Pourquoi exprimer ses émotion est mal vu ?

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aedem sed aliter
Bladinaute averti
Pourquoi exprimer ses emotions est vu comme une forme de faiblesse ou est mal vu ?
Et cela même entre membre d une même famille et cette fausse pudeur ou devrait je dire forme d'hypocrisie est mal vécu...
Exemple un grand frère qui veut le bien pour ça soeur peut la frapper si il la voit par exemple trainer avec un gars ...
 
Peut être que l expression mal vu n est pas exacte mais l idée est la pourquoi les gens sont il mal à l aisé ou gêner d exprimer leur ressenti mais si cela est positif ...
Cela rejoint le problème derrière la politesse soulever sur ce poste :

 
J avais même lu un commentaire disant qu une mère exprimer sont amour au travers les plats quel préparer a sa famille et si un membre de la famille n en voulai pas elle pouvait le prendre comme un rejet de ses sentiments
C vraiment tordu tout ça pour ne pas exprimer clairement son amour pour x ou y raison ...
Pourquoi somme nous s y gêner d exprimer nos émotion ?
 
Pourquoi exprimer ses emotions est vu comme une forme de faiblesse ou est mal vu ?
Et cela même entre membre d une même famille et cette fausse pudeur ou devrait je dire forme d'hypocrisie est mal vécu...
Exemple un grand frère qui veut le bien pour ça soeur peut la frapper si il la voit par exemple trainer avec un gars ...
moi je frappe le gars comme ce-la il vient plus tourner près d'elle, et les autre sont avertis ils réfléchiront a deux fois !
 
moi je frappe le gars comme ce-la il vient plus tourner près d'elle, et les autre sont avertis ils réfléchiront a deux fois !
Oui mais la sœur aime la personne et pourrai en être affecter
Pourquoi le frère ne parle t il pas sincèrement a sa soeur pour lui expliquer pourquoi il s' inquiète pour elle car il ne sera pas toujours derrière elle pour surveiller ses fait et geste ...
Est ce de sentiment de gêne qui empêche ce frère d avoir une vrai discution avec sa soeur ou est ce un manque de maturité
 
Oui mais la sœur aime la personne et pourrai en être affecter
Pourquoi le frère ne parle t il pas sincèrement a sa soeur pour lui expliquer pourquoi il s' inquiète pour elle car il ne sera pas toujours derrière elle pour surveiller ses fait et geste ...
Est ce de sentiment de gêne qui empêche ce frère d avoir une vrai discution avec sa soeur ou est ce un manque de maturité
mais tu rigole, tu croie qu'il y a autant de gens débile a ce point, pour frapper leur petite sœur ?
 
mais tu rigole, tu croie qu'il y a autant de gens débile a ce point, pour frapper leur petite sœur ?

C juste un exemple ... J aurai pu dire un père et son fils ou une mère et ses enfant entre frère ou entre soeur ...

Mais pour info cela est plus courant que tu ne le pense j en est était déjà témoin plus d une fois j' ai même vu le petit frère frapper sa grande soeur
Une autre fois la mère qui frappe sa fille ...
 
C juste un exemple ... J aurai pu dire un père et son fils ou une mère et ses enfant entre frère ou entre soeur ...

Mais pour info cela est plus courant que tu ne le pense j en est était déjà témoin plus d une fois j' ai même vu le petit frère frapper sa grande soeur
Une autre fois la mère qui frappe sa fille ...
mais il constitue une fine parti, donc il faut pas généraliser non plus,
 
Certains profiteront de cette faiblesse à un moment où l'autre.
En quoi exprimer ses émotion serai une faiblesse ?
Je pense au contraire que cela nous rend plus fort notamment en aillant une meilleur connaissance de nous même et en nous donnant une plus grande intelligence émotionnel et en nous donnant des relation qui autre plus sincere et enrichissant ....
 
Alexithymie cyclothymie pensé complexe emotion complexe etc ...



https://www.youtube.com/watch?v=WJ8d8g6g-6A

 
Dernière édition:
pourquoi nous n'assumons pas nos emotions ?
pourquoi ne sommes nous pas sincere ?
le paradoxe de la honte ...

comprendre le role de l'ego dans tout ca ...
pourquoi avoir mis en place tout un jeux psychologique qui nous epuise mentalement ?
de plus beaucoup de gens malhonnete abuse de cela pour manipuler

pourquoi joué a ce jeux ?

Les « jeux psychologiques » sont un concept central de l’Analyse transactionnelle d’Eric Berne.
Ce sont des schémas récurrents de comportement souvent dysfonctionnels que les gens adoptent
pour obtenir des gains psychologiques, souvent inconscients.
Ces jeux ont souvent des règles implicites, et ils mènent généralement à une situation où tous les participants se sentent insatisfaits,
bien que le jeu puisse apporter une sorte de gratification à court




affirmation de soit et cnv ...
 
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cela a t'il un rapport avec le sexe ?
c'est d'un pathetique ....

pourquoi un t'elle honte ?
la peur/honte d'avoir peur/honte

apprentissage de la honte cela commence a 2 - 4 ans

et de cela qu'est tiré le mythe d'adam ? symbole du serpent = la honte hayy ...


il ne va pas au fond du probleme ... (la question du jugement)
 
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voila pourquoi la CNV est infiniment superieur a l'islam ...

seul les pervers les tordu devrait avoir honte ...

on croirai lire du aleister crowley
إن مما أدرك الناس من كلام النبوة الأولى :
إذا لم تستح فاصنع ما شئت .
( رواه البخاري )
L'Envoyé d'Allah - صلى الله عليه و سلم - a dit :
" Parmi les antiques paroles prophétiques que les gens saisissent encore, il y a celle-ci :
" Si tu n'as pas de HONTE, alors tu es libre de faire ce que tu veux

decodé langage sensation imagination coran
honte complexe faille jugement
 
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l'orgueil et la honte les 2 face d'une meme piece ...
faire le lien avec les blessures a la base de notre personnalité

https://www.youtube.com/watch?v=QdSAaumWUV0
 
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comprendre la honte et ses differente forme
voir complexe beauté capacité aptitude
(comparer avec le manque d'estime de confiance de soit)
inhibition




La honte nous informe sur notre valeur et notre place d'humain dans la communauté des humains.
Elle renvoie à la dignité, à l'identité et à la justesse relationnelle de chacun dans la communauté humaine.
« On n'éprouve jamais de la honte seul face à soi-même. La honte est un sentiment qui est toujours vécu « devant » les autres et « par rapport » à leur jugement. La honte est composée d'une réaction d'humiliation devant le jugement de l'autre et du jugement négatif qu'on porte soi-même sur cet aspect. Elle permet de constater que nous n'assumons pas ce qui nous fait honte. Elle permet aussi d'identifier le jugement que nous portons nous-mêmes sur le sujet. (C'est justement ce jugement qui rend difficile de l'assumer). Enfin, elle nous informe de l'importance des personnes devant lesquelles nous vivons cette honte. »
Il ne s'agit pas exactement d'une réaction émotionnelle au jugement de l'autre, mais à ce que l'on imagine du jugement de l'autre, sans aller vérifier ce jugement. Ce n'est pas B qui juge A, mais A qui pense que B juge A. C'est le soi qui juge le soi (Fossum et Mason).





La honte est une émotion complexe résultant d'une non conformité à certaines exigences sociales
(image de soi, caractéristiques physiques, maitrise de codes culturels...)
ou d'une culpabilisation collective (grossophobie, sérophobie, mépris de classe...).

Elle se distingue des autres émotions par sa dimension sociale, secrète, narcissique, corporelle et spirituelle.
La honte a des aspects positifs et négatifs.
Elle est parfois définie comme la version sociale de la culpabilité, et joue un rôle dans la phobie sociale.


La honte est un mélange d'émotions simples (peur, colère, tristesse) et de sentiments (impuissance, rage retenue, désespoir triste, vide…).
Il s'agit d'une émotion plus archaïque que la culpabilité au sens où elle est souvent moins verbale et plus sensorielle que cette dernière.
Elle se manifeste émotionnellement (gêne, malaise, peur… ou exubérance, agressivité…),
corporellement (yeux baissés, tête basse, rougissement… ou tête haute…),
cognitivement (discours interne dévalorisant ou agressif…)
et comportementalement (inhibition, paralysie ou ambition, exhibitionnisme…).


Dans ses travaux sur le traumatisme psychique Jacques Roisin, après avoir étudié le cas d'Antoine Alaphilippe,
distingue trois types de honte :
la honte du désarroi,
la honte du presque-rien
et la honte de déshumanisation1.
 
Dernière édition:

Image corporelle​

  • La honte a une dimension corporelle. Elle est liée à la frontière corporelle, à la peau et à l'hygiène du corps. Elle est très souvent associée au thème de la sexualité et de l'image de soi par le corps. Les personnes souffrant de troubles alimentaires sont particulièrement affecté par ce sentiment, celles souffrant d'anorexie la ressentent dans l'acte indulgent de s'alimenter, les personnes boulimiques la ressentent dans leurs épisodes de suralimentation3. La honte modifie l'image corporelle et s'ancre parfois dans le faux sentiment d'être sale, laid, monstrueux, difforme…
  • La honte a une dimension visuelle. Elle survient lorsqu'on est visible dans un aspect de soi qu'on juge très négativement.

Blessure narcissique​


Cachée ou montrée dans l'excès, de forme soumise ou défensive, la honte signe une blessure narcissique profonde.
Elle enveloppe corporellement le sujet comme une boule qui soit rougit, se vide, reste figé…
soit se gonfle de façon défensive pour prendre toute la place comme la grenouille orgueilleuse de Jean de la Fontaine.

La honte est souvent associée à d'autres troubles :
l'alcoolisme, les addictions, la dépression, la phobie sociale…
Un sentiment de honte persistant peut conduire à la dépression voire au suicide.
En effet, une honte excessive engendre une perte importante d'énergie et un fort sentiment de désespoir.

Aspects positives
La honte, en tant qu'inhibition, est positive quand elle limite nos comportements sans altérer notre identité.
Comme toutes les émotions, elle nous informe sur nous, et nous invite à ne nous placer

ni en « sous-homme » (soumission, position de victime)
ni en « sur-homme » (domination, position de sauveur ou persécuteur).
Excès de honte et absence de honte sont préjudiciables ...
 
Dernière édition:

Aspects négatifs​

La honte a des aspects négatifs quand elle est excessive chez un individu.
Elle est alors source de souffrance individuelle… Elle amène a des conduites d'évitement, une phobie sociale, une anxiété liée à un sentiment d'insécurité et d'appartenance, de l'inhibition… Un isolement social peut alors s'ensuivre.
Émotion liée au silence et à la solitude2.


Les excès de honte proviennent des humiliations, du mépris, des moqueries, de l'illégitimité, des secrets, de la régression sociale, de la rivalité, du mensonge…
ou des messages d'orgueil, d'ambition, de désir… que l'individu reçoit des autres (les expressions « faire honte », « porter la honte » montrent que la honte est externe au sujet au départ).
La honte passe parfois d'abord par les comportements pour ensuite fragiliser et endommager l'Être.
Elle creuse son sillon dans la personnalité par passages successifs.
Elle fonctionne en spirale en poussant le sujet à la fois vers le bas (« ego » brisé, déficit narcissique, forme de soumission)
ou vers le haut (« ego » surdimensionné, excès narcissique, forme de domination, forme réactionnelle et défensive).

La honte ne s'enracine pas dans la conscience d'avoir mal agi (il s'agit là de culpabilité),
mais dans le sentiment d'être indigne, comme être humain dans un contexte social.
Une fois installée et enkystée dans la personnalité, la honte excessive mine l'ego (ou le surdimensionne par réaction défensive).
Dans le film de David Lynch Elephant Man, le personnage principal (Elephant Man, enfant né avec une malformation physique, symbole du monstre), ne fait rien de mal, et pourtant il souffre de honte. Il vit caché, humilié, et il dit la souffrance de la honte quand il crie « Je ne suis pas un éléphant, je suis un être humain ». La honte amène le sujet à croire qu'il a quelque chose qui ne va pas, comme Gainsbourg qui chante « Je suis l'homme à tête de chou ». La honte peut engendrer une mauvaise estime de soi, et même une haine de soi.

De plus, il a récemment été découvert que le sentiment de honte est susceptible d'influencer les capacités cognitives.
La mémoire dite de travail est en effet liée à l'état émotionnel éprouvé.
Ce type de mémoire est un processus d'encodage dynamique par lequel l'information est acquise et mise à jour de façon répétée avec l'arrivée de nouvelles informations. Le sentiment de honte provoque une augmentation du taux de cortisol, hormone impliquée dans la détérioration des capacités cognitives.
La honte (et la culpabilité) provoque par contre une diminution conséquente du taux de dopamine, hormone qui joue quant à elle un rôle très positif sur la mémoire3.
 
complexe inferiorité theorie d'adler
faire comme si ... fiction ...

 
reprendre le controle sur la pensé et les emotions ? trop emmêler confus et intense ...
comme pour le refoulement cela n'est pas sans ?????

comprendre les emotions et leur ... et les assumer
j'avais parlé trop vite je comprend mieu toute cette hypocrisie
c pour attenuer les emotions les moderer en en faisant un tabou une honte inconsciente ...
marla scarification scare cicatrice sacrifice kintsugi

se nourrir d'emotion don't feed the troll...

au sujet de vivre par procuration
il suffirai de crée une separation entre soi et son ressenti
c'est ce qui semble se passé lors de tdi et emi

plus difficile est de selectionné les emotions en reconditionnant par la gratitude

d'où le dilemne entre psychopathie (ego) et empathie (?) (consequence d'un tel choix ?)
 
Dernière édition:
pourquoi existent il encore un tel tabou gene autour du sexe et cela dans quasiment toute les cultures ?
en particulier entre parent et enfant ?

www.bladi.info/threads/voila-pourquoi-je-considere-que-lhumanite-est-debile.549910/

confiance
 
Dernière édition:
La gêne entre parents et enfants lorsqu'il s'agit de parler de sexualité, d'intimité ou de corps découle de mécanismes complexes,
souvent liés à des facteurs culturels, psychologiques et relationnels. Voici les principales raisons :



1. Dynamique hiérarchique et rôle parental

  • Autorité et protection : Les parents sont souvent perçus comme des figures d'autorité et de protection, ce qui peut rendre incongru l'idée d'aborder des sujets liés au corps, au désir ou à la vulnérabilité.
  • Inversion des rôles : Parler de sexualité peut brouiller la frontière symbolique entre "adulte" et "enfant", créant un malaise lié à la peur de "perdre" son rôle de guide.

2. Tabou transgénérationnel

  • Éducation reçue : Si les parents ont eux-mêmes grandi dans un climat de silence ou de honte autour du sexe, ils reproduisent souvent ce schéma par manque de modèle de communication saine.
  • Génération différente : Les normes sociales et les valeurs (ex : libération sexuelle, LGBTQ+) évoluent rapidement, ce qui peut creuser un fossé entre les expériences des parents et celles des enfants.

3. Peur de la "contamination morale"

  • Protéger l'innocence : Certains parents craignent que parler de sexualité trop tôt "vole" l'innocence de l'enfant ou l'expose à des réalités adultes.
  • Crainte de l'influence : Aborder des sujets comme la contraception, l'orientation sexuelle ou le plaisir peut être perçu comme une incitation à l'expérimentation.

4. Honte et pudeur personnelle

  • Intimité exposée : La sexualité des parents (passée ou actuelle) est un sujet tabou, et en parler risquerait de révéler leur propre vie intime, source de gêne mutuelle.
  • Corps et pudeur : Le corps de l'enfant, en pleine transformation (ex : puberté), devient un sujet sensible, surtout dans des cultures où la nudité est cachée.

5. Facteurs culturels et religieux

  • Morale traditionnelle : Dans certaines cultures, évoquer la sexualité en famille est considéré comme irrespectueux ou impudique (ex : en Asie, Afrique, ou milieux religieux conservateurs).
  • Langage codé : Le manque de vocabulaire "neutre" pour décrire le corps ou les actes sexuels force souvent à des euphémismes, renforçant la gêne.

6. Enjeux psychanalytiques

  • Complexe d'Œdipe : Selon Freud, la relation parent-enfant est marquée par des interdits inconscients liés au désir, rendant la sexualité un sujet "interdit" symboliquement.
  • Frontières identitaires : La sexualité renvoie à l'autonomie et à la séparation de l'enfant, ce qui peut être angoissant pour les parents.

Conséquences de ce malaise

  • Manque d'éducation : Les enfants se tournent vers des sources peu fiables (pornographie, pairs mal informés).
  • Risques sanitaires : Non-information sur les IST, consentement ou contraception.
  • Solitude émotionnelle : Difficulté à aborder des questions cruciales (harcèlement, orientation, abus).

Comment dépasser cette gêne ?

  • Normaliser le dialogue : Utiliser des moments neutres (ex : documentaires, livres adaptés) pour amorcer la conversation.
  • Éducation précoce : Parler du corps et du consentement dès l'enfance, sans attendre la puberté.
  • Outils externes : Faire appel à des professionnels (médecins, psychologues) ou des ressources éducatives.
  • Humilité parentale : Reconnaître sa propre gêne et l'exprimer ("Je trouve ça difficile d'en parler, mais c'est important").

En somme, cette gêne n'est pas une fatalité : elle reflète souvent des normes sociales rigides, mais peut être dépassée par une approche bienveillante, progressive et informée.
 
Pourquoi exprimer ses emotions est vu comme une forme de faiblesse ou est mal vu ?
Et cela même entre membre d une même famille et cette fausse pudeur ou devrait je dire forme d'hypocrisie est mal vécu...
Exemple un grand frère qui veut le bien pour ça soeur peut la frapper si il la voit par exemple trainer avec un gars ...
Exprimer ses émotions n'est pas une faiblesse, mais une force. Malheureusement, beaucoup grandissent avec l’idée que montrer ses sentiments, c'est être vulnérable. Quant à la violence sous prétexte de protection, ce n'est pas de l'amour mais du contrôle. Protéger, c'est conseiller avec bienveillance, pas frapper.
 
Exprimer ses émotions n'est pas une faiblesse, mais une force. Malheureusement, beaucoup grandissent avec l’idée que montrer ses sentiments, c'est être vulnérable. Quant à la violence sous prétexte de protection, ce n'est pas de l'amour mais du contrôle. Protéger, c'est conseiller avec bienveillance, pas frapper.

oui mais pourtant dans nos societé et dans beaucoup de famille exprimer ses emotions est mal vu
en fait l'on vie dans une societé hypocrite ou etre sois meme etre sincere est mal vu
en fait on t'apprend à te conformer à une norme hypocrite exemple la politesse on t'apprend à jouer un role
on t'apprend qu'etre sincere et dire la verité n'est pas toujours apprecier

exemple exprimer ses doute en islam et poser des question sur la veracité de l'islam
dans la communauté musulmane ont prefere l'hypocrisie a la sincerité ...

en reprenant l'exemple du frere et de sa soeur
ok le frere conseil sa soeur mais si la soeur majeur n'est pas convaincu par ses arguments
et souhaite toute de meme avoir un petit copain ...
 
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