Salam,
Quelles solutions proposieriez-vous pour réformer la justice au maroc ?
Quelles solutions proposieriez-vous pour réformer la justice au maroc ?
Quelles solutions pour la réforme de la justice marocaine?
- Initiateur de la discussion tantan2010
- Date de début
oui ça on le sait bien mais au maroc c'est plûtot la loi bakchich qui régne.
Il faut éliminer les courtiers qui se trouvent devant les tribunaux qui connaissent le vrai
système juridique ( smasria), les avocats qui font affaire avec les juges et qui connaissent
les juges corrompus et les non corrompus, les procureurs corrompu et les personnes qui
bénéficient de la grâce royale doit être éditer dans le journal ( nom et motif de leur
incarcération : transparence)....et changer le ministre, il va qu'empirer les choses, il na pas
le potentiel pour ça , et lécole des juges doit être lié à une commission indépendante qui
sera sous tutelle du Palais, créer une commission daudit pour les juges qui analysera
chaque mois leur sentences, commission daudit pour les avocats chaque trois mois,
commission daudit pour les procureurs chaque mois ..
.....mettre fin aux lobbys qui ne veulent pas la reforme
, il faudrait cette fois-ci , être rigide, insérer du nouveau sang dans la justice, l'ancien sang est tellement pourri , qu'il représente une menace, faire une transition rapide , efficace et le plus tôt possible car il ne faut jamais sous-estimer une petite branche qui sort dun tribunal
.. ..
pour qu'il y ait réforme il faut avant tout volonté de réforme. il y a tant de choses à réformer au maroc mais sans volonté politique ça ne sert à rien.
très pour ta dernière phrase (audit) mais de toute façon, il reussiront à rallier les auditeurs (kolchi kai tchra f l maroc) .
Mais moi plûtot pour chasser des têtes qui ont pourri le systeme et qui sont tjs là à en profiter ....
ils le savent déjà , l'heure a sonné surtout avec le probleme d'assabah , le declenchement a pris une autre ampleur, le compte à rebours a commencé ..... la deuxième decennie cache de belles surprises............ « le tamis à 1 micro»......
D'accord mais assabah c'était surtout une histoire dans les rangs de la police et en pus ils ont reussi à fermer la bouche à ce journal ....
Non, le journal Assabah avait la liste des mutations et des changements des juges, mais le Palais n'avait pas divulgué ni communiqué ce qui a mis le palais et conseil de magistrature dans une position......... c'est tout un lobby derrière pour que la reforme prenne une autre tournure...... et Dilami ..........on ne sait pas.....
tu as cet article stp ? je l'ai zappé
la loi du bakchich est partout dans le monde...
ce qu,est nouveau au Maroc a l,epoque de Mohammed 6 -llah inassro- c,est que Lii 7SSAL IWADDI...
ca c,est nouveau et c,est democrat.
le Maroc est entrains de renouveler sa justice ...sachant que c,est pas si facile car nous devons lier deux sortes de justices l,une a comme source la religion et l,autre la democratie et cela demande un certains temps...
l'article de rachid nini , al massae « Kadi Haja»
oui je l'ai lu . Merci . il est bien cet article et donc si j'ai bien compris la fuite de la liste est provenue de La Haute Chambre de justice de Casablanca .
pocoloco
Bladinaute averti
Un concept de la science politique, la théorie du sentier: le choix entre plusieurs alternatives devant un problème est toujours limité par les décisions prises dans le passé.
Donc, une promesse vide qui se fait attendre et qui n'est pas près d'être tenue.
Je ne pense pas que le système juridique et politique puisse progresser, voire même éviter de reculer.
Et bien entendu, la force de certains lobbys.
Primo: toucher à la justice, c'est toucher aux intérêts du roi, car elle est justement fortement politisée à son avantage. Les velléités démocratiques du début du règne ayant été vite remisées au placard.
Secundo: le modus operandi politique et économique du Maroc reposant sur une monarchie absolue dont l'assise économique est une sorte de capitalisme de connivence: Le roi et sa Cour, ses holdings, ayant un très fort pouvoir de répartition des ressources, s'ingère partout, crée des rentes de situation. Une sorte de corruption à laquelle il ne faut pas toucher. Or une justice indépendante toucherait justement à leurs intérêts aussi.
Je tairai, une de mes rares gentillesses du ramadan , ce que je pense des zozos qui nous reviennent toujours avec les slogans louches sur le consensus social et le bla bla lénifiant du même acabit!
Donc, une promesse vide qui se fait attendre et qui n'est pas près d'être tenue.
Je ne pense pas que le système juridique et politique puisse progresser, voire même éviter de reculer.
Et bien entendu, la force de certains lobbys.
Primo: toucher à la justice, c'est toucher aux intérêts du roi, car elle est justement fortement politisée à son avantage. Les velléités démocratiques du début du règne ayant été vite remisées au placard.
Secundo: le modus operandi politique et économique du Maroc reposant sur une monarchie absolue dont l'assise économique est une sorte de capitalisme de connivence: Le roi et sa Cour, ses holdings, ayant un très fort pouvoir de répartition des ressources, s'ingère partout, crée des rentes de situation. Une sorte de corruption à laquelle il ne faut pas toucher. Or une justice indépendante toucherait justement à leurs intérêts aussi.
Je tairai, une de mes rares gentillesses du ramadan , ce que je pense des zozos qui nous reviennent toujours avec les slogans louches sur le consensus social et le bla bla lénifiant du même acabit!
Cest intéressant ton raisonnement, cest vrai que les théories en sciences politiques sont essentielles, néanmoins leurs applications différents selon le temps et les cas.
Concernant ta théorie de la dépendance au sentier, «path dependency», cest vrai les décisions prises au passé reflèteront toujours les décisions qui vont être prises à lavenir, sans oublier la transition aux changements, qui est inévitablement couteuse, notamment le cout dadaptation dun nouveau règne tout en gardant lhéritage de lancien dans le même cadre sécuritaire.
Mais, le fait que le Maroc avec son nouveau Roi, qui place son énergie sur les investissements régionaux , promeut une renaissance économique dans toutes les régions afin de drainer une croissance économique, il montre les prémices du changement, on peut se rappeler une phrase que le Feu Hassan II avait dit en substance lorsquun journaliste français lui a posé la question sur comment il voit le règne du Roi Mohammed VI ?« cest à lui de gouverner lorsquil sera Roi» c'est-à-dire que chaque Roi à sa propre vision sur son Royaume et la vision depuis dix ans a certainement changé, cest vrai que des secteurs comme lenseignement, justice, emploi, santé sont les pires à redresser même dans les pays développés et comme la dit Jean Maynard Keynes :«la plus grande difficulté nest pas de persuader les gens daccepter de nouvelles idées, mais de les persuader dabandonner les anciennes».
Je ne suis pas daccord lorsque tu dis, que le système juridique et politique ne peut changer, voire reculer, car le changement est inévitable comme la dit Edmund Burk le grand politicien et écrivain britannique :«Un Etat qui na pas les moyens deffectuer les changements, na pas les moyens de se maintenir», la justice dabord et la politique après .Reste ta critique sur les velléités démocratiques qui sont remis au placard , au contraire , le brin de la démocratie est en fonction de la pauvreté et le taux danalphabétisme, ainsi la démocratie nest quun résultat dun état social qui a gouté à son processus, donc la démocratie est présente et elle évolue à son rythme. Concernant le modus opérande politico-économique et lintervention dune justice indépendante qui toucherait aux intérêts du royaume, moi je dirais que cette première décennie sest caractérisé par le contrôle et la deuxième je crois que cest le
nettoyage doux: la justice marocaine depuis le Feu Hassan II sest caractérisée par une gestion anodine, du jour au jour, une sorte de bouclier, mais le concept de justice à évoluer a travers le temps, la mondialisation et le partage des connaissances a obligé les gouvernements dêtre plus adapté au système juridique mondial .
C’est intéressant ton raisonnement, c’est vrai que les théories en sciences politiques sont essentielles, néanmoins leurs applications différent selon le temps et les cas.
Concernant ta théorie de la dépendance au sentier, «path dependency», c’est vrai les décisions prises au passé reflèteront toujours les décisions qui vont être prises à l’avenir, sans oublier la transition aux changements, qui est inévitablement couteuse, notamment le cout d’adaptation d’un nouveau règne tout en gardant l’héritage de l’ancien dans le même cadre sécuritaire.
Mais, le fait que le Maroc avec son nouveau Roi, qui place son énergie sur les investissements régionaux , promeut une renaissance économique dans toutes les régions afin de drainer une croissance économique, il montre les prémices du changement, on peut se rappeler une phrase que le Feu Hassan II avait dit en substance lorsqu’un journaliste français lui a posé la question sur comment il voit le règne du Roi Mohammed VI ?« c’est à lui de gouverner lorsqu’il sera Roi» c'est-à-dire que chaque Roi à sa propre vision sur son Royaume et la vision depuis dix ans a certainement changé, c’est vrai que des secteurs comme l’enseignement, justice, emploi, santé sont les pires à redresser même dans les pays développés et comme l’a dit Jean Maynard Keynes :«la plus grande difficulté n’est pas de persuader les gens d’accepter de nouvelles idées, mais de les persuader d’abandonner les anciennes».
Je ne suis pas d’accord lorsque tu dis, que le système juridique et politique ne peut changer, voire reculer, car le changement est inévitable comme l’a dit Edmund Burk le grand politicien et écrivain britannique :«Un Etat qui n’a pas les moyens d’effectuer les changements, n’a pas les moyens de se maintenir», la justice d’abord et la politique après .Reste ta critique sur les velléités démocratiques qui sont remis au placard , au contraire , le brin de la démocratie est en fonction de la pauvreté et le taux d’analphabétisme, ainsi la démocratie n’est qu’un résultat d’un état social qui a gouté à son processus, donc la démocratie est présente et elle évolue à son rythme. Concernant le modus opérande politico-économique et l’intervention d’une justice indépendante qui toucherait aux intérêts du royaume, moi je dirais que cette première décennie s’est caractérisé par le contrôle et la deuxième je crois que c’est le
nettoyage doux: la justice marocaine depuis le Feu Hassan II s’est caractérisée par une gestion anodine, du jour au jour, une sorte de bouclier, mais le concept de justice à évoluer a travers le temps, la mondialisation et le partage des connaissances a obligé les gouvernements d’être plus adapté au système juridique mondial .
Concernant ta théorie de la dépendance au sentier, «path dependency», c’est vrai les décisions prises au passé reflèteront toujours les décisions qui vont être prises à l’avenir, sans oublier la transition aux changements, qui est inévitablement couteuse, notamment le cout d’adaptation d’un nouveau règne tout en gardant l’héritage de l’ancien dans le même cadre sécuritaire.
Mais, le fait que le Maroc avec son nouveau Roi, qui place son énergie sur les investissements régionaux , promeut une renaissance économique dans toutes les régions afin de drainer une croissance économique, il montre les prémices du changement, on peut se rappeler une phrase que le Feu Hassan II avait dit en substance lorsqu’un journaliste français lui a posé la question sur comment il voit le règne du Roi Mohammed VI ?« c’est à lui de gouverner lorsqu’il sera Roi» c'est-à-dire que chaque Roi à sa propre vision sur son Royaume et la vision depuis dix ans a certainement changé, c’est vrai que des secteurs comme l’enseignement, justice, emploi, santé sont les pires à redresser même dans les pays développés et comme l’a dit Jean Maynard Keynes :«la plus grande difficulté n’est pas de persuader les gens d’accepter de nouvelles idées, mais de les persuader d’abandonner les anciennes».
Je ne suis pas d’accord lorsque tu dis, que le système juridique et politique ne peut changer, voire reculer, car le changement est inévitable comme l’a dit Edmund Burk le grand politicien et écrivain britannique :«Un Etat qui n’a pas les moyens d’effectuer les changements, n’a pas les moyens de se maintenir», la justice d’abord et la politique après .Reste ta critique sur les velléités démocratiques qui sont remis au placard , au contraire , le brin de la démocratie est en fonction de la pauvreté et le taux d’analphabétisme, ainsi la démocratie n’est qu’un résultat d’un état social qui a gouté à son processus, donc la démocratie est présente et elle évolue à son rythme. Concernant le modus opérande politico-économique et l’intervention d’une justice indépendante qui toucherait aux intérêts du royaume, moi je dirais que cette première décennie s’est caractérisé par le contrôle et la deuxième je crois que c’est le
nettoyage doux: la justice marocaine depuis le Feu Hassan II s’est caractérisée par une gestion anodine, du jour au jour, une sorte de bouclier, mais le concept de justice à évoluer a travers le temps, la mondialisation et le partage des connaissances a obligé les gouvernements d’être plus adapté au système juridique mondial .
l,idee que tu apportes est pleine de matchosism...?!------------------------------------------
Files moi un paquet de fric et je te donne la solution pour ce fléau
sérieux.
1.L'homme qu'il faut à la place où il faut.
2.Améliorer les conditions de vie des juges comme se passe en Europe et en Amérique du nord pour éviter les pots de vin. corruption.
3.La justice fait parti du système, donc faut démocratiser la vie publique.
Tom Sawyer.
Files moi un paquet de fric et je te donne la solution pour ce fléau
sérieux.
1.L'homme qu'il faut à la place où il faut.
2.Améliorer les conditions de vie des juges comme se passe en Europe et en Amérique du nord pour éviter les pots de vin. corruption.
3.La justice fait parti du système, donc faut démocratiser la vie publique.
Tom Sawyer.
Je reconnais que parfois lorsquon est derrière notre PC , on essaie de trouver toutes les
solutions du monde, on se prend pour les maitres de la solution, mais pas avec cette
spontanéité anodine, donne- moi le fric et je vais vous régler le problème, on dirait que tu
vas régler une facture
, le problème est beaucoup plus chronique et sérieux. Cest vrai que Mr Naciri connaît le système juridique (avocat de formation), à mon avis, on dirait
quil hésite ou quil craint leffet irréversible (lintensité et la force du lobby) , mais
normalement on est supposé d être très tranchant dans ce cas, «cest la justice». Cest
vrai que la diplomatie est essentielle dans ce genre de décisions, toutefois la rapidité de la
prise de décision contribue à son efficacité avant que les pions perturbés puissent
reprendre leurs forces dorganisation. Et comme la dit Coluche lhumoriste : « il y a deux
sortes de justices : lavocat qui connaît bien la loi et lavocat qui connaît bien le juge»
donc tout le monde connaît tout le monde et plus spécialement les juges ..