Projet de la zone franche de Kénitra, jusqu'à 15.000 emplois dans le secteur automobile
Kénitra, 29/08/09- Le projet de création d'une zone franche d'exportation à Kénitra, approuvé jeudi dernier en conseil de gouvernement, a pour but de développer 10 à 20 métiers automobiles dans la région et pourrait créer entre 10.000 et 15.000 emplois d'ici 2015.
D'une superficie de 344 ha, le projet "Kénitra Automotive City", situé entre Kénitra et Sidi yahya du Gharb, figure dans le pacte national pour l'émergence industrielle, dont la cérémonie de signature a été présidée par SM le Roi Mohammed VI, le 13 février dernier au palais royal de Fès. Il abritera, entre autres, les métiers de la sous-traitance automobile et de l'électronique.
"Ce projet constitue la concrétisation de l'ambition du Gouvernement à mettre en place une structure industrielle intégrée qui sera dédiée à l'équipementerie automobile destinée à l'expor " et "propose aux investisseurs un package qui inclut l'ensemble des facteurs de la compétitivité, à savoir des infrastructures et services de qualité mondiale, un code incitatif et une offre de formation adéquate", indique le directeur du Centre régional d'investissement de la région du Gharb-Chrarda-Beni-Hssen (CRI), M. Jamal Attari dans le premier numéro de la revue du centre "CRI kénitra news".
La plate-forme bénéficiera d'une position logistique et géographique de haut niveau à la croisée des grands flux nationaux et internationaux, de l'existence d'un réseau autoroutier, d'une excellente desserte aérienne (1h30 de l'aéroport de Casablanca et 40 minutes de l'aéroport de Rabat) et ferroviaire par la ligne Casablanca-Tanger, qui sera renforcée par le projet TGV, explique M. Attari.
Le projet bénéficiera également d'une large réserve foncière (environ 530 ha), d'une main d'oeuvre abondante, qualifiée et polyvalente, de la proximité du port de Tanger-Med (3 heures par autoroute) et du développement adjacent d'une zone dédiée à l'équipement automobile.
L'Etat participera pour une grande part à la réalisation de la zone franche, notamment en facilitant l'accès au terrain, en accordant les subventions pour rentabiliser les projets, en finançant les travaux hors sites et en octroyant différentes aides (formation, installation, délégation d'antennes sur le site des principales administrations).
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Kénitra, 29/08/09- Le projet de création d'une zone franche d'exportation à Kénitra, approuvé jeudi dernier en conseil de gouvernement, a pour but de développer 10 à 20 métiers automobiles dans la région et pourrait créer entre 10.000 et 15.000 emplois d'ici 2015.
D'une superficie de 344 ha, le projet "Kénitra Automotive City", situé entre Kénitra et Sidi yahya du Gharb, figure dans le pacte national pour l'émergence industrielle, dont la cérémonie de signature a été présidée par SM le Roi Mohammed VI, le 13 février dernier au palais royal de Fès. Il abritera, entre autres, les métiers de la sous-traitance automobile et de l'électronique.
"Ce projet constitue la concrétisation de l'ambition du Gouvernement à mettre en place une structure industrielle intégrée qui sera dédiée à l'équipementerie automobile destinée à l'expor " et "propose aux investisseurs un package qui inclut l'ensemble des facteurs de la compétitivité, à savoir des infrastructures et services de qualité mondiale, un code incitatif et une offre de formation adéquate", indique le directeur du Centre régional d'investissement de la région du Gharb-Chrarda-Beni-Hssen (CRI), M. Jamal Attari dans le premier numéro de la revue du centre "CRI kénitra news".
La plate-forme bénéficiera d'une position logistique et géographique de haut niveau à la croisée des grands flux nationaux et internationaux, de l'existence d'un réseau autoroutier, d'une excellente desserte aérienne (1h30 de l'aéroport de Casablanca et 40 minutes de l'aéroport de Rabat) et ferroviaire par la ligne Casablanca-Tanger, qui sera renforcée par le projet TGV, explique M. Attari.
Le projet bénéficiera également d'une large réserve foncière (environ 530 ha), d'une main d'oeuvre abondante, qualifiée et polyvalente, de la proximité du port de Tanger-Med (3 heures par autoroute) et du développement adjacent d'une zone dédiée à l'équipement automobile.
L'Etat participera pour une grande part à la réalisation de la zone franche, notamment en facilitant l'accès au terrain, en accordant les subventions pour rentabiliser les projets, en finançant les travaux hors sites et en octroyant différentes aides (formation, installation, délégation d'antennes sur le site des principales administrations).
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