La deuxième journée du procès des agresseurs de Jérémy Roze, tué en 2011, a été marquée par les adresses de son frère et son père à la cour et aux accusés. Des mots entre la douleur et le défi
La deuxième journée du procès d'assises des agresseurs de Jérémy Roze, un étudiant originaire de Monein, tué à Toulouse en 2011, a un peu plus impliqué le second accusé, Driss Arab, quelque peu épargné par les débats et les témoins du premier jour d'audience.
Certes, le premier, Hicham Ouakki, a de nouveau dû faire face à des témoignages accablants, notamment celui de Julie, la jeune femme qui avait accueilli les deux accusés lors de leur retour à Limoges après leur séjour toulousain. « Il ne cessait de dire : ‘‘Je crois que je l'ai tué ! Je crois que je l'ai tué !'', avait-elle déclaré aux policiers. Je lui ai demandé : ‘‘Pourquoi tu l'as tué ?'' Il a répondu : ‘‘Pour une cigarette''. »
http://www.sudouest.fr/2014/12/18/vous-ne-pouvez-pas-savoir-1771729-4294.php
La deuxième journée du procès d'assises des agresseurs de Jérémy Roze, un étudiant originaire de Monein, tué à Toulouse en 2011, a un peu plus impliqué le second accusé, Driss Arab, quelque peu épargné par les débats et les témoins du premier jour d'audience.
Certes, le premier, Hicham Ouakki, a de nouveau dû faire face à des témoignages accablants, notamment celui de Julie, la jeune femme qui avait accueilli les deux accusés lors de leur retour à Limoges après leur séjour toulousain. « Il ne cessait de dire : ‘‘Je crois que je l'ai tué ! Je crois que je l'ai tué !'', avait-elle déclaré aux policiers. Je lui ai demandé : ‘‘Pourquoi tu l'as tué ?'' Il a répondu : ‘‘Pour une cigarette''. »
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