Pour les Espagnols, leur gouvernement n'a pas joué la carte de la fermeté face au Maroc

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Les Espagnols estiment que leur gouvernement n'a pas joué la carte de la fermeté face au Maroc. C'est ce que révèle un sondage réalisé par le cabinet Sigma-Dos.
Les Espagnols ont réagi à la crise diplomatique entre leur pays et le Maroc à travers un sondage réalisé par le cabinet Sigma-Dos et publié par El Mundo. Selon 53 % des personnes interrogées, le gouvernement espagnol n'a pas agi avec fermeté contre le Maroc, surtout suite à l'arrivée massive de migrants à Ceuta entre le 17 et le 18 mai dernier. 80 (...)

- Monde / Espagne, Sondage, Diplomatie

Pour les Espagnols, leur gouvernement n'a pas joué la carte de la fermeté face au Maroc
 
Les Espagnols estiment que leur gouvernement n'a pas joué la carte de la fermeté face au Maroc. C'est ce que révèle un sondage réalisé par le cabinet Sigma-Dos.
Les Espagnols ont réagi à la crise diplomatique entre leur pays et le Maroc à travers un sondage réalisé par le cabinet Sigma-Dos et publié par El Mundo. Selon 53 % des personnes interrogées, le gouvernement espagnol n'a pas agi avec fermeté contre le Maroc, surtout suite à l'arrivée massive de migrants à Ceuta entre le 17 et le 18 mai dernier. 80 (...)

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Pour les Espagnols, leur gouvernement n'a pas joué la carte de la fermeté face au Maroc
Qu es qui s appelle être ferme ? Sortie l artillerie militaire par exemple ?
 

Jeune Afrique: «l’Espagne, accrochée aux confettis de son empire défunt, comme une huître au rocher d’Alhucemas»​


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L’Espagne est un royaume accroché aux confettis de son empire défunt –Ceuta, Melilla et une poussière d’îlots– comme une huître au rocher d’Alhucemas, a écrit hier, lundi 7 juin 2021, le magazine Jeune Afrique.
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Au moment du partage du Maroc entre la France et l’Espagne en 1912, le Nord et l’extrême-sud saharien sont revenus à cette dernière, qui «n’est plus que l’ombre de la puissance mondiale d’antan», et y trouve une grande cause pour reprendre foi en son destin, souligne François Soudan, directeur de la rédaction de Jeune Afrique, dans un éditorial.

Selon lui, il s’agit d’une exaltation de l’hispanidad liée à cette prise de conscience, car l’avenir de la péninsule se joue au sud d’Algésiras, de l’autre côté du détroit.

Brahim Ghali, Sahara, Sebta et Melilla… Pourquoi le torchon brûle entre le Maroc et l’Espagne, selon Jeune Afrique


Mais cette colonisation, note-t-il, sera une colonisation «pauvre, sans les outils financiers et militaires pour l’accomplir», rappelant que quand éclate l’interminable guerre du Rif, l’armée espagnole est écrasée et surtout humiliée sur le plateau d’Anoual par les tribus d’Abdelkrim et la reconquête dévastatrice ne sera possible que grâce aux Français.

«L’Espagne est saignée et n’occupe en réalité que les côtes. Au sud, au Rio de Oro, le tableau a des allures d’étouffoir. Jusqu’à leur retrait en 1975, les Espagnols patrouillent, surveillent, répriment, exploitent un peu les phosphates de Boukraa, mais n’administrent presque pas et, surtout, ne créent rien», explique le directeur de Jeune Afrique.

A ses yeux, la «persistance du double lien d’allégeance et d’appartenance, tant religieuse que personnelle, des grandes tribus sahraouies au sultan du Maroc, s’explique aussi par cela: le joug, donc l’aliénation culturelle suscitée par une colonisation somnolente, fut ici beaucoup moins pesant que sous le protectorat français et n’engendra qu’un ersatz de sentiment national».

Vu de Rabat aujourd’hui, l’acte refondateur du pacte entre la monarchie et son peuple que fut la récupération du Sahara occidental est plus que jamais une évidence, souligne-t-il, faisant observer que les notions d’autodétermination et de libération de l’ex-colonie espagnole ne sont pas recevables aux yeux d’une majorité écrasante de Marocains. Qui s’oppose à la cause sacrée se met en dehors de la communauté nationale, les Sahraouis sont marocains et la question est réglée parce qu’elle ne peut pas être posée.

Quant à l’Algérie, elle a «créé» le Polisario dans l’unique but de s’ouvrir un débouché sur l’Atlantique par «petit vassal interposé».

«Le débat s’arrête là», tranche François Soudan, qui souligne que l’Espagne, elle, est dans une position «ambiguë».

Maroc-Espagne: la crise sera longue


«Si plus personne ne cultive la nostalgie de l’époque où le Tercio montait la garde sur les fortins d’El Aaiún ou de Villa Cisneros, la double culpabilité d’avoir abandonné à leur sort la poignée de militants sahraouis indépendantistes et de ne pas être parvenu à se ménager un État sous influence ibérique à quelques encablures des îles Canaries irrigue encore la classe politique, les ONG, les médias et une partie de l’opinion», écrit-il.

«Entre ces deux vieilles nations où le sentiment national repose sur la terre, sur les morts et sur le sang versé transmis par hérédité, les relations ne peuvent être que passionnelles. Surtout quand revient à chaque crise cette odeur d’istiamar («colonialisme») que les Marocains sont si prompts à détecter», conclut-il.


 
ils occupent des terres géographiquement et incontestablement marocaines ces imbéciles! Dans un monde civilisé ils auraient rendu ces terres au Maroc depuis la fin du colonialisme.
 
ils occupent des terres géographiquement et incontestablement marocaines ces imbéciles! Dans un monde civilisé ils auraient rendu ces terres au Maroc depuis la fin du colonialisme.
Beaucoup de marocains ne savent pas que les territoire de Ceuta et Melilla n'ont été agrandis que très récemment grâce aux alaouites
Avant le milieu du 19ème siècle par exemple Sebta ne se limitait qu'à la péninsule , les espagnols sont entrés à l'intérieur des terre jusqu'à la frontière actuelle à cause d'accords mal ficellés après la guerre de Tetouan ...ce qui leur a permi et à Sebta et Melilla d'accéder à certaines sources d'eau!
Pendant les différentes guerres et affrontements qui ont opposés les Rifains à l'Espagne , les alaouites sont toujours intervenus non
pas pour aider les Rifains mais pour les combattre ... à la demande je vous le demande à la demande soit de l'Espagne
soit des occidentaux et de l'Espagne pour ce qu'on appelle "les pirates du Rif" qui n'est pas de la piraterie mais la défense de la côte
L'énorme erreurs (mais est-ce une erreurs?) c'est l'acceptation par Mohamed 5 et son fils Hassan de l'occupation de Sebta et Melilla
au lieu d'exiger tout simplement le départ de l'Espagne ; la décolonisation était en faveur des pays du sud ; fallait battre le fer tant qu'il était chaud ou alors au moins exiger un retour au frontières d'avant 1840 ou 1860 je ne sais plus exactement les dates
 
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