amsawad
Tayri nem tuder g-ul inu
La Fondation Matoub Lounès a décerné, à loccasion du 15e anniversaire de la disparition du Rebelle, un prix de la fraternité à une artiste marocaine, à lissue dun concours de poésie qui a regroupé une trentaine de participants.
Parmi les lauréats de cette édition, figure une jeune poétesse marocaine, de Tiznit, Khadidja Arouhal, âgée de 29 ans, qui sest illustrée de fort belle manière, en déclamant des vers qui ont donné des frissons à lassistance, lors de la remise des prix du concours, à Taourirt Moussa (Tizi Ouzou), village du chantre assassiné. «Je suis vraiment très émue de recevoir ce prix qui immortalise notre artiste adulé, Matoub Lounès. Un chantre dont la notoriété dépasse les frontières», a déclaré Khadidja Arouhal qui ajoute : «Notre présence, cette année, à Beni Douala, pour assister aux activités de la commémoration de la disparition de Matoub est un honneur, car il faut savoir quau Maroc, particulièrement dans la région dAgadir et Tiznit, les chansons de Lounès sont très écoutées, surtout par des jeunes qui perpétuent le combat mené par ce Rebelle pour lamazighité.»
Selon elle, les étudiants de luniversité dAgadir comptent mettre sur pied une section de la Fondation Matoub, cet artiste revisité, dit-elle, chaque année, par ses fans. «Quand jétais très jeune, je me disais que Matoub est Marocain, et ce, compte tenu de sa popularité dans notre région. Cela explique, aujourdhui, que ce Rebelle est un mythe. Ma venue à Taourirt Moussa a confirmé amplement ce que pensent les Amazighs du Maroc de la dimension de cet artiste engagé», a affirmé Khadidja Arouhal qui a, à son actif, des recueils de poésie en tamazight. Par ailleurs, notons que Djoudi Farid, Guechtouli Lyès ont également décroché respectivement le 1er et le 2e prix de la 13e édition de ce concours de poésie dédié au Rebelle. Par ailleurs, il est utile de préciser quune stèle érigée, à lentrée ouest de la ville de Tizi Ouzou, à la mémoire de Matoub Lounès, sera inaugurée le 2 juillet prochain.
Source : Elwatan
Parmi les lauréats de cette édition, figure une jeune poétesse marocaine, de Tiznit, Khadidja Arouhal, âgée de 29 ans, qui sest illustrée de fort belle manière, en déclamant des vers qui ont donné des frissons à lassistance, lors de la remise des prix du concours, à Taourirt Moussa (Tizi Ouzou), village du chantre assassiné. «Je suis vraiment très émue de recevoir ce prix qui immortalise notre artiste adulé, Matoub Lounès. Un chantre dont la notoriété dépasse les frontières», a déclaré Khadidja Arouhal qui ajoute : «Notre présence, cette année, à Beni Douala, pour assister aux activités de la commémoration de la disparition de Matoub est un honneur, car il faut savoir quau Maroc, particulièrement dans la région dAgadir et Tiznit, les chansons de Lounès sont très écoutées, surtout par des jeunes qui perpétuent le combat mené par ce Rebelle pour lamazighité.»
Selon elle, les étudiants de luniversité dAgadir comptent mettre sur pied une section de la Fondation Matoub, cet artiste revisité, dit-elle, chaque année, par ses fans. «Quand jétais très jeune, je me disais que Matoub est Marocain, et ce, compte tenu de sa popularité dans notre région. Cela explique, aujourdhui, que ce Rebelle est un mythe. Ma venue à Taourirt Moussa a confirmé amplement ce que pensent les Amazighs du Maroc de la dimension de cet artiste engagé», a affirmé Khadidja Arouhal qui a, à son actif, des recueils de poésie en tamazight. Par ailleurs, notons que Djoudi Farid, Guechtouli Lyès ont également décroché respectivement le 1er et le 2e prix de la 13e édition de ce concours de poésie dédié au Rebelle. Par ailleurs, il est utile de préciser quune stèle érigée, à lentrée ouest de la ville de Tizi Ouzou, à la mémoire de Matoub Lounès, sera inaugurée le 2 juillet prochain.
Source : Elwatan