Quand la diplomatie française parlait arabe

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Drianke

اللهم إفتح لنا أبواب الخير وأرزقنا من حيت لا نحتسب
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À l’occasion de la journée internationale de la langue arabe, nous nous interrogeons sur la place qu’a cette langue dans la diplomatie française, qui se veut très active dans la région, comme l’ont montré les récentes négociations autour d’un cessez-le-feu au Liban. La communication étant un axe majeur, Nada Yafi est allée à la rencontre de Patrice Paoli, l’unique porte-parole en arabe du ministère des affaires étrangères à ce jour, pour un entretien sur la langue d’Averroès.

L'image montre une scène chargée d'émotion et de tension. On y voit plusieurs personnes rassemblées autour d'une figure centrale, visiblement un homme en costume. D'autres personnes, portant des vêtements traditionnels et des turbans, semblent interagir avec lui. L'atmosphère est dynamique, avec des visages concentrés et des gestes animés, ce qui suggère une discussion ou un événement important. Le mélange de styles vestimentaires indique une diversité culturelle parmi les personnes présentes, ce qui pourrait refléter un moment significatif sur le plan social ou politique.
Jérusalem, le 22 octobre 1996. Le président français Jacques Chirac pousse un agent de sécurité israélien alors qu’il proteste avec colère contre les mesures de sécurité qui entourent sa visite dans la partie arabe de la vieille ville


La France est riche d’une tradition orientaliste séculaire, que les spécialistes estiment supérieure par sa continuité et sa qualité à celle de tout autre pays occidental. Cette tradition est mise en évidence par l’étude historique de Robert Irwin. Le Collège de France, autrefois dénommé Collège Royal, fondé par François Ier qui décide d’y introduire l’enseignement des langues orientales, dont l’arabe, peut à lui seul s’enorgueillir de toute une lignée d’illustres arabisants. Le Quai d’Orsay entretient également, à travers le concours du Cadre d’Orient, une véritable filière d’excellence, régulièrement nourrie par l’Institut national des langues et civilisations orientales (Inalco), comme par les universités. Dans l’imposant bâtiment historique du ministère des affaires étrangères jouxtant l’immense esplanade des Invalides, donnant sur l’impérial pont Alexandre III, l’étage occupé par la Direction d’Afrique du Nord/Moyen-Orient a longtemps été appelé « la rue arabe » par les autres directions — sobriquet affectueux ou condescendant, selon l’intention du locuteur —, mais qui traduit dans tous les cas une empathie supposée avec les peuples de la région, voire un alignement sur leur esprit rebelle.

À l’occasion de la journée internationale de la langue arabe, Orient XXI a choisi d’interviewer Patrice Paoli, jeune retraité qui aura occupé de nombreux postes en lien avec le monde arabe, notamment celui de directeur de la prestigieuse direction géographique mentionnée plus haut, ainsi que ceux de diplomate puis ambassadeur dans plusieurs pays arabes, dont le Liban, le Koweït et les Émirats Arabes unis. Surtout, il aura été l’unique porte-parole en arabe du ministère à ce jour.

Nada Yafi. — Vous avez récemment participé à une conférence à l’Inalco sur la diplomatie française et la langue arabe, ainsi qu’à une émission de la chaîne arabophone France 24 sur le même thème. Ce sujet vous semble-t-il d’actualité ? Vous n’avez pourtant pas été remplacé au poste de porte-parole en arabe, qui n’a été créé qu’en novembre 2022 ?

Patrice Paoli. — Ce sujet est à mon sens plus actuel que jamais. L’actualité tragique au Moyen et au Proche-Orient, les liens tissés à travers l’histoire, de part et d’autre de la Méditerranée, nous le rappellent chaque jour........................

 
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La langue arabe offre à la langue française force mots, sans que personne ne s'en doute. Que la langue arabe vienne en troisième position après l'anglais et l'italien a de quoi surprendre. Dans l'alimentation, par exemple, une pastèque, des artichauts, des aubergines, des épinards à l'estragon, une mousseline, un sorbet arrosé de sirop, en buvant de la limonade ou une orangeade, pour finir avec un café, sans sucre, et un alcool, tout cela vient du monde arabe. Pour la mode, une jupe de coton, un gilet de satin, un caban ou une gabardine... Pour le savant, l'algèbre, les algorithmes, les chiffres... Tous les domaines de l'existence sont ainsi répertoriés pour rappeler les mots arabes que nous utilisons, qu'il s'agisse de la flore, de la faune, des parfums et bijoux, de l'habitat, des transports, de la guerre, des couleurs, des fêtes, de la musique, des lettres et des arts, des religions, etc. Sans oublier les effets sur notre langue de la colonisation, de la guerre d'Algérie, du rap... Pour Lavisse, "Nos ancêtres les Gaulois" étaient avant tous des barbares et sans les Romains et la civilisation arabe, qui a irrigué tous le Moyen-Age, la Renaissance aurait encore tardé. Jean Pruvost nous offre une nouvelle fois l'occasion de nous plonger dans le grand voyage des mots de la langue française.

Il y a plus de mots arabes que gaulois dans la langue française

www.radiofrance.fr

L’UNESCO fête la langue arabe ce 18 décembre, l'occasion de nous interroger sur les mots.
Ce matin au petit déjeuner, vous avez peut-être commandé une tasse (mot arabe) de café (mot arabe), avec ou sans sucre (mot arabe) et un jus d’orange (mot arabe). Vous avez donc, sans le savoir, parlé arabe (ou plutôt français).

Notre langue est parsemée de mots arabes, comme l’explique Jean Pruvost, lexicologue, professeur émérite, auteur de « Nos ancêtres les Arabes, ce que notre langue leur doit » aux éditions JC Lattès.

Quelle est la place de la langue arabe dans la langue françaises ?

Jean Pruvost :
La langue arabe est extrêmement présente dans la langue française.

L'arabe est la troisième langue d’emprunt, puisque la première c’est l’anglais, ensuite l’italien. L’arabe n'a cessé d'enrichir notre langue entre le IXe siècle et aujourd'hui.

Au départ, c'est principalement Al Andalus, l'Espagne musulmane qui a donné de nombreux mots courants et mots savants au XIIIe siècle en français. Plus tard, la colonisation et la décolonisation ont apporté une nouvelle vague de mots, avec notamment un volet important dans le domaine de la gastronomie.

Pouvez-vous donner des exemples des mots courants qui nous viennent de la langue arabe ?

J. P. :
Si vous faites votre marché et que vous achetez des épinards, de l'estragon, du potiron, des artichauts... Tous ces mots sont arabes. Même le mot "artichaut" qui ne vient pas de Bretagne !

Avec l'arrivée des rapatriés d'Algérie en 1962, après la décolonisation, les mots merguez, méchouis, sont entrés dans le langage courant.

On retrouve aussi beaucoup de mots dans l’habillement. Si vous allez dans un magasin (mot arabe), acheter une jupe (mot arabe) de coton (mot arabe), un gilet et un caban (mots arabes), vous utilisez des mots arabes.

Et plus récemment, de nouveaux mots arabes sont apparus avec l'immigration récente ?

J. P. :
Le mot "bled" a été tellement installé dans la langue que beaucoup ignorent que c'est un mot arabe.
Les plus jeunes s'en sont à nouveau emparé avec le mot "blédard", qui désignait celui qui débarquait de la campagne algérienne ou marocaine et qui s'installait dans la région parisienne.

Avoir le "seum", a été repris en 2012 par une campagne de la sécurité routière.

Les mot "chouf" ou "kiffer" sont utilisés depuis longtemps, comme dans l'expression kiff-kiff bouricot. Au début, le kiff c'était la drogue et aujourd'hui, cela désigne le fait de prendre du plaisir.

Le mot toubib vient du mot toubab (qui désigne le blanc) et veut dire médecin. Ce mot est passé dans la langue familière et beaucoup de gens ne savent pas qu'il est issu de la langue arabe.

En fait les Français parlent arabe ?

J. P. :
Oui, ils parlent arabe beaucoup plus que gaulois... Le gaulois, c'est à peine une centaine de mots. Pour l'arabe, on est à 500 mots et même davantage si l'on compte les mots savants du côté de la faune et la flore.

Un enfant qui part faire de l'algèbre et de la chimie dans son collège est dans le monde arabe.

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C’est juste des postures de journalistes


Des mots « arabes » qui n’en sont pas…

Au final, si l’on reste aux mots d’usage vraiment commun, vraiment bien assimilés et même indispensables, dans un registre de langue normal, on compte largement plus d’une centaine de mots ayant un passé arabe (j’en compte 133 à partir de la liste libanaise) : sucre, zénith, azur, café, abricot, alcool…

Cela reste impressionnant et on y compte un tas de mots des sciences et des techniques, datant de l’âge d’or de la civilisation arabe. Ils ont été adoptés il y a longtemps, ont été digérés au point de ne plus être identifiés comme étrangers pour la plupart.

Mais là encore on peut chipoter. Zéro et chiffre viennent d’un même mot arabe…qui a été emprunté au sanscrit, la langue classique des Indous. Aubergine vient de l’Iran préislamique. Noria vient du syriaque, la langue de la Syrie préarabe. Guitare est emprunté aux Byzantins de langue grecque. Sagaie ou couscous viennent du tamazight, la langue ancestrale des Berbères. Café est tiré du nom d’une région de l’Éthiopie, également sous la dépendance de l’empire arabe à son apogée.

Comme le français, l’arabe a été une langue impériale, emportant dans ses bagages quantité de mots-butins razziés aux 4 coins du califat.

A noter qu’algèbre ou algorithme sont 100 % arabes, ce qui montre qu’ils ont eux aussi fait avancer le progrès.

Si l’on est un peu strict sur les droits d’entrée dans le dictionnaire français, en contrôlant les origines, en retenant les mots réellement incorporés au français et à la civilisation qu’il exprime, au « génie de la langue » comme on disait autrefois, on aboutit à quelques 73 mots pleinement français d’origine vraiment arabe. Plusieurs sont vraiment précieux et leur musicalité expressive manquerait à la prosodie française : albatros, algarade, ambre, azimut, mousseline, nacre, récif…

Une onde de mélancolie nous envahit d’un seul coup : de zénith à zob et de nacre à niquer, il y a quand même eu une descente en gamme, et c’est triste pour la civilisation arabe comme pour la civilisation française…

Chercheur à l’Université de Bourgogne, Jacques Lacroix présente son livre. Il révèle avec chaleur les merveilles celtes enfouies dans notre langue.​
 
C’est juste des postures de journalistes


Des mots « arabes » qui n’en sont pas…

Au final, si l’on reste aux mots d’usage vraiment commun, vraiment bien assimilés et même indispensables, dans un registre de langue normal, on compte largement plus d’une centaine de mots ayant un passé arabe (j’en compte 133 à partir de la liste libanaise) : sucre, zénith, azur, café, abricot, alcool…

Cela reste impressionnant et on y compte un tas de mots des sciences et des techniques, datant de l’âge d’or de la civilisation arabe. Ils ont été adoptés il y a longtemps, ont été digérés au point de ne plus être identifiés comme étrangers pour la plupart.

Mais là encore on peut chipoter. Zéro et chiffre viennent d’un même mot arabe…qui a été emprunté au sanscrit, la langue classique des Indous. Aubergine vient de l’Iran préislamique. Noria vient du syriaque, la langue de la Syrie préarabe. Guitare est emprunté aux Byzantins de langue grecque. Sagaie ou couscous viennent du tamazight, la langue ancestrale des Berbères. Café est tiré du nom d’une région de l’Éthiopie, également sous la dépendance de l’empire arabe à son apogée.

Comme le français, l’arabe a été une langue impériale, emportant dans ses bagages quantité de mots-butins razziés aux 4 coins du califat.

A noter qu’algèbre ou algorithme sont 100 % arabes, ce qui montre qu’ils ont eux aussi fait avancer le progrès.

Si l’on est un peu strict sur les droits d’entrée dans le dictionnaire français, en contrôlant les origines, en retenant les mots réellement incorporés au français et à la civilisation qu’il exprime, au « génie de la langue » comme on disait autrefois, on aboutit à quelques 73 mots pleinement français d’origine vraiment arabe. Plusieurs sont vraiment précieux et leur musicalité expressive manquerait à la prosodie française : albatros, algarade, ambre, azimut, mousseline, nacre, récif…

Une onde de mélancolie nous envahit d’un seul coup : de zénith à zob et de nacre à niquer, il y a quand même eu une descente en gamme, et c’est triste pour la civilisation arabe comme pour la civilisation française…

Chercheur à l’Université de Bourgogne, Jacques Lacroix présente son livre. Il révèle avec chaleur les merveilles celtes enfouies dans notre langue.​
Médecin généraliste- homéopathe 😂

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L'âne facho et sa haine de l'arabe
 
C’est juste des postures de journalistes


Des mots « arabes » qui n’en sont pas…

Au final, si l’on reste aux mots d’usage vraiment commun, vraiment bien assimilés et même indispensables, dans un registre de langue normal, on compte largement plus d’une centaine de mots ayant un passé arabe (j’en compte 133 à partir de la liste libanaise) : sucre, zénith, azur, café, abricot, alcool…

Cela reste impressionnant et on y compte un tas de mots des sciences et des techniques, datant de l’âge d’or de la civilisation arabe. Ils ont été adoptés il y a longtemps, ont été digérés au point de ne plus être identifiés comme étrangers pour la plupart.

Mais là encore on peut chipoter. Zéro et chiffre viennent d’un même mot arabe…qui a été emprunté au sanscrit, la langue classique des Indous. Aubergine vient de l’Iran préislamique. Noria vient du syriaque, la langue de la Syrie préarabe. Guitare est emprunté aux Byzantins de langue grecque. Sagaie ou couscous viennent du tamazight, la langue ancestrale des Berbères. Café est tiré du nom d’une région de l’Éthiopie, également sous la dépendance de l’empire arabe à son apogée.

Comme le français, l’arabe a été une langue impériale, emportant dans ses bagages quantité de mots-butins razziés aux 4 coins du califat.

A noter qu’algèbre ou algorithme sont 100 % arabes, ce qui montre qu’ils ont eux aussi fait avancer le progrès.

Si l’on est un peu strict sur les droits d’entrée dans le dictionnaire français, en contrôlant les origines, en retenant les mots réellement incorporés au français et à la civilisation qu’il exprime, au « génie de la langue » comme on disait autrefois, on aboutit à quelques 73 mots pleinement français d’origine vraiment arabe. Plusieurs sont vraiment précieux et leur musicalité expressive manquerait à la prosodie française : albatros, algarade, ambre, azimut, mousseline, nacre, récif…

Une onde de mélancolie nous envahit d’un seul coup : de zénith à zob et de nacre à niquer, il y a quand même eu une descente en gamme, et c’est triste pour la civilisation arabe comme pour la civilisation française…

Chercheur à l’Université de Bourgogne, Jacques Lacroix présente son livre. Il révèle avec chaleur les merveilles celtes enfouies dans notre langue.​
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Rien d'étonnant...toujours à dénigrer ce qui touche à l'arabe...que ce soit via les poubelles de faits divers sélectionnés ou bien via de pseudos contradicteurs mais vrais sites identitaires genre Breizh info...quelle surprise...


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Rien d'étonnant...toujours à dénigrer ce qui touche à l'arabe...que ce soit via les poubelles de faits divers sélectionnés ou bien via de pseudos contradicteurs mais vrais sites identitaires genre Breizh info...quelle surprise...


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80 % des mots utilisés en France sont d’origine latine , énormément d’anglais aussi

Le gars qui nous poste des chaînes YouTube d’extrême droite veut nous donner des leçons , qui propage des fakes de propagande antisemite.

Le gars est un fervent soutient de la remigration et chef de file des jeunes du FN ,elles sont belles tes sources Yancine .

 
Dernière édition:
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Rien d'étonnant...toujours à dénigrer ce qui touche à l'arabe...que ce soit via les poubelles de faits divers sélectionnés ou bien via de pseudos contradicteurs mais vrais sites identitaires genre Breizh info...quelle surprise...


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C’est comme la charria qui aurait inspiré Napoléon pour son fameux Code , du pipot en barre .
, il faut arrêter cette colonisation mentale et vouloir ôter notre identité, bientôt on sera tous des descendants Arabes à vous écouter vous épancher sur des mythes , dont la langue est originaire également de différents pays et continents .

CHRONIQUE - Selon certains fondamentalistes musulmans, notre Code civil serait «inspiré de la charia». Faut-il en rire ou s'en indigner?

Les sites communautaires musulmans ne reculent devant rien. Dans un article publié par l'un d'eux (Ajib.fr) à la mi-février, il était écrit que «l'influence de la pensée arabo-islamique en France et en Occident ne s'est pas limitée à des domaines artistiques et culturels» - et par exemple? Celui-ci: «Le Code napoléonien (notre Code civil) est fondamentalement inspiré de la charia»! Autant dire que cette affirmation a laissé pantois le directeur de la Fondation Napoléon et grand historien de l'Empire, Thierry Lentz, quand il l'a découverte sur ce site hébergé au Maroc.

C'est durant sa campagne d'Égypte (1798-1801) que Napoléon Bonaparte aurait été « fasciné » par la culture et la religion musulmanes…
En fait, cet article remettait à jour des textes répandus par d'autres sites de même origine en expliquant que c'est durant sa campagne d'Égypte (1798-1801) que Napoléon Bonaparte aurait été «fasciné» par la culture et la religion musulmanes… De quoi inspirer au lecteur, musulman ou pas, l'idée que la charia est d'autant plus assimilable à notre droit qu'elle en est la source!

Figaro article payant .
 
Dernière édition:
Et concernant l’origine des mots primitifs Français : Le fonds primitif de la langue française est composé de trois langues anciennes principales : le latin (aimer vient de amare), le gaulois (mouton vient de multo) et le francique (blanc vient de blank).
Le latin et le grec sont à l'origine de la langue française, mais également sont en lien avec l'histoire, les mathématiques, les sciences, une langue vivante et même l'éducation physique et sportive avec les jeux olympiques.
 
Un petit podcast :D

Les mots arabes empruntés au français​

De nombreux mots de la langue arabe ont une origine française souvent difficile à déceler. Henriette Walter nous raconte l’histoire des relations entre ces deux langues dans une série d’émissions dont celle-ci est la cinquième.

Henriette Walter, auteur avec Bassam Baraké, de Arabesques, l'aventure de la langue arabe en Occident (éd. Robert Laffont-Editions du Temps), explique ici pourquoi il est souvent difficile de reconnaître l'origine française de certains mots arabes, d'autant que, selon les dialectes et les pays, un même mot peut prendre différents sens.
Par exemple : atmassor (au Liban) veut dire amortisseur mais devient atamorsor (en Syrie), amotéssèr (au Liban encore) ou mortissour (au Maroc) !

Elle explique l'utilisation en arabe de quelques voyelles et des consonnes.

Toute la série d'émissions sur la langue arabe avec Henriette Walter est disponible dans la médiathèque de Canal Académie.

 
C’est comme la charria qui aurait inspiré Napoléon pour son fameux Code , du pipot en barre .
, il faut arrêter cette colonisation mentale et vouloir ôter notre identité, bientôt on sera tous des descendants Arabes à vous écouter vous épancher sur des mythes , dont la langue est originaire également de différents pays et continents .
Alors toi tu oses parler d’identité alors que tu passes le plus clair de ton temps à diffuser la propagande atlantiste.

Elle est où ta fierté d’être français ?
 
Et concernant l’origine des mots primitifs Français : Le fonds primitif de la langue française est composé de trois langues anciennes principales : le latin (aimer vient de amare), le gaulois (mouton vient de multo) et le francique (blanc vient de blank).
Le latin et le grec sont à l'origine de la langue française, mais également sont en lien avec l'histoire, les mathématiques, les sciences, une langue vivante et même l'éducation physique et sportive avec les jeux olympiques.

L'âne facho, tu n'as pas les compétences linguistiques et historiques pour tenir ce genre de débats.
Tu ne sais même pas choisir tes sources.

Celle que tu contredis vient d'un lexicographe et historien de la langue française
la tienne : un médecin généraliste

Merci d'être passé :cool:
 
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