Presse en Algérie : ces soldats de la plume qui guerroient contre le Maroc
La presse algérienne et le Maroc, voilà une longue histoire faite de haine artificielle, de jalousies à peine masquées et dune absence totale de déontologie où la désinformation, le dénigrement et souvent linsulte sont monnaie courante.
A la lumière des révélations fracassantes et croustillantes de Wikileaks sur lamateurisme et la légèreté des propos du chef de létat algérien vis-à-vis du Maroc, il serait utile de faire une analyse de la machine propagandiste de la « maison de la presse » comme il nen existe plus quà La Havane ou Pyongyang. Depuis la déconfiture avancée et léchec total de la campagne algéro-espagnole de désinformation qui a ciblé les camps de Gdim Yzdik et qui a été stoppée prématurément des preuves irréfutables filmées des autorités marocaines, couplées à un professionnalisme affiché dune diplomatie marocaine moderne et efficace ; la presse algérienne nen finit de collectionner les bourdes.
Totalement dépassé par les événements, le pouvoir algérien se rend compte que la « sauce na pas pris » et que lEspagne a réalisé quelle sest fait piéger par une machine propagandiste qui a humilié et décrédibilisé sa presse. Les réactions officielles espagnoles qui ont refusé de suivre la version algérienne qui na cessé de crier au génocide, au massacre, aux charniers humains, etc et qui ont refusé de se prononcer en absence de preuves tangibles a semble-t-il provoqué lire dAlger. Cette irritation est facilement palpable dans certains organes de la presse algérienne officielle qui ont attaqué avec virulence le PSOE au pouvoir et appuyé avec véhémence la position du PP dAznar.
La prestation du MAE marocain au parlement européen, au delà de son éloquence et de son efficacité, a été un moment remarqué où les regards attentifs voyaient un jeune pays, discuté en toute franchise avec ses partenaires, dans un respect mutuel, en présentant un argumentaire sans faille, et en expliquant ses positions de coopération stratégique économiques et démocratiques irréversibles ne souffrant daucune ambigüité dans le cadre dune discussion entre deux partenaires adultes nayant pas peur de se dire les choses en face. Rafraichissant !
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La presse algérienne et le Maroc, voilà une longue histoire faite de haine artificielle, de jalousies à peine masquées et dune absence totale de déontologie où la désinformation, le dénigrement et souvent linsulte sont monnaie courante.
A la lumière des révélations fracassantes et croustillantes de Wikileaks sur lamateurisme et la légèreté des propos du chef de létat algérien vis-à-vis du Maroc, il serait utile de faire une analyse de la machine propagandiste de la « maison de la presse » comme il nen existe plus quà La Havane ou Pyongyang. Depuis la déconfiture avancée et léchec total de la campagne algéro-espagnole de désinformation qui a ciblé les camps de Gdim Yzdik et qui a été stoppée prématurément des preuves irréfutables filmées des autorités marocaines, couplées à un professionnalisme affiché dune diplomatie marocaine moderne et efficace ; la presse algérienne nen finit de collectionner les bourdes.
Totalement dépassé par les événements, le pouvoir algérien se rend compte que la « sauce na pas pris » et que lEspagne a réalisé quelle sest fait piéger par une machine propagandiste qui a humilié et décrédibilisé sa presse. Les réactions officielles espagnoles qui ont refusé de suivre la version algérienne qui na cessé de crier au génocide, au massacre, aux charniers humains, etc et qui ont refusé de se prononcer en absence de preuves tangibles a semble-t-il provoqué lire dAlger. Cette irritation est facilement palpable dans certains organes de la presse algérienne officielle qui ont attaqué avec virulence le PSOE au pouvoir et appuyé avec véhémence la position du PP dAznar.
La prestation du MAE marocain au parlement européen, au delà de son éloquence et de son efficacité, a été un moment remarqué où les regards attentifs voyaient un jeune pays, discuté en toute franchise avec ses partenaires, dans un respect mutuel, en présentant un argumentaire sans faille, et en expliquant ses positions de coopération stratégique économiques et démocratiques irréversibles ne souffrant daucune ambigüité dans le cadre dune discussion entre deux partenaires adultes nayant pas peur de se dire les choses en face. Rafraichissant !
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