salam
Pour un sujet dexamen sur la Palestine qui fâche : Les blouses blanches françaises en émoi
«Vous êtes à lhôpital de Rafah, situé dans la Bande de Gaza lors de la guerre de lhiver 2008-2009. Des ambulances vous amènent 22 corps portant tous le nom dAl-Daya. Les ambulanciers et les membres survivants de la famille vous déclarent quil sagissait dun bombardement classique. La mort de chacun dentre eux a été constatée.
Quelle est ou quelles sont les qualifications des crimes perpétrés (crime de guerre, crime contre lhumanité, crime de génocide) ? Argumentez votre position en vous basant sur les définitions des différents crimes.»
Tel est le sujet dexamen en médecine humanitaire, proposé mardi dernier par Christophe Oberlin à ses étudiants à la Faculté de médecine de lhôpital Bichat, à Paris.
Christophe Oberlin, ce sexagénaire par qui la polémique a éclaté, est un chirurgien des hôpitaux et professeur à la faculté Denis Diderot à Paris. Il y enseigne lanatomie, la chirurgie de la main et la microchirurgie en France et à létranger. Il est aussi auteur douvrages sur la Palestine.
A ses heures et dans le cadre dactivités associatives et caritatives, il pratique depuis une trentaine dannées la chirurgie humanitaire et enseigne la médecine en Afrique subsaharienne, notamment dans le domaine de la chirurgie de la lèpre, au Maghreb et en Asie. Régulièrement depuis une douzaine dannées, il se rend dans la Bande de Gaza pour des missions chirurgicales en Palestine.
Cest vraisemblablement son expérience et plus particulièrement son vécu de plusieurs séjours en Palestine (une trentaine) qui ont dû lui dicter cette question pour le moins tout à fait dans les règles et dactualité et surtout dans le vif du sujet puisque concernant lhumanitaire.
Pour un sujet dexamen sur la Palestine qui fâche : Les blouses blanches françaises en émoi
«Vous êtes à lhôpital de Rafah, situé dans la Bande de Gaza lors de la guerre de lhiver 2008-2009. Des ambulances vous amènent 22 corps portant tous le nom dAl-Daya. Les ambulanciers et les membres survivants de la famille vous déclarent quil sagissait dun bombardement classique. La mort de chacun dentre eux a été constatée.
Quelle est ou quelles sont les qualifications des crimes perpétrés (crime de guerre, crime contre lhumanité, crime de génocide) ? Argumentez votre position en vous basant sur les définitions des différents crimes.»
Tel est le sujet dexamen en médecine humanitaire, proposé mardi dernier par Christophe Oberlin à ses étudiants à la Faculté de médecine de lhôpital Bichat, à Paris.
Christophe Oberlin, ce sexagénaire par qui la polémique a éclaté, est un chirurgien des hôpitaux et professeur à la faculté Denis Diderot à Paris. Il y enseigne lanatomie, la chirurgie de la main et la microchirurgie en France et à létranger. Il est aussi auteur douvrages sur la Palestine.
A ses heures et dans le cadre dactivités associatives et caritatives, il pratique depuis une trentaine dannées la chirurgie humanitaire et enseigne la médecine en Afrique subsaharienne, notamment dans le domaine de la chirurgie de la lèpre, au Maghreb et en Asie. Régulièrement depuis une douzaine dannées, il se rend dans la Bande de Gaza pour des missions chirurgicales en Palestine.
Cest vraisemblablement son expérience et plus particulièrement son vécu de plusieurs séjours en Palestine (une trentaine) qui ont dû lui dicter cette question pour le moins tout à fait dans les règles et dactualité et surtout dans le vif du sujet puisque concernant lhumanitaire.