preserver sa langue

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Préserver sa langue

Loqmân avait dit à son fils en lui prodiguant ses conseils : ‘si la parole est d’argent, le silence est d’or.’ Un conseil sublime et s’il était mis en application, on serait tranquilles.

La langue malgré sa petite taille, comporte un danger grave. Et ne peut être sauvé du mal de la langue que celui qui la contrôle par la loi divine.

Ainsi, préserver sa langue fait partir des grandes moralités de l’Islam …

L’homme est responsable de toute parole qu’il profère. Elle est inscrite et comptée. Dieu (Exalté soit-Il) dit : « Il ne prononce pas une parole sans avoir auprès de lui un observateur prêt à l’inscrire. » (Qâf : 18)





Le rang de la préservation de la langue :

Plusieurs hadiths montrent le danger que représentent la langue et la parole…

·Le Prophète (Bpsl) a dit : « La foi d'un serviteur n'est intègre que lorsque son cœur le devient et son cœur n'est intègre que lorsque sa langue le devient.»(L’authentique de l’exhortation)

· Le Prophète (Bpsl) a dit : « Au matin, les membres se soumettent à la langue et disent : «Crains Allah pour nous, nous sommes en toi, si tu es intègre nous le sommes et si tu es vicieux nous le sommes.»(At-Termidhi)

· Le Prophète (Bpsl) a dit : « «L’homme peut, par la grâce d’Allah, prononcer un mot dont il ne suppose pas l’ampleur et avec lequel il acquiert l’agrément d’Allah jusqu’au Jour de la Résurrection … et, il peut par la disgrâce d’Allah, prononcer un mot dont il ne suppose pas l’ampleur et avec lequel il acquiert le désagrément d’Allah jusqu’au Jour de la Résurrection.»(Chaîne authentique)
 
Ce qui limite les paroles :

Celui qui veut se protéger contre les maux de la langue doit :

1.Ne parler que si ses paroles sont bénéfiques pour lui ou pour les gens, ou pour repousser un malheur

2.Choisir le bon moment pour parler. Et comme on dit : pour chaque situation, une parole.

3.Se contenter de dire ce qui réalise l’objectif souhaité. La bonne parole étant entre le résumé qui manque de précision et la longueur qui ennuie.

4.Choisir les bonnes paroles, car les paroles sont signes de son esprit et son éducation.

5.Ne pas exagérer dans les éloges, car cela fait partie de l’ostentation, et l’exagération dans la critique est une sorte de vengeance.

6.Ne pas proférer des paroles insultantes. Ne dire que de bonnes paroles.

7.Occuper la langue par l’évocation de Dieu, et ne dire que ce qui est bon.
 
Les catégories de paroles :

La parole est de quatre catégories :

1.Un préjudice certain : le mensonge, le faux témoignage, la médisance. Il faudra donc garder le silence.

2.Un bienfait sûr : recommander le louable et interdire le blâmable, le conseil et le rappel. Le Prophète (Bpsl) a dit : « Que celui qui a foi en Allah et en le Jour dernier, qu'il dise du bien ou se taise.»(authentique)

3.Une parole qui n’est ni préjudiciable ni bénéfique : celle-ci comporte un danger. Car elle peut être mélangée avec le péché, l’ostentation, la médisance, et se faire des éloges, la curiosité. Un tel mélange peut ne pas être perçu.
 
Les fruits de la préservation de la langue :

1.Obtenir la satisfaction de Dieu (exalté soit-Il). Le Prophète (Bpsl) a dit : « L’homme profère une parole, et ne croyait pas qu’elle méritait la satisfaction divine, Dieu la lui écrit jusqu’à ce qu’Il le rencontre. »

2.En préservant sa langue, il garantit l’entrée au Paradis. Le Prophète (Bpsl) a dit : « Celui qui me garantit ce qui est entre ses deux joues et ses deux jambes, je lui garantis le Paradis.»(Al-Bokhâri)

3.On est parmi les meilleurs Musulmans. On demanda au Prophète (Bpsl)quel était le meilleur homme, il répondit : «Celui qui retient sa langue et sa main avec les musulmans.» (Al-Bokhâri et Moslim)

4.Il est sauvé du châtiment de Dieu, exalté soit-Il. Le Prophète (Bpsl) a dit : «Celui qui se tait est sauf.»(At-Termidhi)

5.Elle garantit la tranquillité de l’esprit, des problèmes et maux.
 
Ce qui aide à la préservation de la langue des maux :

1.Demander la protection de Dieu (Exalté soit-Il) des maux de la langue. Le Prophète invoquait Dieu et disait : «Ô Allah, je me réfugie en toi du mal de mon ouïe … du mal de ma vue … du mal de ma langue, du mal de mon cœur et du mal de mon sperme.»(l’authentique de An-Nassâ’i)

2.Se rappeler des bienfaits de la préservation de la langue ici bas et dans l’au-delà.

3.Se rappeler des préjudices de la non préservation de la langue, et qu’elle diminue des bonnes actions, au Jour de la Résurrection, et qu’elle fait pencher la balance du côté des mauvaises actions. Ceci encourage à préserver sa langue des maux, et renforce sa préservation.

4.Se taire le plus qu’on peut.

5.S’éloigner des causes qui nous poussent à parler, telle la colère, l’envie, l’orgueil, l’ostentation, la vantardise…

Ainsi, nous aurons achevé cette série sur les bonnes moralités. Nous invoquons Dieu, Exalté soit-Il, pour qu’elle soit une preuve en notre faveur et non contre nous, que Dieu l’accepte de notre part, qu’elle soit dans notre balance de bonnes actions, et qu’on la mette en application… car la religion est le comportement.



Le Salut et la Miséricorde de Dieu soient sur vous.
 
Salam alaycoum,
chers frères et soeurs

Je suis convertie depuis quelques années je suis dans le din et je souhaiterai une aide sur se sujet. Allah pardonne TOUT les péchés certaine discussion dise qu'au sujet de la médisance il faut se repentir envers Allah sincèrement et demander pardon à la personne concerné. Sinon Le Jour Du Jugement Dernier il prendront nos bonnes actions et nous les mauvaises et après nous serons jeté dans le feu. Je vous explique j'ai demandé à Allah de fair de moi une femme pieuse depuis je veu oeuvré dans le bien je veu corrigé des erreurs (péchés) que j'ai commis et celui ci me préoccupe beaucoup. J'ai sincèrement décidé de ne plus porté des mots ou et de mauvaises paroles. Pourriez vous m'aider au sujet du repentir merci. Salam à vous
 
Mercredi 27 avril 2011
La médisance (Al-Ghîbah)

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La définition de la médisance se trouve dans le hadith rapporté par Muslim (2589, 4/2001) [...] d'après Abû Hurayra : le Prophète salla allahou aleyhi wa salam a dit : "Savez-vous ce qu'est la médisance ?" Les Compagnons dirent : "Allah et Son Prophète en savent plus que nous." Il dit : "C'est le fait de parler de ton frère d'une façon qui ne lui plairait pas." Certains demandèrent : "Qu'en penses-tu, si ce que je dis de mon frère est vrai ?" Le Prophète salla allahou aleyhi wa salam répondit : "Si ce que tu dis sur lui est vrai, tu seras rendu coupable de médisance. Mais si ce que tu dis sur lui est faux, tu auras alors calomnié (bahattahu)." Concernant le passage "Tu l'auras alors calomnié", An-Nawawî a dit dans Sahih Muslim (16/142) : "[...] Ce verbe est de la même famille que le mot "Buhtân" qui signifie le faux"."



Médire peu ou médire beaucoup est tout aussi interdit. On trouve dans les Sunans d'Abû Dawûd que 'Aïsha dit un jour : "Ô Messager d'Allah ! La petite taille de Safiyah n'est pas le moindre de ses défauts..." Le Prophète salla allahou aleyhi wa salam répondit : "Tu viens de prononcer une parole qui, si on la mélangeait à l'eau de la mer, l'aurait polluée." Hadith authentique



Al-Bukhârî et Muslim rapporte d'après Abû Bakrah que le Prophète salla allahou aleyhi wa salam a dit : "Vos vies, vos biens, votre honneur sont tout aussi sacrés que ce jour-ci, en ce lieu-ci, en ce mois-ci."



At-Tirmidhî rapporte dans ses Sunans d'après Ibn 'Umar : Le Prophète salla allahou aleyhi wa salam gravit les marches du minbar et nous interpella d'une voix retentissante : "Ce message est adressé à tous ceux qui ont prononcé l'attestation de foi par la langue, mais sans que la foi n'atteigne encore leur cœur : ne causez pas de tort aux musulmans, ne vous moquez pas d'eux, et n'épiez pas leurs erreurs. Quiconque épie les erreurs de son frère, verra Allah épier ses erreurs en retour. Or quand Allah épie les erreurs de quelqu'un. Il dévoile alors ses péchés aux yeux des gens, même si celui-ci les a commis chez lui." Voir As-Sahîh Al Musnad (1/508)



Abû Dawûd rapporte dans ses Sunans d'après Anas ibn Mâlik que le Prophète salla allahou aleyhi wa salam a dit : "Lors de mon ascension nocturne, je vis des gens aux ongles de cuivre avec lesquels ils se déchiraient le visage et la poitrine. Je demandai : "Qui sont ces gens ô Jibril ?" Il me répondit : "Ce sont ceux qui mangent la chair des gens et portent atteinte à leur honneur." Hadith authentique
 
Ibn Kathir a dit dans son exégèse (4/215) : "Les savants sont unanimes concernant le caractère illicite de la médisance, aucune exception n'existe à ce sujet, sauf dans le cas où l'intérêt [de la médisance] l'emporte [sur les dommages qu'elle pourrait engendrer], comme c'est le cas dans la science de la critique [des rapporteurs de hadith], ou lorsqu'on veut prodiguer un conseil. Ces exceptions sont illustrées par le hadith où un hypocrite sollicita une assise avec le Prophète salla allahou aleyhi wa salam. Le Prophète saws répondit : "Faites-le entrer...quel mauvais confrère !" ou bien lorsque le Prophète saws dit à Fatima bint Qays [qui venait s'informer auprès de lui de] Mu'âwiyah et Abû Al-Jahm qui l'avaient demandée en mariage : "Mu'âwiyah est tellement pauvre qu'il n'a pas un sou. Quant à Abû Al-Jahm, il se rend trop souvent coupable de violences conjugales." Il en est de même pour toutes les situations exceptionnelles de ce genre. Mais la règle de base est que la médisance est absolument interdite." Fin de citation



Les situations qui ne sont pas considérées comme de la médisance ont été versifiées dans le poème suivant :



Dénigrer n'est pas médire dans six cas typiques :

Se plaindre d'une injustice pour la faire cesser,

Désigner une personne par son défaut physique,

Prévenir contre qui représente un danger,

Citer les péchés de qui les fait en public,

Citer les défauts pour qu'un mufti puisse juger,

Demander de l'aide pour qu'un méfait s'éradique.



Ces deux vers ont été cités dans Subul As-Salâm (1583) dans lequel on trouvera les arguments appuyant ces six circonstances pour qui voudrait approfondir la question.



Les savants ont divergé au sujet de la médisance : est-ce un péché capital ou non ?


Al-Qurtubî est d'avis qu'il y a unanimité des savants concernant le caractère capital du péché de médisance. Mais cette prétendue unanumité est fasse, car Al-Hâfidh Ibn Hajar a rapporté que l'auteur d'Ar-Radwah et Ar-Râfi'î sont d'avis que la médisance n'est qu'un péché mineur. Cependant, les preuves indiquent que la médisance est un grand péché. En effet, Abû Dawûd rapporte dans des Sunans d'après Sa'îd ibn Zayd que le Prophète salla allahou aleyhi wa salam a dit : "La pire des transactions usuraires est de porter atteinte à l'honneur d'un musulman injustement." Hadith authentique, voir As-Sahîh Al-Musnad (1/313)



Allah ta'ala a dit : "Et ne médisez pas les uns des autres. L'un de vous aimerait-il manger la chair de son frère mort ? (Non !) Vous en aurez horreur. Et craignez Allah. Car Allah est Grand Accueillant au repentir, Très Miséricordieux." Sourate Al-Hujurât, verset 12



Pour plus de détails, voir Fath Al-Bârî (10/470), ainsi que Subul As-Salâm (1583).
 
La médisance est-elle considérée comme telle qu'en absence de la personne décrite ?



Le sens apparent du hadith : "C'est le fait de parler de ton frère d'une façon qui ne lui plairait pas." englobe aussi bien le fait de médire de lui en son absence qu'en sa présence. Cependant, Al-Hâfidh Ibn Hajar a dit : "L'avis le plus pertinent est que la médisance n'est considérée comme telle qu'en l'absence de la personne décrite, pour être en conformité avec le sens littéral du mot. C'est ce qu'affirment les linguistes de manière catégorique." Plus loin, il dit : "Bien entendu, le fait de parler en mal d'une personne en sa présence est tout autant interdit, car cela fait partie de l'insulte et de l'injure." Fin de citation



La médisance de nos jours est devenue un loisir pour beaucoup de femmes, sauf celles qu'Allah a préservées par miséricorde. Notre devoir est de se soumettre à la législation de notre Seigneur.



En effet, Allah azawajel dit :



"Il n'appartient pas à un croyant ou une croyante, une fois qu'Allah et Son Messager ont décidé d'une chose d'avoir encore le choix dans leur façon d'agir. Et quiconque désobéit à Allah et à Son Messager, s'est égaré certes, d'un égarement évident." Sourate Al-Ahzâb, verset 36



"La seule parole des croyants, quand on les appelle vers Allah et Son messager, pour que celui-ci juge parmi eux, est : "Nous avons entendu et nous avons obéi". Et voilà ceux qui réussissent. Et quiconque obéit à Allah et à Son messager, et craint Allah et Le redoute... alors, voilà ceux qui récoltent le succès." Sourate An-Nûr, versets 51-52



"Non ! ... Par ton Seigneur ! Ils ne seront pas croyants tant qu'ils ne t'auront demandé de juger de leurs disputes et qu'ils n'auront éprouvé nulle angoisse pour ce que tu auras décidé, et qu'ils se soient complètement soumis [à ta sentence]." Source An-Nisâ, verset 65



"Suivez ce qui vous a été descendu venant de votre Seigneur et ne suivez pas d'autres alliés que Lui. Mais vous vous souvenez peu." Sourate Al-A'râf, verset 3



Nous ne devons donc pas être comme les gens du Livre qui ont dit : "Nous avons entendu, mais nous désobéissons." Nous disons plutot : "Nous avons entendu, mais nous obéissons." Pour plus de preuves concernant le fait de se conformer à la religion, voir l'ouvrage intitulé Al-l'tisâm de Ash-Shâtibî, ainsi que le chapitre Al-l'tisâm de Sahih Al-Bukhari. La médisance est un grave problème, car l'être humain peut la pratiquer sans s'en rendre compte. Il faut donc prendre garde à cela, et tu dois t'en repentir auprès d'Allah.
 
Comment se repentir de la médisance ?



Ibn al-Qayyim a dit dans son ouvrage intitulé : Al-Wâbil As-Sayyib (page 131) : "On rapporte du Prophète salla allahou aleyhi wa salam que l'expiation de la médisance est de demander qu'Allah pardonne à celui de qui on a médit, en disant : "Ô Allah ! Pardonne-nous ainsi qu'à lui." Ce hadith est mentionné par Al-Bayhaqi dans Ad-Da'awât Al-Kabîr dont l'auteur a dit : "Ce hadith présente une faiblesse."



Les savants ont deux avis au sujet de la manière de se repentir du péché de la médisance. Ces deux avis ont été rapportés de l'Imam Ahmad et se résument à ce qui suit :



- Est-il suffisant pour se repentir de la médisance de demander à Allah de pardonner à celui dont on a médit ? Ou bien est-il obligatoire d'informer la personne concernée et de lui présenter ses excuses ?



L'avis le plus correct est qu'il n'y a pas besoin de l'en informer. Il suffit de demander à Allah de pardonner à cette personne et de mentionner ses qualités aux individus à qui on a parlé de ses défauts. C'est l'avis partagé par ibn Taymiyyah et d'autres. Ceux qui sont de l'avis qu'il est nécessaire de l'en informer se sont basés sur le fait que la médisance est similaire aux droits touchant aux biens matériels. Or la différence entre les deux situations est évidente. En effet, concernant les droits touchant aux biens matériels, la personne spoliée tire parti des biens qui lui reviennent de droit. Si elle veut, ensuite, elle peut les garder ou les donner en aumône. Alors que pour la médisance, ce n'est pas possible, et la personne de qui on a médit ne tire aucun parti du fait qu'on l'en informe, et c'est même le contraire du but recherché par le législateur qui risque de se produire.

En effet, en l'informant, son coeur éprouvera de la haine et risque de souffrir en entendant les propos qu'on a eus à son égard. Cela peut même aller jusqu'à accentuer son animosité au point où elle déciderait de ne jamais pardonner à la personne qui a médit d'elle. Or, si l'en informer mène à ce genre de conséquences, le sage législateur ne peut l'autoriser ou même le tolérer, et encore moins le rendre obligatoire et l'ordonner. Toute la législation s'articule autour de la prévention des dommages et leur minimisation, et non autour de leur réalisation partielle ou complète. Et Allah est plus Savant." Fin de citation



Il n'y a rien a rajouté à cela, car Ibn al-Qayyim a fait le tour de la question de la manière la plus parfaite. Voir aussi Tafsir de ibn Kathîr lors de l'exégèse de la parole d'Allah :



"Et ne médisez pas les uns des autres." Sourate Al-Hujurât, verset 12



Voir aussi As-Silsilah Ad-Da'îfah (4/1519) pour l'étude détaillée des différentes chaînes de rapporteurs du hadith : "L'expiation du péché de médisance est de demander à Allah de pardonner à la victime."



Sache que certaines pensent qu'il est permis de porter atteinte à l'honneur d'autrui si l'on ne dit que la vérité. Lorsqu'on leur interdit de le faire, ils répondent : "Nous ne disons que la vérité, nous n'avons pas menti à son sujet." Or cela n'est rien d'autre que de la pure médisance, car la médisance est le fait de parler de son frère d'une manière qui ne lui plairait pas.



Je conclurai ce chapitre de la médisance par ce vers d'Al-Qahtânî dans sa Nûniyyah (page 39) :



Ne t'occupe pas des défauts d'autrui en oubliant les tiens

Car tu auras alors commis des erreurs
 
Allah Le Très Haut dit : {Qui est plus injuste que celui à qui les versets d’Allah sont rappelés, puis s’en détourne ? Certes, Nous nous vengerons des criminels} (La Prosternation, v.22)

Saches mon frère en Islam – qu'Allah te guide vers la vérité – qu’il n’y a pas de différence, dans l’ensemble de ces actes, entre celui qui plaisante, celui qui est sérieux et celui qui a peur, sauf celui qui est contraint. Tous constituent les actes les plus dangereux, et qui pourtant arrivent le plus souvent. Le musulman doit donc en prendre garde et avoir peur d’y tomber.

Nous demandons protection à Allah contre ce qui provoque Sa colère et Son dur châtiment.
 
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