Jérusalem, Massada, Césarée
que restera-t-il des monuments historiques vieux de milliers dannées en cas de tremblement de terre ou de vandalisme ? LAutorité israélienne des antiquités et la Commission nationale israélienne de lUNESCO ont déclaré mercredi passé que lhéritage dIsraël risque dêtre détruit si on ne prend pas les mesures qui simposent pour parer aux intempéries et au vandalisme.
Afin de se préparer à déventuels urgences et de protéger lhéritage du pays, lequel comprend des sites parmi les plus importants du monde, les deux organismes ont tenu à Akko (Acre) un atelier international de brainstorming de trois jours. Latelier a réuni des experts de pays tels lItalie, le Japon, la Chine, le Pérou et la Tanzanie.
Daprès Raananan Kislev, le directeur du département de conservation de lAutorité israélienne des antiquités, « Israël est situé dans une région très susceptible de subir des séismes du fait de sa proximité avec la Vallée de la crevasse. Cette région comprend des failles actives, où de forts tremblements de terre ont déjà eu lieu par le passé, détruisant des villes de la terre dIsraël. Le dernier important séisme a touché Israël en 1927. »
Et dajouter : « Un séisme de grande magnitude peut provoquer de graves dégâts tant matériel quhumains, y compris des dommages irréversibles à lhéritage culturel du pays, surtout dans les sites situés à quelques kilomètres seulement de la Vallée de la crevasse. La Vieille Ville de Jérusalem, Massada et Beth Shéan font partie de ces sites. »
« A cause de leffondrement de la falaise côtière dû aux changements du niveau de la mer, plusieurs sites qui font partie de lhéritage dIsraël situés le long de la côte sont réellement en danger dérosion ou décroulement, comme Apollonia, Césarée, Ashkelon et Atlit », explique Kislev.
Quant au répugnant acte de vandalisme perpétré début octobre au parc national dOvdat, Kislev a affirmé : « Cela prouve quil faut vraiment protéger ces sites contre les dégâts provoqués intentionnellement, en établissant des systèmes de sécurité et de garde. »
par Yael Ancri
Afin de se préparer à déventuels urgences et de protéger lhéritage du pays, lequel comprend des sites parmi les plus importants du monde, les deux organismes ont tenu à Akko (Acre) un atelier international de brainstorming de trois jours. Latelier a réuni des experts de pays tels lItalie, le Japon, la Chine, le Pérou et la Tanzanie.
Daprès Raananan Kislev, le directeur du département de conservation de lAutorité israélienne des antiquités, « Israël est situé dans une région très susceptible de subir des séismes du fait de sa proximité avec la Vallée de la crevasse. Cette région comprend des failles actives, où de forts tremblements de terre ont déjà eu lieu par le passé, détruisant des villes de la terre dIsraël. Le dernier important séisme a touché Israël en 1927. »
Et dajouter : « Un séisme de grande magnitude peut provoquer de graves dégâts tant matériel quhumains, y compris des dommages irréversibles à lhéritage culturel du pays, surtout dans les sites situés à quelques kilomètres seulement de la Vallée de la crevasse. La Vieille Ville de Jérusalem, Massada et Beth Shéan font partie de ces sites. »
« A cause de leffondrement de la falaise côtière dû aux changements du niveau de la mer, plusieurs sites qui font partie de lhéritage dIsraël situés le long de la côte sont réellement en danger dérosion ou décroulement, comme Apollonia, Césarée, Ashkelon et Atlit », explique Kislev.
Quant au répugnant acte de vandalisme perpétré début octobre au parc national dOvdat, Kislev a affirmé : « Cela prouve quil faut vraiment protéger ces sites contre les dégâts provoqués intentionnellement, en établissant des systèmes de sécurité et de garde. »
par Yael Ancri