SÉRIE SPÉCIALE MOHAMMED VI ET NOUS
extraits :
28 janvier 2000. En résidence surveillée, Abdeslam Yassine, guide d’Al Adl Wal Ihsane, demande par “mémorandum” à Mohammed VI de “restituer au peuple la fortune de Hassan II”.
1er novembre 2001. Le Roi : Je n’ai de leçon à recevoir de personne sur l’islam. Les musulmans n’ont de leçon à recevoir de personne. Les musulmans ont le Coran et Dieu. Il n’y a pas d’intermédiaire. Le seul juge, c’est Dieu. Je ne permettrai pas que quelqu’un puisse s’ériger en tant que conscience. Ce serait une insulte aux musulmans”. Interview à Paris Match.
1er novembre 2001. Le Roi : Au Maroc, les hommes qui ont envie d’être barbus ont le droit de porter la barbe, les femmes qui ont envie de se voiler le visage en ont le droit. Ce n’est pas forcément parce qu’ils agissent de la sorte que ce sont des islamistes ou qu’ils sont dangereux”. Interview à Paris Match,
27 novembre 2002. Soufisme : Ahmed Toufiq, historien, romancier et soufi reconnu, est nommé ministre des Affaires islamiques. La page du “salafiste” Alaoui Mdaghri est tournée.
10 octobre 2003. Le Roi : “Je ne peux, en ma qualité de Commandeur des croyants, autoriser ce que Dieu a interdit, ni interdire ce que Dieu a autorisé”. Discours royal.
10 octobre 2003. Au parlement, le roi annonce la réforme historique de la Moudawana (droit des femmes). Mohammed VI utilise son statut de chef religieux pour faire passer la loi.
16 octobre 2004. Lancement de “radio Coran Mohammed VI”, pour contrer l’influence des “rites étrangers importés” (et violents) comme le wahhabisme.
4 novembre 2004. Petite révolution : Mohammed VI choisit une femme, l’universitaire Rajae Mekkaoui, pour animer en sa présence une causerie ramadanienne.
2 novembre 2005. La chaîne religieuse Assadissa est lancée pour diffuser l’Islam officiel marocain et concurrencer les chaînes satellitaires du Moyen Orient.
12 juillet 2009. Soufisme : Le ministre des Affaires islamiques, Ahmed Toufiq, propose la tenue (au Maroc) d’un “forum mondial du soufisme”. La politique religieuse marocaine s’affirme.
http://www.telquel-online.com/383/images/premier_imam.pdf
extraits :
28 janvier 2000. En résidence surveillée, Abdeslam Yassine, guide d’Al Adl Wal Ihsane, demande par “mémorandum” à Mohammed VI de “restituer au peuple la fortune de Hassan II”.
1er novembre 2001. Le Roi : Je n’ai de leçon à recevoir de personne sur l’islam. Les musulmans n’ont de leçon à recevoir de personne. Les musulmans ont le Coran et Dieu. Il n’y a pas d’intermédiaire. Le seul juge, c’est Dieu. Je ne permettrai pas que quelqu’un puisse s’ériger en tant que conscience. Ce serait une insulte aux musulmans”. Interview à Paris Match.
1er novembre 2001. Le Roi : Au Maroc, les hommes qui ont envie d’être barbus ont le droit de porter la barbe, les femmes qui ont envie de se voiler le visage en ont le droit. Ce n’est pas forcément parce qu’ils agissent de la sorte que ce sont des islamistes ou qu’ils sont dangereux”. Interview à Paris Match,
27 novembre 2002. Soufisme : Ahmed Toufiq, historien, romancier et soufi reconnu, est nommé ministre des Affaires islamiques. La page du “salafiste” Alaoui Mdaghri est tournée.
10 octobre 2003. Le Roi : “Je ne peux, en ma qualité de Commandeur des croyants, autoriser ce que Dieu a interdit, ni interdire ce que Dieu a autorisé”. Discours royal.
10 octobre 2003. Au parlement, le roi annonce la réforme historique de la Moudawana (droit des femmes). Mohammed VI utilise son statut de chef religieux pour faire passer la loi.
16 octobre 2004. Lancement de “radio Coran Mohammed VI”, pour contrer l’influence des “rites étrangers importés” (et violents) comme le wahhabisme.
4 novembre 2004. Petite révolution : Mohammed VI choisit une femme, l’universitaire Rajae Mekkaoui, pour animer en sa présence une causerie ramadanienne.
2 novembre 2005. La chaîne religieuse Assadissa est lancée pour diffuser l’Islam officiel marocain et concurrencer les chaînes satellitaires du Moyen Orient.
12 juillet 2009. Soufisme : Le ministre des Affaires islamiques, Ahmed Toufiq, propose la tenue (au Maroc) d’un “forum mondial du soufisme”. La politique religieuse marocaine s’affirme.
http://www.telquel-online.com/383/images/premier_imam.pdf
