EFFET THEO ?
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Acquitté il y a un an par la Cour d'appel de Seine-Saint-Denis, le gardien de la paix, qui avait tué en 2012 un braqueur fugitif d'une balle dans le dos, comparaît lundi en appel à la cour d'assises de Paris." data-reactid="14">Acquitté il y a un an par la Cour d'appel de Seine-Saint-Denis, le gardien de la paix, qui avait tué en 2012 un braqueur fugitif d'une balle dans le dos, comparaît lundi en appel à la cour d'assises de Paris.
Les jurés de la cour d'assises de Paris auront cinq jours pour décider si Damien Saboundjian, policier de 38 ans, a agi en état de légitime défense. En 2012, il avait tué d'une balle dans le dos un braqueur fugitif lors d'une course-poursuite.
Le procès en appel, qui verra défiler 23 témoins et neuf experts, s'ouvre ce 6 mars pour «violences volontaires ayant entraîné la mort sans intention de la donner», des faits passibles de 20 ans de réclusion criminelle. Et ce, alors que l' «affaire Théo» est dans tous les esprits.
Il y a un an, le 15 janvier 2015, c'est dans une ambiance déjà électrique que la Cour d'appel de Seine-Saint-Denis avait acquitté le policier, et ce, contre l'avis du Parquet. Une décision accueillie aux cris de «déni de justice» par les nombreux militants présents à Bobigny pour soutenir la famille de la victime, Amine Bentounsi, et notamment sa sœur Amal, devenue une figure de proue de la lutte contre les violences policières.
Le policier explique avoir tiré à quatre reprises, pour «sauver sa peau».
Exhortant les jurés à ne pas valider «de permis de tuer», l'avocat de la famille, Michel Konitz, avait réclamé pour le gardien de la paix cinq années de prison avec sursis et une interdiction d'exercer de la même durée. Mais la cour d'assises de Seine-Saint-Denis avait estimé que le fonctionnaire avait agi en état de légitime défense, et n'était donc pas pénalement responsable de la mort d'Amine Bentounsi. Fait rare, le procureur général avait fait appel du verdict, estimant que «les conditions légales de la légitime défense» n'étaient pas «démontrées».
Figaro.fr
C'est le 21 avril 2012, dans les rues de Noisy-le-Sec (Seine-Saint-Denis) que les faits se sont produits. Figaro.fr
COMMENT PEUT ON PARLER DE LEGITIME DEFENSE LORSQU'ON TUE D'UNE BALLE
DANS LE DOS MÊME SI LA PERSONNE DECEDEE A COMMIS UN DELIT ET QU'ELLE ETAIT EN FUITE ? U policier xénophobe ? ET ON NE PEUT PARLER D'HOMOCIDE INVOLONTAIRE PUISQUE LE CRIMINEL ET LÄCHE A VISE DANS LE DOS .
Pour moi c'est un homocide volontaire et rien d'autre . Des crapules qui protègent un
criminel et qui deviennent eux mêmes complices et ça dure en France . Il faut toujours qu'il y ait de la casse pour essayer de réformer en France . La défense doit être proportionnelle à l'attaque .
Sinon c'est de la lâcheté avec les arrières pensées .
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Acquitté il y a un an par la Cour d'appel de Seine-Saint-Denis, le gardien de la paix, qui avait tué en 2012 un braqueur fugitif d'une balle dans le dos, comparaît lundi en appel à la cour d'assises de Paris." data-reactid="14">Acquitté il y a un an par la Cour d'appel de Seine-Saint-Denis, le gardien de la paix, qui avait tué en 2012 un braqueur fugitif d'une balle dans le dos, comparaît lundi en appel à la cour d'assises de Paris.
Les jurés de la cour d'assises de Paris auront cinq jours pour décider si Damien Saboundjian, policier de 38 ans, a agi en état de légitime défense. En 2012, il avait tué d'une balle dans le dos un braqueur fugitif lors d'une course-poursuite.
Le procès en appel, qui verra défiler 23 témoins et neuf experts, s'ouvre ce 6 mars pour «violences volontaires ayant entraîné la mort sans intention de la donner», des faits passibles de 20 ans de réclusion criminelle. Et ce, alors que l' «affaire Théo» est dans tous les esprits.
Il y a un an, le 15 janvier 2015, c'est dans une ambiance déjà électrique que la Cour d'appel de Seine-Saint-Denis avait acquitté le policier, et ce, contre l'avis du Parquet. Une décision accueillie aux cris de «déni de justice» par les nombreux militants présents à Bobigny pour soutenir la famille de la victime, Amine Bentounsi, et notamment sa sœur Amal, devenue une figure de proue de la lutte contre les violences policières.
Le policier explique avoir tiré à quatre reprises, pour «sauver sa peau».
Exhortant les jurés à ne pas valider «de permis de tuer», l'avocat de la famille, Michel Konitz, avait réclamé pour le gardien de la paix cinq années de prison avec sursis et une interdiction d'exercer de la même durée. Mais la cour d'assises de Seine-Saint-Denis avait estimé que le fonctionnaire avait agi en état de légitime défense, et n'était donc pas pénalement responsable de la mort d'Amine Bentounsi. Fait rare, le procureur général avait fait appel du verdict, estimant que «les conditions légales de la légitime défense» n'étaient pas «démontrées».
Figaro.fr
C'est le 21 avril 2012, dans les rues de Noisy-le-Sec (Seine-Saint-Denis) que les faits se sont produits. Figaro.fr
COMMENT PEUT ON PARLER DE LEGITIME DEFENSE LORSQU'ON TUE D'UNE BALLE
DANS LE DOS MÊME SI LA PERSONNE DECEDEE A COMMIS UN DELIT ET QU'ELLE ETAIT EN FUITE ? U policier xénophobe ? ET ON NE PEUT PARLER D'HOMOCIDE INVOLONTAIRE PUISQUE LE CRIMINEL ET LÄCHE A VISE DANS LE DOS .
Pour moi c'est un homocide volontaire et rien d'autre . Des crapules qui protègent un
criminel et qui deviennent eux mêmes complices et ça dure en France . Il faut toujours qu'il y ait de la casse pour essayer de réformer en France . La défense doit être proportionnelle à l'attaque .
Sinon c'est de la lâcheté avec les arrières pensées .