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PLD (Peace, Love and Diversity)
Agression contre un homo: P. Smet dénonce l'attitude de certains immigrés
Un homme a été sauvagement agressé et presque étranglé à Bruxelles. Pour la simple raison qu'il est homosexuel, dit son avocat Sven Mary ce mardi matin à la VRT radio. Le ministre flamand Pascal Smet dénonce une sorte de police des moeurs mise en place par des immigrés.
Et aussi
Discriminations liées à l'homosexualité: un phénomène de sous-rapportage
L'agression a eu lieu dans la nuit du 12 au 13 juin vers 3h30 sur le boulevard Anspach à Bruxelles. C'est le récit qu'en a fait l'ami de la victime sur Facebook qui a rendu l'affaire publique. "Il s'est fait insulter dans le quartier de la Bourse, des coups ont vite suivi et on a essayé de l'étrangler", affirme Sven Mary.
"Il a pu se dégager et a pris la fuite, paniqué, en direction d'un endroit avec du monde, un bar à pita", témoigne une ami de la victime dans De Standaard. Dans la gueule du loup en fait, car l'agression s'est poursuivie dans l'établissement par un croche-pied et à coups de chaise sur la tête. "Plusieurs personnes l'ont frappé", raconte l'ami de la victime.
La police appelée par l'exploitant est rapidement intervenue, raconte l'avocat pour qui "il s'agit d'un méfait ciblé, qui visait uniquement la nature de mon client. Cette violence est dirigée vers certaines personnes, les homosexuels en l'occurrence".
Selon De Standaard, l'agresseur serait d'origine guatémaltèque.
Les réactions affluent
Dans De Standaard, le ministre flamand de l'Enseignement Pascal Smet (sp.a) réagit ainsi : "Des nouveaux Belges ou des immigrés se comporte comme une sorte de police des murs". Le secrétaire d'État bruxellois Bruno De Lille (Groen!) estime pour sa part qu'il faut uvrer à un changement de mentalité chez les jeunes issus de milieux machos.
"Je comprends bien, dit l'avocat Sven Mary, mais le problème vient de l'éducation et des valeurs de base que l'on reçoit. Il s'agit souvent d'auteurs d'origine nord-africaine et cela rend les choses encore plus difficiles". Pour l'avocat, les agressions homophobes dans le quartier de la Bourse à Bruxelles sont un phénomène fréquent mais qui ne font pas toujours l'objet de plainte.
RTBF avec deredactie
Un homme a été sauvagement agressé et presque étranglé à Bruxelles. Pour la simple raison qu'il est homosexuel, dit son avocat Sven Mary ce mardi matin à la VRT radio. Le ministre flamand Pascal Smet dénonce une sorte de police des moeurs mise en place par des immigrés.
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L'agression a eu lieu dans la nuit du 12 au 13 juin vers 3h30 sur le boulevard Anspach à Bruxelles. C'est le récit qu'en a fait l'ami de la victime sur Facebook qui a rendu l'affaire publique. "Il s'est fait insulter dans le quartier de la Bourse, des coups ont vite suivi et on a essayé de l'étrangler", affirme Sven Mary.
"Il a pu se dégager et a pris la fuite, paniqué, en direction d'un endroit avec du monde, un bar à pita", témoigne une ami de la victime dans De Standaard. Dans la gueule du loup en fait, car l'agression s'est poursuivie dans l'établissement par un croche-pied et à coups de chaise sur la tête. "Plusieurs personnes l'ont frappé", raconte l'ami de la victime.
La police appelée par l'exploitant est rapidement intervenue, raconte l'avocat pour qui "il s'agit d'un méfait ciblé, qui visait uniquement la nature de mon client. Cette violence est dirigée vers certaines personnes, les homosexuels en l'occurrence".
Selon De Standaard, l'agresseur serait d'origine guatémaltèque.
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Dans De Standaard, le ministre flamand de l'Enseignement Pascal Smet (sp.a) réagit ainsi : "Des nouveaux Belges ou des immigrés se comporte comme une sorte de police des murs". Le secrétaire d'État bruxellois Bruno De Lille (Groen!) estime pour sa part qu'il faut uvrer à un changement de mentalité chez les jeunes issus de milieux machos.
"Je comprends bien, dit l'avocat Sven Mary, mais le problème vient de l'éducation et des valeurs de base que l'on reçoit. Il s'agit souvent d'auteurs d'origine nord-africaine et cela rend les choses encore plus difficiles". Pour l'avocat, les agressions homophobes dans le quartier de la Bourse à Bruxelles sont un phénomène fréquent mais qui ne font pas toujours l'objet de plainte.
RTBF avec deredactie