Nos pauvres émigrés face à lIslamoparanoia qui sévit dans le SARKOLAND ou le Roy est devenu maitre de toutes les forces policières, sont priés de subir ou de retourner chez eux.
Un jeune médecin, dans la région de Versailles ayant décroché un remplacement, sur contrat signé pour le mois, sest vu mettre à la porte au bout de 2 jours avec un chèque qui ne couvrait que les jours travaillés sans prévoir les dédommagements prévus par la loi. Si non content, le praticien était prié de sadresser à lOrdre présidé par un extrémiste de droite, le Docteur PRUDHOMME qui pour se faire réélire avait surfé sur lislamoparanoia. Le libre choix des malades par leur médecin.
Le jeune médecin insista auprès de son confrère qui pour sen débarrasser appela la gendarmerie. Une escouade de sept gendarmes débarqua. Après avoir écouté le plaignant celui qui paraissait le chef et qui avait entendu larabe injurié par le remplacé se rangea de lavis de lArbi. Il lui demanda de déposer plainte auprès de ses collègues. A la gendarmerie, lagressé verbal et spolié potentiel, entendit les ex militaires se passer des consignes. Attendre le chef qui traitera en fonction des consignes reçues. Quand celui ci arriva, demblée il déclara quil sagissait dune affaire qui relevait de lOrdre. Lagressé pour avoir plus de chance rappela aux gendarmes quil était là pour invoquer la loi commune et déposer plainte pour injures calomnie et autres menaces qui relèvent du code pénal. Hargneux le chef lui répondit, quau départ il y a un litige de contrat .Il nenregistrerait aucune plainte. Il navait quà prendre largent que lui proposait celui qui lavait employé et ne plus roder autour de son cabinet. Pour esther il devait écrire au Procureur de la République.
Pour la gendarmerie de Noisy, la loi, quand il sagit darabes sinverse.
Dordinaire en cas de litige entre citoyens, quand une affaire est pénale tout en demandant une attention civile, dédommagements, le Pénal, non respect des Lois de la République prime. Une fois le verdict connu, le procès se poursuit en civil.
A Noisy, cest linverse.
Un jeune médecin, dans la région de Versailles ayant décroché un remplacement, sur contrat signé pour le mois, sest vu mettre à la porte au bout de 2 jours avec un chèque qui ne couvrait que les jours travaillés sans prévoir les dédommagements prévus par la loi. Si non content, le praticien était prié de sadresser à lOrdre présidé par un extrémiste de droite, le Docteur PRUDHOMME qui pour se faire réélire avait surfé sur lislamoparanoia. Le libre choix des malades par leur médecin.
Le jeune médecin insista auprès de son confrère qui pour sen débarrasser appela la gendarmerie. Une escouade de sept gendarmes débarqua. Après avoir écouté le plaignant celui qui paraissait le chef et qui avait entendu larabe injurié par le remplacé se rangea de lavis de lArbi. Il lui demanda de déposer plainte auprès de ses collègues. A la gendarmerie, lagressé verbal et spolié potentiel, entendit les ex militaires se passer des consignes. Attendre le chef qui traitera en fonction des consignes reçues. Quand celui ci arriva, demblée il déclara quil sagissait dune affaire qui relevait de lOrdre. Lagressé pour avoir plus de chance rappela aux gendarmes quil était là pour invoquer la loi commune et déposer plainte pour injures calomnie et autres menaces qui relèvent du code pénal. Hargneux le chef lui répondit, quau départ il y a un litige de contrat .Il nenregistrerait aucune plainte. Il navait quà prendre largent que lui proposait celui qui lavait employé et ne plus roder autour de son cabinet. Pour esther il devait écrire au Procureur de la République.
Pour la gendarmerie de Noisy, la loi, quand il sagit darabes sinverse.
Dordinaire en cas de litige entre citoyens, quand une affaire est pénale tout en demandant une attention civile, dédommagements, le Pénal, non respect des Lois de la République prime. Une fois le verdict connu, le procès se poursuit en civil.
A Noisy, cest linverse.