La prostate peut grossir et se déformer, soit à cause de l’apparition d’un cancer de la prostate, soit par développement d’une hypertrophie bénigne de la prostate. Les traitements – médicamenteux ou chirurgicaux – de ces deux maladies peuvent retentir sur la sexualité.
Les principales complications possibles sont les troubles de l’érection, de l’éjaculation, de l’orgasme, de la libido, de la continence urinaire et la diminution de la taille du pénis. Il n’existe pas d’unanimité chez les urologues mais de nombreuses équipes proposent une réhabilitation pénienne précoce pour tenter d’amélioration la récupération après la chirurgie de la prostate.
Les difficultés de l’érection surviennent dans 30 à 80 % des cas, mais quatre patients sur cinq parviennent alors tout de même à obtenir une érection suffisante, généralement grâce à des traitements, pour avoir un rapport sexuel avec pénétration.
http://sante.lefigaro.fr/mieux-etre/sexualite/prostate-sexualite/quest-ce-que-cest
L’éjaculation rétrograde (le sperme remonte dans la vessie au lieu d’être expulsé) est constante, ce qui gêne un homme sur deux. Certains estiment aussi que cela diminue leur plaisir.
Quatre patients sur cinq éprouvent un orgasme d’intensité diminuée, voire absent. Mais l’intensité de l’orgasme peut s’améliorer au moins dans les quatre années qui suivent l’intervention chirurgicale.
Une perte d’urine est parfois observée au moment de l’orgasme, ce qui peut être gênant.
La libido est diminuée pour la moitié des patients opérés, inchangée pour l’autre moitié (et, dans quelques cas, augmentée !).
Plus de la moitié des patients opérés observent une diminution de plus de 1 cm de la taille de leur pénis en érection. Elle semble toutefois moins fréquente lorsque l’homme est jeune et/ou que le chirurgien a pu préserver les bandelettes neuro-vasculaires lors de l’intervention.
Les principales complications possibles sont les troubles de l’érection, de l’éjaculation, de l’orgasme, de la libido, de la continence urinaire et la diminution de la taille du pénis. Il n’existe pas d’unanimité chez les urologues mais de nombreuses équipes proposent une réhabilitation pénienne précoce pour tenter d’amélioration la récupération après la chirurgie de la prostate.
Les difficultés de l’érection surviennent dans 30 à 80 % des cas, mais quatre patients sur cinq parviennent alors tout de même à obtenir une érection suffisante, généralement grâce à des traitements, pour avoir un rapport sexuel avec pénétration.
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L’éjaculation rétrograde (le sperme remonte dans la vessie au lieu d’être expulsé) est constante, ce qui gêne un homme sur deux. Certains estiment aussi que cela diminue leur plaisir.
Quatre patients sur cinq éprouvent un orgasme d’intensité diminuée, voire absent. Mais l’intensité de l’orgasme peut s’améliorer au moins dans les quatre années qui suivent l’intervention chirurgicale.
Une perte d’urine est parfois observée au moment de l’orgasme, ce qui peut être gênant.
La libido est diminuée pour la moitié des patients opérés, inchangée pour l’autre moitié (et, dans quelques cas, augmentée !).
Plus de la moitié des patients opérés observent une diminution de plus de 1 cm de la taille de leur pénis en érection. Elle semble toutefois moins fréquente lorsque l’homme est jeune et/ou que le chirurgien a pu préserver les bandelettes neuro-vasculaires lors de l’intervention.