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Algérie : le Petit Futé assume ses propos xénophobes
« Il est toujours normal pour un homme algérien de lever la main sur sa femme, sa petite amie, sa fille, sa sur, etc., simplement parce que celle-ci ne sest pas assise là où il fallait au restaurant (ce nest quun exemple ). » On trouve ce commentaire fleuri dans le guide touristique que consacre le Petit Futé à lAlgérie. Contacté par Chloé Leprince, du site Rue89.com, Jean-Paul Labourdette, directeur de la collection, est étonné.
http://www.al-kanz.org/2010/08/27/algerie-petit-fute-xenophobie/
« Ayons les femmes le reste suivra. Il y a chez lEuropéen cristallisation dune agressivité, mise en tension dune violence en face de la femme algérienne. Dévoiler cette femme, cest mettre en évidence la beauté, cest mettre à nu son secret, briser sa résistance, la faire disponible pour laventure. Cacher le visage, cest aussi dissimuler un secret, cest faire exister un monde du mystère et du caché. Confusément, lEuropéen vit à un niveau fort complexe sa relation avec la femme algérienne. Volonté de mettre cette femme à portée de soi, den faire un éventuel objet de possession.
Cette femme qui voit sans être vue frustre le colonisateur. Il ny a pas réciprocité. Elle ne se livre pas, ne se donne pas, ne soffre pas. LAlgérien a, à légard de la femme algérienne, une attitude dans lensemble claire. Il ne la voit pas. Il y a même volonté permanente de ne pas apercevoir le profil féminin, de ne pas faire attention aux femmes. Il ny a donc pas chez lAlgérien, dans la rue ou sur une route, cette conduite de la rencontre intersexuelle que lon décrit aux niveaux du regard, de la prestance, de la tenue musculaire, des différentes conduites troublées auxquelles nous a habitués la phénoménologie de la rencontre.
http://www.al-kanz.org/2010/08/24/petit-fute-algerie/
« Il est toujours normal pour un homme algérien de lever la main sur sa femme, sa petite amie, sa fille, sa sur, etc., simplement parce que celle-ci ne sest pas assise là où il fallait au restaurant (ce nest quun exemple ). » On trouve ce commentaire fleuri dans le guide touristique que consacre le Petit Futé à lAlgérie. Contacté par Chloé Leprince, du site Rue89.com, Jean-Paul Labourdette, directeur de la collection, est étonné.
http://www.al-kanz.org/2010/08/27/algerie-petit-fute-xenophobie/
« Ayons les femmes le reste suivra. Il y a chez lEuropéen cristallisation dune agressivité, mise en tension dune violence en face de la femme algérienne. Dévoiler cette femme, cest mettre en évidence la beauté, cest mettre à nu son secret, briser sa résistance, la faire disponible pour laventure. Cacher le visage, cest aussi dissimuler un secret, cest faire exister un monde du mystère et du caché. Confusément, lEuropéen vit à un niveau fort complexe sa relation avec la femme algérienne. Volonté de mettre cette femme à portée de soi, den faire un éventuel objet de possession.
Cette femme qui voit sans être vue frustre le colonisateur. Il ny a pas réciprocité. Elle ne se livre pas, ne se donne pas, ne soffre pas. LAlgérien a, à légard de la femme algérienne, une attitude dans lensemble claire. Il ne la voit pas. Il y a même volonté permanente de ne pas apercevoir le profil féminin, de ne pas faire attention aux femmes. Il ny a donc pas chez lAlgérien, dans la rue ou sur une route, cette conduite de la rencontre intersexuelle que lon décrit aux niveaux du regard, de la prestance, de la tenue musculaire, des différentes conduites troublées auxquelles nous a habitués la phénoménologie de la rencontre.
http://www.al-kanz.org/2010/08/24/petit-fute-algerie/