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Tayri nem tuder g-ul inu
Le journaliste irakien Mountazer Al Zaidi qui s'est acquis une notoriété mondiale en lançant sa paire de chaussures en direction de George Bush a vu sa condamnation à trois ans de prison réduite en appel à un an.
Zaïdi, 30 ans, qui a expliqué vouloir ainsi protester contre l'état dans lequel l'invasion américaine avait laissé l'Irak, avait plaidé non coupable de voie de fait contre un chef d'Etat étranger, lequel en l'occurrence a esquivé les projectiles en baissant promptement la tête.
La cour d'appel a "pris en compte le fait qu'il était encore jeune et vierge de toute condamnation antérieure", a déclaré le Conseil judiciaire irakien en annonçant sa réduction de peine, nouvelle accueille avec un grand "bonheur" par le frère du condamné, Haïssam.
Le Premier ministre irakien Nouri Al Maliki - qui était aux côtés de l'ancien président américain en décembre lorsque le journaliste avait lancé ses chaussures vers lui en lui criant "ceci est un baiser d'adieu du peuple irakien, chien!" - avait dénoncé "un acte barbare".
Mais le geste de Zaïdi, qui est désormais libérable dans six mois aux termes de la législation irakienne, avait réjoui les masses musulmanes au-delà même du monde arabe, les autorités iraniennes ayant même organisé un concours de lancer de chaussures contre une effigie géante de George Bush.
Source : Reuters
Zaïdi, 30 ans, qui a expliqué vouloir ainsi protester contre l'état dans lequel l'invasion américaine avait laissé l'Irak, avait plaidé non coupable de voie de fait contre un chef d'Etat étranger, lequel en l'occurrence a esquivé les projectiles en baissant promptement la tête.
La cour d'appel a "pris en compte le fait qu'il était encore jeune et vierge de toute condamnation antérieure", a déclaré le Conseil judiciaire irakien en annonçant sa réduction de peine, nouvelle accueille avec un grand "bonheur" par le frère du condamné, Haïssam.
Le Premier ministre irakien Nouri Al Maliki - qui était aux côtés de l'ancien président américain en décembre lorsque le journaliste avait lancé ses chaussures vers lui en lui criant "ceci est un baiser d'adieu du peuple irakien, chien!" - avait dénoncé "un acte barbare".
Mais le geste de Zaïdi, qui est désormais libérable dans six mois aux termes de la législation irakienne, avait réjoui les masses musulmanes au-delà même du monde arabe, les autorités iraniennes ayant même organisé un concours de lancer de chaussures contre une effigie géante de George Bush.
Source : Reuters