Pour ceux qui croient dans la divinité "média" voila qlq faits historiques...
Martin Luther King était républicain et non pas démocrate, comme presque tous les Afro-Américains à lépoque;
-que cette fidélité des Noirs américains au parti de léléphant remonte à son fondateur, Lincoln, champion des droits civils dès le départ;
-que les Noirs américains appelaient le parti démocrate, le parti du quadruple S (SSSS): Servitude, Sécession, Ségrégation et Socialisme;
-que le Ku Klux Klan est une émanation du parti démocrate, qui entendait maintenir la ségrégation dans le Sud, le Dixieland, afin de conserver son électorat de petits blancs;
-que le Civil Rights Act de 1957 émane du Républicain Eisenhower et que John Fitzgerald Kennedy et Al Gore (senior) sy étaient opposés;
-que Kennedy na fait volte-face quau dernier moment, en disant If you cant beat them, join them;
-que le Sénateur démocrate Robert Byrd, ancien militant du KKK, a déclaré quelques semaines avant lassassinat de Martin Luther King, que ce dernier était un fauteur de troubles suite aux émeutes de Memphis dans le Tennessee;
-que le Président démocrate Woodrow Wilson en 1912 a purgé toute ladministration fédérale de ce quelle comptait dAfro-Américains;
-que Lyndon Johnson, le successeur de Kennedy, a traité avec mépris Martin Luther King de prêcheur nègre, à cause de son opposition à la guerre du Vietnam;
-que la mutation politique du Vieux Sud ségrégationniste na commencé que vers le milieu des années 70, sous limpulsion de Nixon qui recommandait aux chrétiens blancs de ne pas boycotter leurs frères afro-américains en religion; le processus de républicanisation de lélectorat blanc des Etats du Sud a été très lent: la Géorgie na basculé dans le camp républicain quen 2002 et la Louisiane est toujours démocrate et conserve des relents camouflés de ségrégationnisme indirect en dépit des mutations de la société américaine;
- que les démocrates, tout récemment, ont rejeté la proposition républicaine dun salaire minimal, alors que cette mesure allait à lencontre des désirs et des besoins de leur électorat afro-américain.
Martin Luther King était républicain et non pas démocrate, comme presque tous les Afro-Américains à lépoque;
-que cette fidélité des Noirs américains au parti de léléphant remonte à son fondateur, Lincoln, champion des droits civils dès le départ;
-que les Noirs américains appelaient le parti démocrate, le parti du quadruple S (SSSS): Servitude, Sécession, Ségrégation et Socialisme;
-que le Ku Klux Klan est une émanation du parti démocrate, qui entendait maintenir la ségrégation dans le Sud, le Dixieland, afin de conserver son électorat de petits blancs;
-que le Civil Rights Act de 1957 émane du Républicain Eisenhower et que John Fitzgerald Kennedy et Al Gore (senior) sy étaient opposés;
-que Kennedy na fait volte-face quau dernier moment, en disant If you cant beat them, join them;
-que le Sénateur démocrate Robert Byrd, ancien militant du KKK, a déclaré quelques semaines avant lassassinat de Martin Luther King, que ce dernier était un fauteur de troubles suite aux émeutes de Memphis dans le Tennessee;
-que le Président démocrate Woodrow Wilson en 1912 a purgé toute ladministration fédérale de ce quelle comptait dAfro-Américains;
-que Lyndon Johnson, le successeur de Kennedy, a traité avec mépris Martin Luther King de prêcheur nègre, à cause de son opposition à la guerre du Vietnam;
-que la mutation politique du Vieux Sud ségrégationniste na commencé que vers le milieu des années 70, sous limpulsion de Nixon qui recommandait aux chrétiens blancs de ne pas boycotter leurs frères afro-américains en religion; le processus de républicanisation de lélectorat blanc des Etats du Sud a été très lent: la Géorgie na basculé dans le camp républicain quen 2002 et la Louisiane est toujours démocrate et conserve des relents camouflés de ségrégationnisme indirect en dépit des mutations de la société américaine;
- que les démocrates, tout récemment, ont rejeté la proposition républicaine dun salaire minimal, alors que cette mesure allait à lencontre des désirs et des besoins de leur électorat afro-américain.