Quand les chefs syndicaux se rencontrent pour manger

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Quand les chefs syndicaux se rencontrent pour manger comme dans les fêtes ! Cette bande de nullards doit déguerpir!

Ce genre de personnes n'a de raison d'exister que pour dire NON et refuser le dialogue. Ce sont les employés qui paient leur salaire et les avantages dont ils disposent et qui plus tard paient en perdant leur boulot ou une partie de leur paie parce qu'on les pousse dans des grèves sauvages qui aboutissent à des fermetures de de sociétés.
De toutes les façons, ce sont les employés, syndiqués ou pas, qui paient pour que ces gens se vautrent et mangent comme des cochons!
AB

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Quand les chefs syndicaux se rencontrent pour manger comme dans les fêtes ! Cette bande de nullards doit déguerpir!

Ce genre de personnes n'a de raison d'exister que pour dire NON et refuser le dialogue. Ce sont les employés qui paient leur salaire et les avantages dont ils disposent et qui plus tard paient en perdant leur boulot ou une partie de leur paie parce qu'on les pousse dans des grèves sauvages qui aboutissent à des fermetures de de sociétés.
De toutes les façons, ce sont les employés, syndiqués ou pas, qui paient pour que ces gens se vautrent et mangent comme des cochons!
AB

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da8abna ila zardatine :)
 
Quand les chefs syndicaux se rencontrent pour manger comme dans les fêtes ! Cette bande de nullards doit déguerpir!

Ce genre de personnes n'a de raison d'exister que pour dire NON et refuser le dialogue. Ce sont les employés qui paient leur salaire et les avantages dont ils disposent et qui plus tard paient en perdant leur boulot ou une partie de leur paie parce qu'on les pousse dans des grèves sauvages qui aboutissent à des fermetures de de sociétés.
De toutes les façons, ce sont les employés, syndiqués ou pas, qui paient pour que ces gens se vautrent et mangent comme des cochons!
AB

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Ils se sont rencontrer juste pour manger ?
 
Ils se sont rencontrer juste pour manger ?
lis .pendant qu'ils se servent des ouvriers pour regler leur compte avec le gouvernement ,eux ils se paient un repas chic , et les ouvriers ne sont pas payés pour les jours que ces messieurs les ont poussé à faire gréve .
à signaler que cet Amawi ,est à leur tête depuis presque + de 20 ans !! qu'il commence lui par se democratiser d'abord ..
 
Quand les chefs syndicaux se rencontrent pour manger comme dans les fêtes ! Cette bande de nullards doit déguerpir!

Ce genre de personnes n'a de raison d'exister que pour dire NON et refuser le dialogue. Ce sont les employés qui paient leur salaire et les avantages dont ils disposent et qui plus tard paient en perdant leur boulot ou une partie de leur paie parce qu'on les pousse dans des grèves sauvages qui aboutissent à des fermetures de de sociétés.
De toutes les façons, ce sont les employés, syndiqués ou pas, qui paient pour que ces gens se vautrent et mangent comme des cochons!
AB

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Plat au fruit de mer, ainsi que naqabi kayakoul bel'fourchita
allah 3la 3adama d'etre un délégué au bled.
 
Faut pas râler il est plutôt sobre leurs repas aux fruits de mer,si il y avait eu du champagne ou du caviar la vous auriez eu un bon motif pour râler. :joueur:
 
Un ultimatum à Benkirane

UMT, FDT et CDT adresse un mémorandum au chef de gouvernement, Abdelilah Benkiane sur les retraites, les lois sur les syndicats et la grève

<<Nous allons lancer un ultimatum au chef de gouvernement qui prendra effet juste après le dépôt de notre mémorandum>> Les propos émanent de Abdelhamid Fatihi, secrétaire général adjoint de la FDT (Fédération démocratique du travail). C’est l’une des grandes décisions de la réunion tenue mercredi dernier rassemblant les états-majors des trois syndicats parmi les plus représentatifs à l’échelle nationale.
«M. Benkirane ne nous a pas laissé le choix pour ainsi dire. Plusieurs dossiers sociaux restent toujours en suspens, le dialogue social est quasiment gelé depuis l’avènement de la majorité conduite par le PJD (Parti de la justice et du développement) et le comble c’est que le gouvernement fait cavalier seul dans plusieurs chantiers qui concernent directement les travailleurs et la classe ouvrière. Il fallait donc agir», ajoute Fatihi, également membre du bureau politique de l’USFP (Union socialiste des forces populaires).
En effet, le siège de l’UMT (Union marocaine du travail) a abrité une réunion à laquelle ont pris part Miloudi Moukharik, secrétaire général de l’UMT, Abderrahmane Azzouzi, secrétaire général de la FDT et doyen des syndicalistes, qui est apparu d’ailleurs très affaibli à la fois par l’âge et la maladie, sans perdre cependant de sa fougue et son style terre à terre, Mohamed Noubir Amaoui.
Les trois hommes accompagnés par leurs bras droits dans leurs syndicats respectifs se sont mis d’accord sur le contenu du mémorandum qui sera transmis au chef de gouvernement, Abdelilah Benkirane, dans les prochains jours. «Ce mémorandum est une dernière chance pour le gouvernement pour se ressaisir et reprendre le dialogue.
Mais nous ne voulons pas d’un dialogue juste pour le dialogue. Assez de débat et de paroles, il faut passer à l’action dans le cadre d’un dialogue sérieux prenant en compte la vision des syndicats», avertit Fatihi. Et de conclure : «Le mémorandum de la FDT, la CDT et l’UMT portera notamment sur les questions qui concernent directement les syndicats, à savoir la réforme des retraites, les projets de lois organiques relatifs aux syndicats et le droit à la grève ainsi que le code de la mutualité».
Le trio syndical semble ainsi décidé à aller jusqu’au bout. Qu’en pensent alors les autres centrales syndicales ? Si l’on exclut l’UNTM (Union nationale des travailleurs du Maroc) qui est le relais syndical du PJD, il reste l’UGTM (Union générale des travailleurs du Maroc). Bizarrement, le trio syndical semble prendre ses distances avec le bras syndical du parti de l’Istiqlal.
Une source bien renseignée au sein du trio UMT, FDT et CDT assure qu’aucun contact n’est en cours actuellement avec l’UGTM pour les rejoindre ajoutant qu’ils préfèrent attendre que l’initiative soit entreprise par les responsables du relais syndical istiqlalien.
A noter enfin que l’UGTM a déjà menacé le chef de gouvernement de recourir à une grève générale si l’Exécutif allait de l’avant dans ses projets de réformes «touchant aux acquis des travailleurs et leur pouvoir d’achat». Reste maintenant à connaître la réaction gouvernementale qui n’avait pas encore fait de déclaration officielle à l’heure où nous mettions sous presse. Affaire donc à suivre.

http://www.aujourdhui.ma/maroc-actualite/focus/un-ultimatum-a-benkirane-107676.html
 
C est tout ce qu ils savent faire , manger et signer n importe quoi , mème quand il s agit des biens mérités par les fonctionnaires et les travailleurs .Ils ont oublié l erreur impardonnable qu ils ont fait ilya 10 ans quant le gouvernement a arrèté l avancement des instituteurs aux échelles 10 et 11 plusieurs années ; alors les sindicas se frottent les mains et entrent à l action pour négocier avec les chacals rusés du gouvernement qui ont bien étudié le nombre et la date des instituteurs qui vont sortir à la retraite pour fixer une date qui privera le plus grand nombre d instituteurs de l echelle 11 en sortant à la retraite, alors on leur a donné à manger (ZERDA) et ils ont signé le malheur des pauvres instituteurs qui ont passé toute leur vie depuis les débuts des années 60 pour instruire des milliers d élèves ...ALLAH INAAL LI MAYHCHAM.....
 
Une première, Benkirane unit les syndicats: L’UMT, la CDT et la FDT préparent leur offensive.

Qui aurait pu imaginer, il y a encore quelques années, que les héritiers de feu Mahjoub Benseddik, ancien dirigeant de l’UMT, et Noubir Amaoui, éternel patron de la CDT, se retrouveraient autour d’une même table ? Après des décennies de rupture donc, Noubir Amaoui renoue avec ses anciens camarades de l’UMT. C’est pour dire que l’heure est grave. En fait, avec la FDT, syndicat affidé à l’USFP, les trois centrales ont décidé d’unir leur force pour faire face aux «décisions unilatérales impopulaires du chef du gouvernement». Il faut dire aussi que cette levée de boucliers des centrales syndicales, saluée par ailleurs par un certain Hamid Chabat, patron de l’UGTM et de l’Istiqlal, intervient au moment où une mouture de la loi organique de la grève vient d’être fuitée. Les syndicats n’ont certes par encore reçu officiellement le texte, mais ils commencent déjà à en fustiger certains articles. En même temps, le dialogue social est au point mort depuis belle lurette. «Le chef du gouvernement veut un dialogue social à travers lequel il ne fait que nous informer de ses décisions, souvent, une fois déjà prises. Les syndicats revendiquent un véritable dialogue, une concertation et une véritable association à la prise de décision», pour reprendre les termes d’un dirigeant de la FDT.
Bref, au-delà du caractère inédit de cette rencontre historique, se profilent les prémices d’une union syndicale, ne serait-ce que conjoncturelle, qui regroupe les centrales les plus représentatives dans un front contre le gouvernement. Cela alors que les partis politiques de l’opposition qui ne cachent pas leur satisfaction et leur espoir de voir aboutir cette initiative viennent de tenir une réunion tout aussi importante. En définitive, c’est un large front d’opposition institutionnelle, parlementaire, syndicale et sociale qui en est train de prendre forme.
Tahar Abou El Farah. La Vie éco
 
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