Pornographie juvénile Bill Surkis accusé
Mise à jour 03.062009
Bill Surkis, un leader de la communauté juive, est accusé de possession de matériel de pornographie juvénile. Il a comparu au palais de justice de Montréal, vendredi après-midi.
Une vingtaine de vidéos de pornographie infantile auraient été retrouvés dans l'ordinateur que M. Surkis a envoyé dans un magasin de réparation.
Informé jeudi soir des accusations, celui qui fut directeur de la section québécoise du B'nai Brith s'est rendu lui-même au poste de police, où il a été mis en état d'arrestation. Il est accusé d'accès et de possession de matériel de pornographie juvénile.
Pour chacun des chefs d'accusation, Surkis est passible d'un minimum de 45 jours en prison. La peine maximale est de 10 ans, selon son avocat, Steven Slimovitch.
Bill Surkis, 69 ans, a été remis en liberté sous plusieurs conditions. Il lui est interdit de se trouver seul en présence de mineurs, et son utilisation d'un ordinateur est limitée à des fins professionnelles. Il doit aussi informer, chaque mois, la police à propos de sa navigation sur le net, et ne pourra pas quitter le Québec.
L'accusé, marié et grand-père, reviendra en cour le 24 septembre prochain pour connaître la suite des procédures.
« Ils seront déçus. Ils me connaissent comme un individu dévoué », a déclaré M. Surkis quant à l'impact qu'aura son arrestation au sein de la communauté juive.
source : radio-canada.ca
Mise à jour 03.062009
Bill Surkis, un leader de la communauté juive, est accusé de possession de matériel de pornographie juvénile. Il a comparu au palais de justice de Montréal, vendredi après-midi.
Une vingtaine de vidéos de pornographie infantile auraient été retrouvés dans l'ordinateur que M. Surkis a envoyé dans un magasin de réparation.
Informé jeudi soir des accusations, celui qui fut directeur de la section québécoise du B'nai Brith s'est rendu lui-même au poste de police, où il a été mis en état d'arrestation. Il est accusé d'accès et de possession de matériel de pornographie juvénile.
Pour chacun des chefs d'accusation, Surkis est passible d'un minimum de 45 jours en prison. La peine maximale est de 10 ans, selon son avocat, Steven Slimovitch.
Bill Surkis, 69 ans, a été remis en liberté sous plusieurs conditions. Il lui est interdit de se trouver seul en présence de mineurs, et son utilisation d'un ordinateur est limitée à des fins professionnelles. Il doit aussi informer, chaque mois, la police à propos de sa navigation sur le net, et ne pourra pas quitter le Québec.
L'accusé, marié et grand-père, reviendra en cour le 24 septembre prochain pour connaître la suite des procédures.
« Ils seront déçus. Ils me connaissent comme un individu dévoué », a déclaré M. Surkis quant à l'impact qu'aura son arrestation au sein de la communauté juive.
source : radio-canada.ca