Procès de Joël Le Scouarnec, 30 ans de pédocrimminalité et 300 victimes mineurs

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Affaire Le Scouarnec : avant le procès du plus grand pédocriminel français, un fiasco à tous les niveaux

Comment la société a-t-elle pu laisser un chirurgien accusé de pédocriminalité sévir pendant trente ans ? Familles, voisins, institutions médicales et judiciaires devront répondre de leur responsabilité lors du procès qui s’ouvre ce lundi devant la cour criminelle de Vannes, pour quatre mois.

L’affaire est sordide, elle s’étend sur trente ans et compte aujourd’hui 299 victimes de pédocriminalité. Ces enfants, filles et garçons, étaient âgés en moyenne de 11 ans quand ils ont été agressés ou violés. Certains n’ont pas été identifiés, d’autres se retrouvent écartés en raison de la prescription des faits : leur nombre est sans aucun doute sous-évalué. Face à ces victimes, un seul accusé : Joël Le Scouarnec.

Pour ordonner sa mise en accusation, l’exposé et la qualification des faits ont nécessité 745 pages. Une nouvelle affaire, qualifiée de « hors norme » par le secrétaire général du parquet général de la cour d’appel de Rennes (Ille-et-Vilaine), Ronan Le Clerc, qui l’a ainsi « labellisée » pour obtenir plus de moyens. Le Scouarnec, Pelicot, peut-être Bétharram… Cette appellation, désormais, englobe bien des procès.

En 2017, une voisine du médecin, âgée de 6 ans, commence à parler, ce qui va permettre de stopper enfin les exactions de Joël Le Scouarnec. Le chirurgien digestif possède déjà un casier judiciaire depuis 2005 pour détention d’images pédopornographiques.

Pourtant, il aura pu commettre viols et attouchements de 1989 à 2014, de la Bretagne à la Charente-Maritime, sans être inquiété. Lorsque les gendarmes pénètrent dans la maison du septuagénaire en 2017 à Jonzac (Charente-Maritime) pour effectuer une première perquisition, ils découvrent des vêtements d’enfants, des poupées sexualisées aux visages de gamines, voire de poupons, et des disques durs dissimulés sous un matelas.

 
autre affaire pédocriminelle en France!!


Darknet, bébés de 5 mois violés et ex-LFI : Un réseau pédocriminel démantelé​

Un réseau pédocriminel organisé a été démantelé après des mois d’enquête. Les suspects, dont Pierre-Alain Cottineau, sont accusés de viols collectifs et de tortures sur des bébés et enfants, certains âgés de seulement 5 mois.

Une affaire d’une monstruosité insoutenable vient d’éclater au grand jour, révélant l’existence d’un réseau pédocriminel organisé dont les agissements dépassent l’entendement. Cinq individus ont été interpellés depuis le début de l’année dans le cadre d’une enquête judiciaire d’une ampleur exceptionnelle, menée par l’Office des mineurs (OFMIN) de la police judiciaire. Ces hommes sont suspectés d’avoir participé à des viols collectifs, des actes de torture et des sévices barbares sur des enfants en bas âge, dont certains n’avaient que quelques mois. Une information judiciaire a été ouverte au tribunal de Nantes, où l’enquête se poursuit pour démanteler entièrement ce réseau.

Le Darknet, terrain de chasse des prédateurs​

L’enquête a débuté en septembre 2024, lorsque des images et des vidéos d’une violence inqualifiable ont été repérées sur le Darknet. Ces contenus montraient des bébés et de très jeunes enfants, âgés de 5 mois à 4 ans, subissant des agressions sexuelles et des actes de torture. Les enquêteurs, confrontés à un réseau opaque et organisé, ont dû partir de zéro pour remonter la piste des criminels. Grâce à des techniques d’investigation spécialisées, ils ont pu recouper des indices et identifier plusieurs suspects, dont un personnage central à la tête de ce réseau sordide.

 

Un « club de la pédocriminalité » organisé​

Les investigations ont révélé l’existence d’un véritable « club de la pédocriminalité », où des hommes sans lien apparent se réunissaient pour commettre des crimes odieux. Ces individus organisaient des week-ends, voire des semaines entières, durant lesquels ils abusaient sexuellement de bébés et d’enfants. Selon des sources proches du dossier, la plus jeune victime avait à peine 5 mois, tandis que la plus âgée était âgée de 4 ans. « Nous avons déjà vu des affaires de pédocriminalité, mais toujours dans un cadre familial. Là, c’est inédit : ces hommes ne se connaissaient pas, mais partageaient une obsession criminelle commune », explique un expert du dossier.

Des suspects insoupçonnables​

Le profil des suspects interpelle : sur les cinq hommes interpellés, quatre étaient inconnus des services de police et de justice. Âgés de moins de 40 ans, ces individus vivaient apparemment en marge de tout soupçon, sans même un passé de délits mineurs. « Aucun antécédent, pas même une amende pour excès de vitesse », précise une source policière. Pour échapper à la surveillance, ces prédateurs utilisaient des méthodes sophistiquées : logements loués à l’abri des regards, applications cryptées pour communiquer, et cartes SIM digitales (e-sim) pour brouiller les pistes.
 

Pierre-Alain Cottineau, une figure centrale du réseau

Parmi les suspects figure Pierre-Alain Cottineau, ancien candidat LFI et militant pro-LGBT, déjà connu pour avoir agressé sexuellement une enfant handicapée de 4 ans. Selon les éléments de l’enquête, il occuperait une place centrale dans ce réseau pédophile, organisant des « orgies » filmées avec des bébés et de très jeunes enfants. Ces révélations choquantes soulèvent des questions sur l’ampleur réelle de ce réseau et sur les moyens de prévenir de tels crimes à l’avenir.
 

Arrestation de HINDA Place de l'opéra 08/03/2025.​

Faites circuler au maximum ce qui se passe en France sur cette affaire , comment le pouvoir de Macron protège les réseaux pédocriminels...

 
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