amsawad
Tayri nem tuder g-ul inu
« Pédé », « nain », « chiens », « prostituée », le langage fleuri dun « journalisme » financé par lEtat
Après linsoutenable campagne de presse lancée contre notre confrère Ali Anouzla, par les quotidiens Al Alam, organe de presse du Parti de lIstiqlal, et Annahar Al Maghribia, ainsi que par dautres sites Web orduriers, le directeur du site Lakome a décidé de réagir.
Selon le site Goud, il va porter laffaire en justice.
Si les écrits du chroniqueur et député istiqlalien Abdallah Bakkali, ne sont pas dignes du journaliste quil prétend être, par contre ceux du quotidien Annahar sont lexpression dun pseudo-journalisme à la dérive.
Annahar a traité récemment Anouzla d« agent » du Polisario au Maroc, de « nain », a mis en doute sa condition dhomme et a assuré quil aurait été financé par le régime de Kadhafi.
Dans le passé ce « journal » a traité dans un titre racoleur en première page le journaliste incarcéré depuis maintenant un an Rachid Niny de « zamel » (pédé), a accusé à Nadia Yassine, lune des responsables dAl Adl Wal Ihsane de frôler la « prostitution », de même quil a injurié nombre de confrères en les traitant carrément de « chiens ».
Comme le rappelle à juste titre le quotidien Al Massae, la justice marocaine si prompte à réagir et à sévir contre la presse indépendante ne trouve rien à redire à cette campagne haineuse dun quotidien qui narrive même pas, selon lOGD, loffice de contrôle de la diffusion, à écouler 1900 exemplaires par jour (dont la moitié est offerte gracieusement ).
Ce quotidien, selon Al Massae, reçoit de généreuses subventions annuelles de lEtat et bénéficie dune étrange mansuétude de la part du Syndicat national de la presse marocaine (SNPM), et de la Fédération marocaine des éditeurs de journaux, deux organisations toujours à lavant-garde quand il sagit de publier des communiqués offensifs contre leurs confrères de la presse indépendante.
Deminonline
Après linsoutenable campagne de presse lancée contre notre confrère Ali Anouzla, par les quotidiens Al Alam, organe de presse du Parti de lIstiqlal, et Annahar Al Maghribia, ainsi que par dautres sites Web orduriers, le directeur du site Lakome a décidé de réagir.
Selon le site Goud, il va porter laffaire en justice.
Si les écrits du chroniqueur et député istiqlalien Abdallah Bakkali, ne sont pas dignes du journaliste quil prétend être, par contre ceux du quotidien Annahar sont lexpression dun pseudo-journalisme à la dérive.
Annahar a traité récemment Anouzla d« agent » du Polisario au Maroc, de « nain », a mis en doute sa condition dhomme et a assuré quil aurait été financé par le régime de Kadhafi.
Dans le passé ce « journal » a traité dans un titre racoleur en première page le journaliste incarcéré depuis maintenant un an Rachid Niny de « zamel » (pédé), a accusé à Nadia Yassine, lune des responsables dAl Adl Wal Ihsane de frôler la « prostitution », de même quil a injurié nombre de confrères en les traitant carrément de « chiens ».
Comme le rappelle à juste titre le quotidien Al Massae, la justice marocaine si prompte à réagir et à sévir contre la presse indépendante ne trouve rien à redire à cette campagne haineuse dun quotidien qui narrive même pas, selon lOGD, loffice de contrôle de la diffusion, à écouler 1900 exemplaires par jour (dont la moitié est offerte gracieusement ).
Ce quotidien, selon Al Massae, reçoit de généreuses subventions annuelles de lEtat et bénéficie dune étrange mansuétude de la part du Syndicat national de la presse marocaine (SNPM), et de la Fédération marocaine des éditeurs de journaux, deux organisations toujours à lavant-garde quand il sagit de publier des communiqués offensifs contre leurs confrères de la presse indépendante.
Deminonline