Participer au débat sur l'Identité Nationale

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J'aime bien celle là :


Être français c’est aimer la France. Et pour l’aimer, la réciproque devrait être également valable.
Beaucoup de français d’origine étrangère ne ressentent pas cet amour. C’est normal, ils sont au mieux un enjeu électoraliste.
Je suis fier d’être français, et je voudrais que la France soit fière de m’avoir comme un fils, avec toutes mes spécifités, dans le respect du droit républicain bien évidemment.
Commençons par aimer les français, tous les français !
 
Afin que notre voix soit écoutée, je vous encourage tous (enfin les français) à participer au débat d'Eric Besson.

Vous pourriez poster deux fois, sur le forum et sur le site votre contribution. Mettez votre pseudo Bladi, ça peut être marrant !!

Bladi comme acteur du changement en France :D


http://www.debatidentitenationale.fr/participation/pour-vous-qu-est-ce-qu-etre/

Et ceux qui ont une carte de séjour (ou pas) et qui vivent et paient leurs impôts ici, on leur dit m... ? :D
 
Imad
02/11/09 à 19:15
Être Français c’est être né sous une bonne étoile...
Je suis fier d’être français , pays des droits de l’homme et de la justice , Pays de principe fort et de valeurs universelles qui nous rend, en principe, tous égaux. Tous selon que l’on soit riche ou pauvre , noir ou blanc, catholique , juif , musulman ou athée. La France je l’aime car c’est mon Pays, je parle en français , rit en français , pleure en français. Je regrette néanmoins que, parfois, elle n’aime pas tous ses enfants de la même manière et qu’elle les renvoi trop souvent a des supposés appartenance religieuse, culturelle ou ethnique qui ne sont en réalité qu’une partie moindre de l’identité des individus et doivent être saisi comme richesses. Richesses de diversités et origines différentes qui ont façonné notre pays au cours du temps, et font partie intégrante de notre société . La "Francité" n’est pas réservée a certains elle est la propriété de tous les citoyens quels que soit leurs origines. Ont peut être français et noir , être français et habité dans une cité , être français et ne pas aimer la marseillaise, qui reste , je vous le rappelle un chant guerrier. J’en ai marre qu’on parle d’intégration a des gens qui sont la depuis des décennies , ça ne signifie rien. De la même manière arrêtons avec ses appellations qui ne font qu’enfermer les individus dans des "cases" tels que "issus de l’immigration" , "beurs" , "d’origine étrangère" car sinon, jamais ces personnes ne pourront se sentir français. Je ne pense pas qu’il faut réduire le débat de l’identité nationale simplement a la marseillaise qui est loin d’être le seul facteur d’appartenance a la communauté française. La France est un magnifique mélange , cherchons ce qui nous rassemble plutôt que ce qui nous sépare.
 
Imad
02/11/09 à 19:15
Être Français c’est être né sous une bonne étoile...
Je suis fier d’être français , pays des droits de l’homme et de la justice , Pays de principe fort et de valeurs universelles qui nous rend, en principe, tous égaux. Tous selon que l’on soit riche ou pauvre , noir ou blanc, catholique , juif , musulman ou athée. La France je l’aime car c’est mon Pays, je parle en français , rit en français , pleure en français. Je regrette néanmoins que, parfois, elle n’aime pas tous ses enfants de la même manière et qu’elle les renvoi trop souvent a des supposés appartenance religieuse, culturelle ou ethnique qui ne sont en réalité qu’une partie moindre de l’identité des individus et doivent être saisi comme richesses. Richesses de diversités et origines différentes qui ont façonné notre pays au cours du temps, et font partie intégrante de notre société . La "Francité" n’est pas réservée a certains elle est la propriété de tous les citoyens quels que soit leurs origines. Ont peut être français et noir , être français et habité dans une cité , être français et ne pas aimer la marseillaise, qui reste , je vous le rappelle un chant guerrier. J’en ai marre qu’on parle d’intégration a des gens qui sont la depuis des décennies , ça ne signifie rien. De la même manière arrêtons avec ses appellations qui ne font qu’enfermer les individus dans des "cases" tels que "issus de l’immigration" , "beurs" , "d’origine étrangère" car sinon, jamais ces personnes ne pourront se sentir français. Je ne pense pas qu’il faut réduire le débat de l’identité nationale simplement a la marseillaise qui est loin d’être le seul facteur d’appartenance a la communauté française. La France est un magnifique mélange , cherchons ce qui nous rassemble plutôt que ce qui nous sépare.

Il commence mal sa tirade.......
 
Afin que notre voix soit écoutée, je vous encourage tous (enfin les français :D) à participer au débat d'Eric Besson.

Vous pourriez poster deux fois, sur le forum et sur le site votre contribution. Mettez votre pseudo Bladi, ça peut être marrant !!

Bladi comme acteur du changement en France :D


http://www.debatidentitenationale.fr/participation/pour-vous-qu-est-ce-qu-etre/


dans bladi il ya bled, quecequ'il vient faire l'identité nationale ici,
une chose est sur ,tous les bladinautes ne se sentent pas francais
 
c'est une farce pour monter les uns contre les autres et faire bouger les voix de l'éxtreme droite,
je ne suis pas sur que ca va aboutir à quelque chose.
 
Eric Besson a le sens de l'humour. Hué par les étudiants de Sciences Po Paris, jeudi soir, lors d'une conférence sur la promotion de la diversité dans les entreprises, il a déclaré une fois reparti par la porte de derrière : «C'était sympa. Ça m'a permis de chanter la Marseillaise en arrivant ce qui ne m'était jamais arrivé dans cet amphi lorsque j'y étais étudiant.»

Attendu à 16 h30, le ministre est arrivé avec deux heures de retard. Pour l'accueillir, 150 étudiants irrités par le débat sur l'identité nationale et soucieux de le faire savoir. Et une banderole «Identité cassoulet».

«Rien que les termes du débat m'énervent. Pourquoi ne pas parler de citoyenneté ? Qu'est ce que ça veut dire “Identité nationale”», lance une étudiante, en équilibre sur une marche d'escalier. «Le débat est complètement faussé, on mélange tout, immigration et identité», enchaîne une autre, les cheveux en bataille.

«Ils ont verrouillé les entrées»
Dans les couloirs, ce jeudi soir, 150 élèves protestent à coups de «Besson Démission» ou de «Régulariser les sans-papiers.» On entend aussi, toutes les 2-3 minutes, «Travail, famille, patrie, c'est pas ça notre identité.»

«C'est ça qu'il appelle le débat ?», peste Andréa, 20 ans, la voix fatiguée d'avoir crié. Comme la plupart des élèves, elle vient de se faire refouler à l'entrée de l'amphi où se déroule la conférence. «C'est difficile d'avoir un débat quand on ne laisse pas les gens s'exprimer !», râle t-elle. «Ils ont verrouillé les entrées et on n'a même pas vu Eric Besson arriver. Il est passé par une porte de derrière, c'est courageux».

Plus malin, Mohamed, 18 ans, a réussi à se faufiler. Il raconte: «Quand Besson est rentré dans l'amphi, on a chanté la Marseillaise et on a déployé une banderole “Besson Expulsion”. Avant que le ministre prenne la parole, Jean-Paul Huchon (président socialiste du conseil régional d'Ile-de-France, ndlr) a fait une petite diatribe contre le débat sur l'identité nationale. Besson lui a répondu super sèchement : “Jean-Paul, on fait un face-à-face quand tu veux et où tu veux”. C'était hyper violent. A part ça, il n'a pratiquement rien dit...»

Présent lui aussi, Amar Ferdjaoui, délégué syndical CFDT et membre du groupe Ressource pour l'égalité homme-femme. «Quand les jeunes ont chanté la Marseillaise, le ministre s'est mis à chantonner aussi... C'était d'un goût très mauvais. A la fin, il a évoqué ses souvenirs d'étudiant à Sciences po, en disant qu'à son époque, il n'y avait pas de chorale...»

«J'ai même pas envie de participer au forum»
Plantées devant la porte de l'amphi depuis deux bonnes heures, Amélie et Clothilde, en master Relations internationales: «Franchement, y a plus urgent à traiter que cette question de l'identité nationale... Et c'est pas en ouvrant un forum sur internet qu'on crée un débat, ce n'est pas ça la démocratie.» La copine de renchérir : «J'ai même pas envie de participer au forum car je sais déjà que ce qui sera dit sera mal utilisé et mal interprété à des fins populistes.»

Dans un communiqué publié plus tard dans la soirée, les élèves dénoncent notamment «la censure quasi-systématique mise en place sur le site internet censé organiser ce débat virtuel et réifié».

20h30. A la sortie, un représentant du syndicat étudiant Unef tire sur sa cigarette, satisfait. «On a organisé ce comité d'accueil assez spontanément. C'était important de lui montrer qu'on refuse son double discours. D'un côté, il renvoie des migrants en Afghanistan, et de l'autre il vient tenir à Sciences Po un discours sur la diversité...»

Entretemps, le ministre a filé – comme il est arrivé – par une porte à l'arrière du bâtiment. «Oui, un charter l'attendait...», s'amuse un étudiant. Besson n'était pas le seul à avoir de l'humour.
 
Eric Besson a le sens de l'humour. Hué par les étudiants de Sciences Po Paris, jeudi soir, lors d'une conférence sur la promotion de la diversité dans les entreprises, il a déclaré une fois reparti par la porte de derrière : «C'était sympa. Ça m'a permis de chanter la Marseillaise en arrivant ce qui ne m'était jamais arrivé dans cet amphi lorsque j'y étais étudiant.»

Attendu à 16 h30, le ministre est arrivé avec deux heures de retard. Pour l'accueillir, 150 étudiants irrités par le débat sur l'identité nationale et soucieux de le faire savoir. Et une banderole «Identité cassoulet».

«Rien que les termes du débat m'énervent. Pourquoi ne pas parler de citoyenneté ? Qu'est ce que ça veut dire “Identité nationale”», lance une étudiante, en équilibre sur une marche d'escalier. «Le débat est complètement faussé, on mélange tout, immigration et identité», enchaîne une autre, les cheveux en bataille.

«Ils ont verrouillé les entrées»
Dans les couloirs, ce jeudi soir, 150 élèves protestent à coups de «Besson Démission» ou de «Régulariser les sans-papiers.» On entend aussi, toutes les 2-3 minutes, «Travail, famille, patrie, c'est pas ça notre identité.»

«C'est ça qu'il appelle le débat ?», peste Andréa, 20 ans, la voix fatiguée d'avoir crié. Comme la plupart des élèves, elle vient de se faire refouler à l'entrée de l'amphi où se déroule la conférence. «C'est difficile d'avoir un débat quand on ne laisse pas les gens s'exprimer !», râle t-elle. «Ils ont verrouillé les entrées et on n'a même pas vu Eric Besson arriver. Il est passé par une porte de derrière, c'est courageux».

Plus malin, Mohamed, 18 ans, a réussi à se faufiler. Il raconte: «Quand Besson est rentré dans l'amphi, on a chanté la Marseillaise et on a déployé une banderole “Besson Expulsion”. Avant que le ministre prenne la parole, Jean-Paul Huchon (président socialiste du conseil régional d'Ile-de-France, ndlr) a fait une petite diatribe contre le débat sur l'identité nationale. Besson lui a répondu super sèchement : “Jean-Paul, on fait un face-à-face quand tu veux et où tu veux”. C'était hyper violent. A part ça, il n'a pratiquement rien dit...»

Présent lui aussi, Amar Ferdjaoui, délégué syndical CFDT et membre du groupe Ressource pour l'égalité homme-femme. «Quand les jeunes ont chanté la Marseillaise, le ministre s'est mis à chantonner aussi... C'était d'un goût très mauvais. A la fin, il a évoqué ses souvenirs d'étudiant à Sciences po, en disant qu'à son époque, il n'y avait pas de chorale...»

«J'ai même pas envie de participer au forum»
Plantées devant la porte de l'amphi depuis deux bonnes heures, Amélie et Clothilde, en master Relations internationales: «Franchement, y a plus urgent à traiter que cette question de l'identité nationale... Et c'est pas en ouvrant un forum sur internet qu'on crée un débat, ce n'est pas ça la démocratie.» La copine de renchérir : «J'ai même pas envie de participer au forum car je sais déjà que ce qui sera dit sera mal utilisé et mal interprété à des fins populistes.»

Dans un communiqué publié plus tard dans la soirée, les élèves dénoncent notamment «la censure quasi-systématique mise en place sur le site internet censé organiser ce débat virtuel et réifié».

20h30. A la sortie, un représentant du syndicat étudiant Unef tire sur sa cigarette, satisfait. «On a organisé ce comité d'accueil assez spontanément. C'était important de lui montrer qu'on refuse son double discours. D'un côté, il renvoie des migrants en Afghanistan, et de l'autre il vient tenir à Sciences Po un discours sur la diversité...»

Entretemps, le ministre a filé – comme il est arrivé – par une porte à l'arrière du bâtiment. «Oui, un charter l'attendait...», s'amuse un étudiant. Besson n'était pas le seul à avoir de l'humour.
 
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