Qu'ils soient américains, britanniques ou hongkongais, les médias étrangers font état du fléau des punaises de lit en France. Ils relèvent que la population et les politiques s'en inquiètent à un an des JO de Paris.
Si les médias français sont nombreux à s'être emparés du fléau des punaises de lit, la presse étrangère commence elle aussi à se pencher sur ce problème. Et ce, à un an des Jeux olympiques 2024 au cours desquels des touristes de l'ensemble du globe devraient affluer. Pas moins de 15 millions de visiteurs sont attendus.
"Les gens ont incendié des chantiers olympiques en signe de protestation pendant les émeutes et Paris grouille de punaises de lit", a-t-elle ajouté, faisant référence aux émeutes survenues en juin après la mort de Nahel. "Cela n'augure rien de bon."
De l'autre côté de l'océan Pacifique, le South China Morning Post relève les vidéos qui pullulent sur les réseaux sociaux à ce sujet. "Des vidéos postées sur les réseaux sociaux semblent montrer les minuscules insectes rampant sur les sièges d'un train de banlieue et du métro parisien", écrit le quotidien Hongkongais.
Le journal aborde aussi le cas des salles de cinéma, les UGC notamment, qui ont affirmé prendre des mesures d'urgence après qu'une spectatrice a affirmé avoir été piquée lors d'une séance.
Si les médias français sont nombreux à s'être emparés du fléau des punaises de lit, la presse étrangère commence elle aussi à se pencher sur ce problème. Et ce, à un an des Jeux olympiques 2024 au cours desquels des touristes de l'ensemble du globe devraient affluer. Pas moins de 15 millions de visiteurs sont attendus.
L'infestation a contribué au sentiment que "tout va mal" pour la ville avant les Jeux, leur a souligné Sophie Marie Niang, qui vit entre Paris et Cambridge, en Angleterre, où elle prépare un doctorat en sociologie."Les punaises de lit s'attaquent à Paris, attisant les craintes à l'approche des Jeux olympiques", titre la chaîne de télévision américaine NBC News.
"Les gens ont incendié des chantiers olympiques en signe de protestation pendant les émeutes et Paris grouille de punaises de lit", a-t-elle ajouté, faisant référence aux émeutes survenues en juin après la mort de Nahel. "Cela n'augure rien de bon."
De l'autre côté de l'océan Pacifique, le South China Morning Post relève les vidéos qui pullulent sur les réseaux sociaux à ce sujet. "Des vidéos postées sur les réseaux sociaux semblent montrer les minuscules insectes rampant sur les sièges d'un train de banlieue et du métro parisien", écrit le quotidien Hongkongais.
Le journal aborde aussi le cas des salles de cinéma, les UGC notamment, qui ont affirmé prendre des mesures d'urgence après qu'une spectatrice a affirmé avoir été piquée lors d'une séance.