sa garde à vue de 24 heures. Souffrant dune fracture au coude, le jeune garçon sest vu prescrire une incapacité temporaire totale de travail de 31 jours. Le 11 juin dernier, ses parents déposent finalement plainte. De son côté, la préfecture de police a indiqué au « Parisien » quelle prenait ses accusations très au sérieux : « Ce sont des faits très graves qui, sils étaient avérés, ne resteront pas impunis ». « Autant parfois les accusations portées contre les forces de lordre ne tiennent pas la route, autant celles-là sont prises au sérieux », a confié une source proche de laffaire au quotidien.