Bébés secoués ?
Selon la source policière, une femme en stage dans cette crèche associative du XVIIe arrondissement de Paris, gérée par la Croix-Rouge, a alerté au début de l’été sa hiérarchie racontant que « les employées titulaires secouaient les bébés et tenaient des propos racistes ».
Enquête ouverte
« On a pris ce signalement extrêmement au sérieux et on a alerté la préfecture et la justice », a expliqué Jean-François Riffaud, un porte-parole de la Croix-Rouge française.
Une plainte est déposée auprès du procureur de la République à Paris. S’ouvre alors une enquête préliminaire pour violences volontaires par personne ayant autorité sur mineur de moins de quinze ans, confiée à la brigade des mineurs de la police judiciaire parisienne.
Mises à pied
C’est dans ce cadre que les employées mises en cause, âgées de 29 à 50 ans, qui avaient la responsabilité de seize enfants selon Jean-François Riffaud, ont été placées en garde à vue jeudi matin, ont dit des sources policière et judiciaire.
« Dès qu’on a été informés, on a pris des mesures conservatoires de mises à pied. Nous avons pris l’ensemble des mesures permettant immédiatement de faire cesser ces agissements », a ajouté M. Riffaud
Ouest France
ps : entre le début de l'été et fin septembre?
Selon la source policière, une femme en stage dans cette crèche associative du XVIIe arrondissement de Paris, gérée par la Croix-Rouge, a alerté au début de l’été sa hiérarchie racontant que « les employées titulaires secouaient les bébés et tenaient des propos racistes ».
Enquête ouverte
« On a pris ce signalement extrêmement au sérieux et on a alerté la préfecture et la justice », a expliqué Jean-François Riffaud, un porte-parole de la Croix-Rouge française.
Une plainte est déposée auprès du procureur de la République à Paris. S’ouvre alors une enquête préliminaire pour violences volontaires par personne ayant autorité sur mineur de moins de quinze ans, confiée à la brigade des mineurs de la police judiciaire parisienne.
Mises à pied
C’est dans ce cadre que les employées mises en cause, âgées de 29 à 50 ans, qui avaient la responsabilité de seize enfants selon Jean-François Riffaud, ont été placées en garde à vue jeudi matin, ont dit des sources policière et judiciaire.
« Dès qu’on a été informés, on a pris des mesures conservatoires de mises à pied. Nous avons pris l’ensemble des mesures permettant immédiatement de faire cesser ces agissements », a ajouté M. Riffaud
Ouest France
ps : entre le début de l'été et fin septembre?