Politique, Maroc, foot, plein de possibilités!

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Robin Des Blogs - LePost Imprimer Au Maroc, il y a plusieurs partis politiques, mais en réalité, seuls deux demeurent les plus forts sur la scène. Détrompez-vous, ce ne sont pas ceux auxquels vous pensez, et ce n'est même pas la peine de cogiter si vous n'avez jamais foutu les pieds dans un café populaire à Casablanca, Tetouan, ou Kenitra. Dans des endroits pareils, les Rois du monde sont les présidents du Real Madrid et du Fc Barcelone, la religion est le foot, et Messi en est le prophète. Lire la suite l'article
Pas la peine que je vous fasse un dessin. Les éléctions du Real Madrid tombent le 14 juin 2009, c'est à dire 2 jours après les communales au Maroc, ce qui veut dire que ceux qui comptaient sur les voix des jeunes, peuvent aller se rhabiller, personne ne les écoutera, à moins que les partis politiques du plus beau pays du monde, se mettent aux couleurs des deux géants espagnols. Cela peut paraître très rigolo de ma part, voire insensé, mais si vous suivez un peu mon raisonnement, vous trouverez que cette hypothèse peut se vérifier facilement et s'avérer très bénéfique au système politique Marocain.

Mettons que politiquement, le Maroc soit divisé entre le Real et le Barça! Cela ferait deux partie distinctes, facilement identifiables et surtout plus puissantes que le cheptel de partis politiques chétifs qui se divise les miettes que laissent les grosses pointures. Bien sûr, vous me direz qu'il y a bien ceux qui ne sont ni pour l'un ni l'autre. Je sais, ils existent, et ceux là on va les coller aux islamistes, de toutes manières, personne ne les prend trop au sérieux et ils ne peuvent même pas rêver d'accéder un jour au pouvoir... Alors, revenons à nos moutons, ou à nos cochons, puisque ces derniers sont les vedettes du moment. (La rime est absolument involontaire)!

Maintenant qu'on n'a plus que deux formations politiques, oui je sais, on principe ça en fait trois, y compris les barbus qui supportent la Salafifa, tellement ils y pigent rien au foot, qu'ils croient que Blatter est le président de la fédération de Suisse, il sera facile de se partager le peuple. Les Merenguès à droite et les Blau Brana à gauche, avouez qu'esthétiquement, c'est déjà ça! On n'aurait plus besoin de tractations et de trop de palabres pour former le gouvernement, ni se partager les sièges du parle-et-ment (oups le coup est parti tout seul), puisque tout se joue sur le score du Classico, et au pire des cas, c'est aux tirs aux buts que ça va se régler...

A coup sûr, ce serait la vraie solution à tous les problèmes qu'à le Maroc à décoller démocratiquement. C'est très fédérateur, ça coûte pas très cher, enfin pas plus qu'il ne faudra pour traduire les slogans et payer un abonnement à tous les Marocains au bouquet Aljazeera Sport, et puis de temps en temps quelques maillots par ci par là. Le reste, eh ben c'est en Espagne, dans le back office que ça se traite, réduction des coûts oblige... ça les amis, ça s'appelle de la délocalisation politique et c'est du vrai génie!
 
le foot c'est la politique en plus fun et resumé en 90 mn
y a la recherche du pouvoir , y a des partis , beaucoup d'argent en jeu , des coups bas , des négociations ect ect

c'est pour ça que c'est une passion tres masculine
 
Robin Des Blogs - LePost Imprimer Au Maroc, il y a plusieurs partis politiques, mais en réalité, seuls deux demeurent les plus forts sur la scène. Détrompez-vous, ce ne sont pas ceux auxquels vous pensez, et ce n'est même pas la peine de cogiter si vous n'avez jamais foutu les pieds dans un café populaire à Casablanca, Tetouan, ou Kenitra. Dans des endroits pareils, les Rois du monde sont les présidents du Real Madrid et du Fc Barcelone, la religion est le foot, et Messi en est le prophète. Lire la suite l'article
Pas la peine que je vous fasse un dessin. Les éléctions du Real Madrid tombent le 14 juin 2009, c'est à dire 2 jours après les communales au Maroc, ce qui veut dire que ceux qui comptaient sur les voix des jeunes, peuvent aller se rhabiller, personne ne les écoutera, à moins que les partis politiques du plus beau pays du monde, se mettent aux couleurs des deux géants espagnols. Cela peut paraître très rigolo de ma part, voire insensé, mais si vous suivez un peu mon raisonnement, vous trouverez que cette hypothèse peut se vérifier facilement et s'avérer très bénéfique au système politique Marocain.

Mettons que politiquement, le Maroc soit divisé entre le Real et le Barça! Cela ferait deux partie distinctes, facilement identifiables et surtout plus puissantes que le cheptel de partis politiques chétifs qui se divise les miettes que laissent les grosses pointures. Bien sûr, vous me direz qu'il y a bien ceux qui ne sont ni pour l'un ni l'autre. Je sais, ils existent, et ceux là on va les coller aux islamistes, de toutes manières, personne ne les prend trop au sérieux et ils ne peuvent même pas rêver d'accéder un jour au pouvoir... Alors, revenons à nos moutons, ou à nos cochons, puisque ces derniers sont les vedettes du moment. (La rime est absolument involontaire)!

Maintenant qu'on n'a plus que deux formations politiques, oui je sais, on principe ça en fait trois, y compris les barbus qui supportent la Salafifa, tellement ils y pigent rien au foot, qu'ils croient que Blatter est le président de la fédération de Suisse, il sera facile de se partager le peuple. Les Merenguès à droite et les Blau Brana à gauche, avouez qu'esthétiquement, c'est déjà ça! On n'aurait plus besoin de tractations et de trop de palabres pour former le gouvernement, ni se partager les sièges du parle-et-ment (oups le coup est parti tout seul), puisque tout se joue sur le score du Classico, et au pire des cas, c'est aux tirs aux buts que ça va se régler...

A coup sûr, ce serait la vraie solution à tous les problèmes qu'à le Maroc à décoller démocratiquement. C'est très fédérateur, ça coûte pas très cher, enfin pas plus qu'il ne faudra pour traduire les slogans et payer un abonnement à tous les Marocains au bouquet Aljazeera Sport, et puis de temps en temps quelques maillots par ci par là. Le reste, eh ben c'est en Espagne, dans le back office que ça se traite, réduction des coûts oblige... ça les amis, ça s'appelle de la délocalisation politique et c'est du vrai génie!

je suis pas un barbu . mais il faudrait rendre à cezar ce qui appartient à cesar :

je vais citer le nom de trois barbus au maroc :

- Jrindou : capitaine du raja .
- Benchrifa : capitaine du Moghreb de tetouan .
- tarik jermouni : capitaine des fars (et ancien joueur de l'EN)

Donc celui qui a ecrit cet article ne connait rien à la réalité marocaine :D
 
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