Cette enquête a été menée par un journaliste (Jean-Paul Mulders) associé à un passionné de l’histoire hitlérienne (Marc Vermeeren). Ils expliquent en substance avoir pu retrouver 39 membres vivants de la famille du dirigeant nazi (dont l’un de ses cousins, agriculteur autrichien) puis fait procéder à des examens génétiques à partir notamment de prélèvements de salive. Principale –et spectaculaire– conclusion: les auteurs annoncent que les différents profils génétiques qu’ils ont pu obtenir permettent d’affirmer qu’Adolf Hitler était porteur, sur ses chromosomes Y, d’une structure spécifique –bien connue des généticiens des populations– dénommée Haplopgroupe E1b1b (Y-ADN).
Conclusions des auteurs de cette enquête: le dictateur nazi a une ascendance berbère et/ou juive. Pour Jean-Paul Mulders, «on peut partir du postulat selon lequel Hitler était lié génétiquement à des gens qu’il méprisait». Un postulat qui incitera à mille et une interprétations. Reste qu’un postulat n’est pas une preuve et ce même si un «spécialiste de l’Université catholique de Louvain» explique qu’il s’agit là «d’un résultat surprenant, que n’aurait pas apprécié ou accepté Hitler qui ne savait probablement pas qu’il avait ses racines en Afrique du Nord»
Conclusions des auteurs de cette enquête: le dictateur nazi a une ascendance berbère et/ou juive. Pour Jean-Paul Mulders, «on peut partir du postulat selon lequel Hitler était lié génétiquement à des gens qu’il méprisait». Un postulat qui incitera à mille et une interprétations. Reste qu’un postulat n’est pas une preuve et ce même si un «spécialiste de l’Université catholique de Louvain» explique qu’il s’agit là «d’un résultat surprenant, que n’aurait pas apprécié ou accepté Hitler qui ne savait probablement pas qu’il avait ses racines en Afrique du Nord»