amsawad
Tayri nem tuder g-ul inu
Les lesbiennes au Maroc se manifestent de plus en plus sur Facebook pour vivre leur sexualité.
Les lesbiennes au Maroc ont trouvé avec Facebook un autre moyen de se mettre en réseau pour vivre leur sexualité. Elles se manifestent de plus en plus sur les réseaux sociaux pour une partie de « sex phone », une discussion plus « hot » sur Skype ou carrément pour un contact direct. C’est dans ce monde qu’a plongé une journaliste de Al Akhbar et qui rend compte de ses « découvertes » dans l’édition de ce week-end. Elle a commencé par créer un faux compte sur Facebook et, sitôt, les invitations ont commencé à pleuvoir. Certaines lesbiennes lui proposaient des « plans à distance » via le téléphone ou Skype. Les plus audacieuses ne tardaient pas à proposer un face-à-face et plus, si affinités.
Sexe, alcool…
La vie des lesbiennes marocaines, écrit Al Akhbar, c’est du sexe, de l’alcool et de longues nuits de plaisir et parfois des soirées qui se transforment en orgies. Dans ce monde très fermé, où le pseudo et le faux compte Facebook sont la règle, il arrive aussi que cela dégénère en viol. La recherche du plaisir n’ayant pas de limites et étant, par essence, de l’ordre de la déraison. Noor, une des lesbiennes rencontrées par la journaliste du quotidien, raconte comment sa vie a basculé, à deux reprises. Une lesbienne l’a d’abord piégée sur Facebook. Après cinq ans de plaisirs partagés, elle ne pouvait plus se séparer de sa « dulcinée », mais voilà que cette dernière, sur un coup de tête et de cœur visiblement, décide de se ranger et d’épouser un homme. Après quelques tentatives de suicides, Noor décide de se mettre à chasser de la lesbienne : plus de relations durables, mais la recherche de moments de plaisir. Butineuse comme une abeille, elle passe d’une partenaire à une autre pour des relations éphémères et semble bien s’y plaire.
Al Akhbar aborde aussi la prostitution chez les lesbiennes. Le journal rapporte qu’une relation sexuelle tarifée va de 500 à 1.000 DH, voire plus, quand la « prestataire de services » est jeune et que celle qui exhibe son chéquier est assaillie par les rides. C’est de ce business, affirme le journal, que vit une certaine Kimo. Femme ayant les attributs d’un homme, elle a fait du sexe avec les lesbiennes, surtout les plus âgées, son principal gagne-pain et peut se faire jusqu’à 2.000 DH par soirée. Dans son dossier, Al Akhbar rappelle l’histoire de cette championne cycliste marocaine, résidant à Inzeggane, condamnée dernièrement à deux mois de prison ferme pour avoir « séduit » une jeune fille de la région d’Oujda. Après en avoir longtemps abusée, elle l’a confiée aux mains d’un violeur qui en a fait son souffre douleur.
Source : http://www.le360.ma/fr/societe/plongee-dans-le-monde-des-lesbiennes-marocaines-21745
Les lesbiennes au Maroc ont trouvé avec Facebook un autre moyen de se mettre en réseau pour vivre leur sexualité. Elles se manifestent de plus en plus sur les réseaux sociaux pour une partie de « sex phone », une discussion plus « hot » sur Skype ou carrément pour un contact direct. C’est dans ce monde qu’a plongé une journaliste de Al Akhbar et qui rend compte de ses « découvertes » dans l’édition de ce week-end. Elle a commencé par créer un faux compte sur Facebook et, sitôt, les invitations ont commencé à pleuvoir. Certaines lesbiennes lui proposaient des « plans à distance » via le téléphone ou Skype. Les plus audacieuses ne tardaient pas à proposer un face-à-face et plus, si affinités.
Sexe, alcool…
La vie des lesbiennes marocaines, écrit Al Akhbar, c’est du sexe, de l’alcool et de longues nuits de plaisir et parfois des soirées qui se transforment en orgies. Dans ce monde très fermé, où le pseudo et le faux compte Facebook sont la règle, il arrive aussi que cela dégénère en viol. La recherche du plaisir n’ayant pas de limites et étant, par essence, de l’ordre de la déraison. Noor, une des lesbiennes rencontrées par la journaliste du quotidien, raconte comment sa vie a basculé, à deux reprises. Une lesbienne l’a d’abord piégée sur Facebook. Après cinq ans de plaisirs partagés, elle ne pouvait plus se séparer de sa « dulcinée », mais voilà que cette dernière, sur un coup de tête et de cœur visiblement, décide de se ranger et d’épouser un homme. Après quelques tentatives de suicides, Noor décide de se mettre à chasser de la lesbienne : plus de relations durables, mais la recherche de moments de plaisir. Butineuse comme une abeille, elle passe d’une partenaire à une autre pour des relations éphémères et semble bien s’y plaire.
Al Akhbar aborde aussi la prostitution chez les lesbiennes. Le journal rapporte qu’une relation sexuelle tarifée va de 500 à 1.000 DH, voire plus, quand la « prestataire de services » est jeune et que celle qui exhibe son chéquier est assaillie par les rides. C’est de ce business, affirme le journal, que vit une certaine Kimo. Femme ayant les attributs d’un homme, elle a fait du sexe avec les lesbiennes, surtout les plus âgées, son principal gagne-pain et peut se faire jusqu’à 2.000 DH par soirée. Dans son dossier, Al Akhbar rappelle l’histoire de cette championne cycliste marocaine, résidant à Inzeggane, condamnée dernièrement à deux mois de prison ferme pour avoir « séduit » une jeune fille de la région d’Oujda. Après en avoir longtemps abusée, elle l’a confiée aux mains d’un violeur qui en a fait son souffre douleur.
Source : http://www.le360.ma/fr/societe/plongee-dans-le-monde-des-lesbiennes-marocaines-21745