salam
Parité et égalité des chances s’imposent
Le débat sur la parité et l'égalité des chances s'impose de nouveau à l'occasion de la célébration ce samedi de la Journée internationale de la femme, une occasion pour faire un état des lieux de la situation de la femme marocaine toujours aspirant à renforcer ses acquis, en particulier en matière d'accès aux postes de responsabilité.
Au-delà des acquis qu'elle a su arracher aussi bien sur le plan des droits sociaux, économiques que politiques, la femme marocaine aspire à faire évoluer davantage son statut de manière à pouvoir jouir pleinement de ses droits avec l'institutionnalisation des règles de la parité dans la gestion de la chose publique, condition sine qua non pour un accès égalitaire avec les hommes aux postes de responsabilité et à la prise de décision, tant au niveau local que national.
Laila Miyara, présidente de l'Association des femmes chefs d'entreprises (AFEM), résume la réalité complexe de la condition féminine au Maroc: d'un côté, une Constitution garantissant l'égalité homme-femme et la parité, et de l'autre, un quotidien nourri de contraintes pour les femmes, ce qui pousse à s'interroger sur leur capacité à se positionner et s'imposer en tant que force de proposition dans la gestion des affaires publiques.
En plaçant, cette année, la Journée internationale de la femme sous le thème "L'égalité pour les femmes, c'est le progrès pour toutes et tous", l'Organisation des Nations unies (ONU) invite l'ensemble des parties concernées à déployer davantage d'efforts pour défendre les droits des femmes et leur autonomisation, mais aussi l'égalité des sexes, "synonyme de progrès accomplis non seulement pour les femmes, mais pour tous".
http://www.libe.ma/Pour-un-meilleur-acces-de-la-femme-aux-postes-de-responsabilite_a47823.html
Parité et égalité des chances s’imposent
Le débat sur la parité et l'égalité des chances s'impose de nouveau à l'occasion de la célébration ce samedi de la Journée internationale de la femme, une occasion pour faire un état des lieux de la situation de la femme marocaine toujours aspirant à renforcer ses acquis, en particulier en matière d'accès aux postes de responsabilité.
Au-delà des acquis qu'elle a su arracher aussi bien sur le plan des droits sociaux, économiques que politiques, la femme marocaine aspire à faire évoluer davantage son statut de manière à pouvoir jouir pleinement de ses droits avec l'institutionnalisation des règles de la parité dans la gestion de la chose publique, condition sine qua non pour un accès égalitaire avec les hommes aux postes de responsabilité et à la prise de décision, tant au niveau local que national.
Laila Miyara, présidente de l'Association des femmes chefs d'entreprises (AFEM), résume la réalité complexe de la condition féminine au Maroc: d'un côté, une Constitution garantissant l'égalité homme-femme et la parité, et de l'autre, un quotidien nourri de contraintes pour les femmes, ce qui pousse à s'interroger sur leur capacité à se positionner et s'imposer en tant que force de proposition dans la gestion des affaires publiques.
En plaçant, cette année, la Journée internationale de la femme sous le thème "L'égalité pour les femmes, c'est le progrès pour toutes et tous", l'Organisation des Nations unies (ONU) invite l'ensemble des parties concernées à déployer davantage d'efforts pour défendre les droits des femmes et leur autonomisation, mais aussi l'égalité des sexes, "synonyme de progrès accomplis non seulement pour les femmes, mais pour tous".
http://www.libe.ma/Pour-un-meilleur-acces-de-la-femme-aux-postes-de-responsabilite_a47823.html