Pour bon nombre d'entre nous, devenir pompier était un rêve d'enfant. Pourtant les hommes du feu peinent aujourd'hui à trouver des volontaires.
La Brigade des Sapeurs-Pompiers de Paris a décidé de prendre le taureau par les cornes et s'est lancée dans une vaste campagne de recrutement.
Les pompiers de Paris recrutent sur Facebook
Lors du défilé du 14 juillet sur les champs Élysées, ce sont eux qui recueillent le plus d'applaudissements. Avec leurs camions rouges équipés d'une échelle et d'un gyrophare, la Brigade des Sapeurs-Pompiers de Paris (BSPP) ne passe pas inaperçue. Une véritable aura qui suscite depuis toujours les vocations. Pourtant, en 2017, les pompiers de Paris peinent à recruter.
Afin de réussir leur opération séduction, notamment auprès des plus jeunes, la BSPP s'est lancée dans une vaste opération de communication sur les réseaux sociaux. Sur sa page Facebook de nombreuses photos et vidéos sont publiées. Des valeurs fortes sont mises en avant et il y est question de code d'honneur : « J'agis avec célérité, courtoisie et impartialité quel que soit le type d'intervention pour laquelle j'ai été appelé ». La formation et les métiers qui en découlent sont également au programme.
Des délais d'attente post-évaluation beaucoup plus courts
Avec cette campagne de recrutement effectuée par le biais des réseaux sociaux, la Brigade des Sapeurs-Pompiers de Paris espère trouver 800 nouvelles recrues en 2017. Un objectif qu'il faudra atteindre pour que les hommes du feu ne se retrouvent pas en sous-effectif et puissent exercer leur mission de la manière la plus efficace et dans les meilleures conditions possibles.
C'est la réputation de corps « élitiste » qui fait probablement peur à ceux qui hésitent à s'engager. Pourtant, comme l'explique un capitaine adjoint au directeur du centre de formation à nos confrères de BFM TV « la BSPP ne cherche pas des 'surhommes' mais des compétences, de plus en plus étendues ». Non seulement les pompiers interviennent sur « l'incendie, le secours aux victimes, les risques technologiques » mais aussi, sur « la prise en charge des blessés par arme de guerre », une compétence supplémentaire apparue au moment des attentats de Paris en 2015.
Pour ceux qui sont à deux doigts de s'engager, il faut préciser que désormais les délais d'attente post-évaluation sont beaucoup plus courts qu'auparavant : de 10 mois ils sont passés à 4
mam
La Brigade des Sapeurs-Pompiers de Paris a décidé de prendre le taureau par les cornes et s'est lancée dans une vaste campagne de recrutement.
Les pompiers de Paris recrutent sur Facebook
Lors du défilé du 14 juillet sur les champs Élysées, ce sont eux qui recueillent le plus d'applaudissements. Avec leurs camions rouges équipés d'une échelle et d'un gyrophare, la Brigade des Sapeurs-Pompiers de Paris (BSPP) ne passe pas inaperçue. Une véritable aura qui suscite depuis toujours les vocations. Pourtant, en 2017, les pompiers de Paris peinent à recruter.
Afin de réussir leur opération séduction, notamment auprès des plus jeunes, la BSPP s'est lancée dans une vaste opération de communication sur les réseaux sociaux. Sur sa page Facebook de nombreuses photos et vidéos sont publiées. Des valeurs fortes sont mises en avant et il y est question de code d'honneur : « J'agis avec célérité, courtoisie et impartialité quel que soit le type d'intervention pour laquelle j'ai été appelé ». La formation et les métiers qui en découlent sont également au programme.
Des délais d'attente post-évaluation beaucoup plus courts
Avec cette campagne de recrutement effectuée par le biais des réseaux sociaux, la Brigade des Sapeurs-Pompiers de Paris espère trouver 800 nouvelles recrues en 2017. Un objectif qu'il faudra atteindre pour que les hommes du feu ne se retrouvent pas en sous-effectif et puissent exercer leur mission de la manière la plus efficace et dans les meilleures conditions possibles.
C'est la réputation de corps « élitiste » qui fait probablement peur à ceux qui hésitent à s'engager. Pourtant, comme l'explique un capitaine adjoint au directeur du centre de formation à nos confrères de BFM TV « la BSPP ne cherche pas des 'surhommes' mais des compétences, de plus en plus étendues ». Non seulement les pompiers interviennent sur « l'incendie, le secours aux victimes, les risques technologiques » mais aussi, sur « la prise en charge des blessés par arme de guerre », une compétence supplémentaire apparue au moment des attentats de Paris en 2015.
Pour ceux qui sont à deux doigts de s'engager, il faut préciser que désormais les délais d'attente post-évaluation sont beaucoup plus courts qu'auparavant : de 10 mois ils sont passés à 4
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