Quatre écolières vendent du «maâjoune»

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Casablanca d'antan
VIB
Dans la région de Toulal (Meknès), 4 écolières, âgées de 12 à 14 ans, ont été interpellées par la police. Elles vendaient du «maâjoune» aux écoliers pour le compte d’un trafiquant.


Nous sommes à la région de Toulal (Meknès). Saïd, jeune serveur de café, venait de rentrer chez lui. D’habitude, il ne prenait son dîner qu’après avoir passé quelques bons moments avec sa fille. À son douzième printemps, celle-ci poursuit ses études à la 6ème année d’enseignement fondamental à l’école Al Hafid Ibn Hajar. «J’ai déjà fait mes devoirs» , a-t-elle affirmé à son père. Souriant, Saïd a pris sa fille dans ses bras et lui a demandé de ses nouvelles. «Une fille m’a demandé d’acheter du chocolat qui ne ressemble pas à celui qui se vend chez l'épicier», lui a-t-elle révélé.
Comment est ce chocolat? La fille ne l’a jamais goûté. Son père lui a remis une pièce de cinq dirhams, lui a demandé de l’acheter et de le lui ramener pour s'assurer s’il s’agit vraiment du chocolat qui se vend chez les commerçants. Le lendemain, la fille n’a rien ramené à son père. Pourquoi ? «Elle m’a dit qu’elle n’en a plus» , lui a-t-elle répondu. Le surlendemain, Saïd a accompagné sa fille et a rencontré le directeur de l’école. Il lui a raconté ce que sa fille lui avait révélé. Le directeur n’a pas hésité à fouiller les poches de l’écolière qui offrait le chocolat contre une pièce de cinq dirhams. Il a mis la main sur trois morceaux de chocolat et un briquet. De quoi s’agit-il? Du «maâjoune» ! C’est une recette à base de farine, d’huile, de kif et du chocolat, ainsi que d’autres ingrédients comme, parfois, les comprimés psychotropes concassés. L’écolière a avoué être dealer pour le compte d’un trafiquant de drogue. Mercredi 29 avril, vers l’après-midi, les éléments du 9ème arrondissement de police de Toulal ont été alertés. Ils se sont dépêchés vers l’école Al Hafid Ibn Hajar située juste en face du commissariat.
Interpellée, l’écolière a affirmé aux enquêteurs : «Je ne suis pas la seule à vendre la drogue à l’école».
Elle leur a indiqué trois autres écolières dont deux poursuivent leurs études à l’école Al Wahda. Toutes les quatre ont été interpellées. En présence de leurs parents, puisqu’elles sont toutes mineures, elles ont été auditionnées. Elles ont avoué être des dealers pour le compte du même trafiquant de drogue contre une pièce de dix dirhams. Les filles, âgées entre 12 et 14 ans, ont révélé qu’elles les vendaient aux écoliers et ont dévoilé l’identité de leur fournisseur. Il s’agit de M. A, vingt-huit ans. Arrêté, celui-ci a été traduit, samedi 2 mai, devant le procureur du Roi près le tribunal de Première instance à Meknès. Vu qu'elle sont mineures, les quatre filles ont été relâchées par le juge d’instruction après les avoir sévèrement blâmées.




Par : Abderrafii ALOUMLIKI
 
Dans la région de Toulal (Meknès), 4 écolières, âgées de 12 à 14 ans, ont été interpellées par la police. Elles vendaient du «maâjoune» aux écoliers pour le compte d’un trafiquant.


Nous sommes à la région de Toulal (Meknès). Saïd, jeune serveur de café, venait de rentrer chez lui. D’habitude, il ne prenait son dîner qu’après avoir passé quelques bons moments avec sa fille. À son douzième printemps, celle-ci poursuit ses études à la 6ème année d’enseignement fondamental à l’école Al Hafid Ibn Hajar. «J’ai déjà fait mes devoirs» , a-t-elle affirmé à son père. Souriant, Saïd a pris sa fille dans ses bras et lui a demandé de ses nouvelles. «Une fille m’a demandé d’acheter du chocolat qui ne ressemble pas à celui qui se vend chez l'épicier», lui a-t-elle révélé.
Comment est ce chocolat? La fille ne l’a jamais goûté. Son père lui a remis une pièce de cinq dirhams, lui a demandé de l’acheter et de le lui ramener pour s'assurer s’il s’agit vraiment du chocolat qui se vend chez les commerçants. Le lendemain, la fille n’a rien ramené à son père. Pourquoi ? «Elle m’a dit qu’elle n’en a plus» , lui a-t-elle répondu. Le surlendemain, Saïd a accompagné sa fille et a rencontré le directeur de l’école. Il lui a raconté ce que sa fille lui avait révélé. Le directeur n’a pas hésité à fouiller les poches de l’écolière qui offrait le chocolat contre une pièce de cinq dirhams. Il a mis la main sur trois morceaux de chocolat et un briquet. De quoi s’agit-il? Du «maâjoune» ! C’est une recette à base de farine, d’huile, de kif et du chocolat, ainsi que d’autres ingrédients comme, parfois, les comprimés psychotropes concassés. L’écolière a avoué être dealer pour le compte d’un trafiquant de drogue. Mercredi 29 avril, vers l’après-midi, les éléments du 9ème arrondissement de police de Toulal ont été alertés. Ils se sont dépêchés vers l’école Al Hafid Ibn Hajar située juste en face du commissariat.
Interpellée, l’écolière a affirmé aux enquêteurs : «Je ne suis pas la seule à vendre la drogue à l’école».
Elle leur a indiqué trois autres écolières dont deux poursuivent leurs études à l’école Al Wahda. Toutes les quatre ont été interpellées. En présence de leurs parents, puisqu’elles sont toutes mineures, elles ont été auditionnées. Elles ont avoué être des dealers pour le compte du même trafiquant de drogue contre une pièce de dix dirhams. Les filles, âgées entre 12 et 14 ans, ont révélé qu’elles les vendaient aux écoliers et ont dévoilé l’identité de leur fournisseur. Il s’agit de M. A, vingt-huit ans. Arrêté, celui-ci a été traduit, samedi 2 mai, devant le procureur du Roi près le tribunal de Première instance à Meknès. Vu qu'elle sont mineures, les quatre filles ont été relâchées par le juge d’instruction après les avoir sévèrement blâmées.




Par : Abderrafii ALOUMLIKI
C'est pas grave c'est le sport nationnal Marocain, un vrai délice avec un bon berad mne3ne3.
 
à 12 ans le maajoune

à 15 ans le hashish

à 18 ans la brune

à 20 ans la coc

si le palais même est engouffré par la drogue tout comme certains sensés proteger les citoyens

quelle est la solution ?
 
on peut bien faire le maajoune à 12 ans sans passer à la suite.
il y a quelques années de cela je te l aurais accordé mais la décadence des rues, des écoles à laquelle on assiste de nos jours, laisse à croire que quand tu touches à un truc le reste suit surtout que s7ab l7assanate n en manquent pas
 
Dans la région de Toulal (Meknès), 4 écolières, âgées de 12 à 14 ans, ont été interpellées par la police. Elles vendaient du «maâjoune» aux écoliers pour le compte d’un trafiquant.


Nous sommes à la région de Toulal (Meknès). Saïd, jeune serveur de café, venait de rentrer chez lui. D’habitude, il ne prenait son dîner qu’après avoir passé quelques bons moments avec sa fille. À son douzième printemps, celle-ci poursuit ses études à la 6ème année d’enseignement fondamental à l’école Al Hafid Ibn Hajar. «J’ai déjà fait mes devoirs» , a-t-elle affirmé à son père. Souriant, Saïd a pris sa fille dans ses bras et lui a demandé de ses nouvelles. «Une fille m’a demandé d’acheter du chocolat qui ne ressemble pas à celui qui se vend chez l'épicier», lui a-t-elle révélé.
Comment est ce chocolat? La fille ne l’a jamais goûté. Son père lui a remis une pièce de cinq dirhams, lui a demandé de l’acheter et de le lui ramener pour s'assurer s’il s’agit vraiment du chocolat qui se vend chez les commerçants. Le lendemain, la fille n’a rien ramené à son père. Pourquoi ? «Elle m’a dit qu’elle n’en a plus» , lui a-t-elle répondu. Le surlendemain, Saïd a accompagné sa fille et a rencontré le directeur de l’école. Il lui a raconté ce que sa fille lui avait révélé. Le directeur n’a pas hésité à fouiller les poches de l’écolière qui offrait le chocolat contre une pièce de cinq dirhams. Il a mis la main sur trois morceaux de chocolat et un briquet. De quoi s’agit-il? Du «maâjoune» ! C’est une recette à base de farine, d’huile, de kif et du chocolat, ainsi que d’autres ingrédients comme, parfois, les comprimés psychotropes concassés. L’écolière a avoué être dealer pour le compte d’un trafiquant de drogue. Mercredi 29 avril, vers l’après-midi, les éléments du 9ème arrondissement de police de Toulal ont été alertés. Ils se sont dépêchés vers l’école Al Hafid Ibn Hajar située juste en face du commissariat.
Interpellée, l’écolière a affirmé aux enquêteurs : «Je ne suis pas la seule à vendre la drogue à l’école».
Elle leur a indiqué trois autres écolières dont deux poursuivent leurs études à l’école Al Wahda. Toutes les quatre ont été interpellées. En présence de leurs parents, puisqu’elles sont toutes mineures, elles ont été auditionnées. Elles ont avoué être des dealers pour le compte du même trafiquant de drogue contre une pièce de dix dirhams. Les filles, âgées entre 12 et 14 ans, ont révélé qu’elles les vendaient aux écoliers et ont dévoilé l’identité de leur fournisseur. Il s’agit de M. A, vingt-huit ans. Arrêté, celui-ci a été traduit, samedi 2 mai, devant le procureur du Roi près le tribunal de Première instance à Meknès. Vu qu'elle sont mineures, les quatre filles ont été relâchées par le juge d’instruction après les avoir sévèrement blâmées.




Par : Abderrafii ALOUMLIKI


moi je me demande si en vendant elles ne chantent pas "chkoune chkoune li bgha la3joune"... :D
je rigole mais c"est pas drôle quoi mais je pense ps qu'elles soient arrivées à ce point par hasard quoi...
 
je vais peut etre passer pour une arrièrée mais c'est quoi le ma3joun? (j'ai bien compris que c'est une drogue mais je ne connais pas son équivalent en français.)
 
je vais peut etre passer pour une arrièrée mais c'est quoi le ma3joun? (j'ai bien compris que c'est une drogue mais je ne connais pas son équivalent en français.)

bonjour
cest écrit dans le texte

C’est une recette à base de farine, d’huile, de kif et du chocolat, ainsi que d’autres ingrédients comme, parfois, les comprimés psychotropes concassés.
 
bonjour
cest écrit dans le texte

C’est une recette à base de farine, d’huile, de kif et du chocolat, ainsi que d’autres ingrédients comme, parfois, les comprimés psychotropes concassés.

et à Marakech dans les vieilles familles ca se prend avec un bon barad d'atay mcha7ar
et surtout en mois de Ramadan apres le f'tour

j imagine la maman qui balance a son fils : "hak a weldi chwia dial l ma3joun bach t9ad bih l moral dialek :D"

le Maroc c est à part
 
Moi à l'époque c'est à dire il y' a 12 ans j'étais partie en vacances au bled, et j'étais avec ma cousine et 2 amis à elle.
On a fait une virée et je les voyais qui en prenaient avec du thé.
La curieuse que je suis j'ai voulu essayer, et franchement cela ne m'a rien fait.
Ils étaient tous pétés de rire et moi blasée car cela ne m'avait rien fait.
Quand on me parle de maajoun , je repense à ce souvenir.
 
Moi à l'époque c'est à dire il y' a 12 ans j'étais partie en vacances au bled, et j'étais avec ma cousine et 2 amis à elle.
On a fait une virée et je les voyais qui en prenaient avec du thé.
La curieuse que je suis j'ai voulu essayer, et franchement cela ne m'a rien fait.
Ils étaient tous pétés de rire et moi blasée car cela ne m'avait rien fait.
Quand on me parle de maajoun , je repense à ce souvenir.

aujourd hui la face n est plus ce qu elle était il y a 12 ans, de ce fait deux options se posent à ceux qui en prennent : pétage de plon totale et/ou ne réagi pas..cela s explique du fait que la personne qui pete un plon était sur une corde sensible et du cou ce simple fait de prendre d psychotrophes l'a fai basculer vers le côté obscur, suffit de faire un tour aux urgences de l hopital psychiatrique de casa (entre autre) et tu comprendras certaines choses...c loin d'être anodin ce machin..
 
Dans la région de Toulal (Meknès), 4 écolières, âgées de 12 à 14 ans, ont été interpellées par la police. Elles vendaient du «maâjoune» aux écoliers pour le compte d’un trafiquant.


Nous sommes à la région de Toulal (Meknès). Saïd, jeune serveur de café, venait de rentrer chez lui. D’habitude, il ne prenait son dîner qu’après avoir passé quelques bons moments avec sa fille. À son douzième printemps, celle-ci poursuit ses études à la 6ème année d’enseignement fondamental à l’école Al Hafid Ibn Hajar. «J’ai déjà fait mes devoirs» , a-t-elle affirmé à son père. Souriant, Saïd a pris sa fille dans ses bras et lui a demandé de ses nouvelles. «Une fille m’a demandé d’acheter du chocolat qui ne ressemble pas à celui qui se vend chez l'épicier», lui a-t-elle révélé.
Comment est ce chocolat? La fille ne l’a jamais goûté. Son père lui a remis une pièce de cinq dirhams, lui a demandé de l’acheter et de le lui ramener pour s'assurer s’il s’agit vraiment du chocolat qui se vend chez les commerçants. Le lendemain, la fille n’a rien ramené à son père. Pourquoi ? «Elle m’a dit qu’elle n’en a plus» , lui a-t-elle répondu. Le surlendemain, Saïd a accompagné sa fille et a rencontré le directeur de l’école. Il lui a raconté ce que sa fille lui avait révélé. Le directeur n’a pas hésité à fouiller les poches de l’écolière qui offrait le chocolat contre une pièce de cinq dirhams. Il a mis la main sur trois morceaux de chocolat et un briquet. De quoi s’agit-il? Du «maâjoune» ! C’est une recette à base de farine, d’huile, de kif et du chocolat, ainsi que d’autres ingrédients comme, parfois, les comprimés psychotropes concassés. L’écolière a avoué être dealer pour le compte d’un trafiquant de drogue. Mercredi 29 avril, vers l’après-midi, les éléments du 9ème arrondissement de police de Toulal ont été alertés. Ils se sont dépêchés vers l’école Al Hafid Ibn Hajar située juste en face du commissariat.
Interpellée, l’écolière a affirmé aux enquêteurs : «Je ne suis pas la seule à vendre la drogue à l’école».
Elle leur a indiqué trois autres écolières dont deux poursuivent leurs études à l’école Al Wahda. Toutes les quatre ont été interpellées. En présence de leurs parents, puisqu’elles sont toutes mineures, elles ont été auditionnées. Elles ont avoué être des dealers pour le compte du même trafiquant de drogue contre une pièce de dix dirhams. Les filles, âgées entre 12 et 14 ans, ont révélé qu’elles les vendaient aux écoliers et ont dévoilé l’identité de leur fournisseur. Il s’agit de M. A, vingt-huit ans. Arrêté, celui-ci a été traduit, samedi 2 mai, devant le procureur du Roi près le tribunal de Première instance à Meknès. Vu qu'elle sont mineures, les quatre filles ont été relâchées par le juge d’instruction après les avoir sévèrement blâmées.




Par : Abderrafii ALOUMLIKI

Une honte !! jui fré bouffé moi du ma3joun ! ane chbe3 féha ghér tsserfé9 ! :fou:
 
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