4 mysteres ambigu qui M'EMerveille et devant la quel je reste perplexe : on peut les reunir avec le mot vie HYY LYFE cause de cette ambiguité et perplexité BYN ? cela est assé bien mis en scene dans le recit de la reine de saba face au PALAIS : LAJ 1/Allah (sens : qui laisse perplexe)...
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Le commun des hommes ne connaît Dieu que par voie négative (
bi-l-naqîd),
tandis que l'élite spirituelle Le connaît par la Forme (
bi-l-sûra)
selon laquelle Dieu l'a créé. Mais, en fin de compte Ibn 'Arabî juge supérieur le premier mode de connaissance
«car il unit le début à la fin et vers lui il faut nécessairement revenir».
Ce retour s'apparente à la redescente après la montée vers Dieu, vers les hommes mais aussi vers soi-même.
L'adoration mène à la contemplation des réalités divines et supérieures.
Cependant plus le serviteur les voit se refléter en lui-même, plus il reconnaît que ce ne sont pas ses qualités mais celles de Dieu.
Il ne lui reste plus que les qualités propres au serviteur, le contraire des attributs divins: la pauvreté et l'humiliation avant tout.
Mais au-delà de toute qualité, plus l'homme se rapproche de Dieu comme Moïse, plus il perd sa propre trace (§ 52).
Ce voyage est donc bien celui de la perplexité (hayra), puisque l'homme y progresse en découvrant son incapacité foncière à connaître Dieu et à se connaître soi-même. Pourtant c'est de ce voyage que l'auteur dit: «Celui qui voyage en Lui ne gagne que lui-même» tout en affirmant qu'il n'a pas de fin ou même de but (lâ ghâyata lahu) (§ 2).
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§ 6. À part son caractère d’« universalité » ou de
« totalité » (51) et son rôle de « protection » (à l’égard
des autres Noms divins), la fonction qui distingue le
Nom Allâh dans l’univers est celle de produire la hayra ,
l’« égarement », la « perplexité », l’« éblouissement »,
en toute chose, là où l’on tente de le connaître ou de le
contempler (52) .
51. Le terme arabe est jam'iyya qui se rattache au nom divin al-Jâmi%
« Celui qui réunit (toute chose) », nom équivalent sous un certain
rapport à celui d 'al-Muhît, l’Enveloppant, dont il a été question dans
une note précédente.
52. On remarquera, encore une fois ici, que le texte identifie
volontairement le Nom et le Nommé. Il en sera encore ainsi dans la
suite.
Pour ce qui est de la hayra , cet effet s’explique par le fait que tout
« connaisseur » autre que Lui-même ne peut atteindre de Lui que
des aspects non-essentiels, contingents et même transitoires, et que
toute connaissance nouvelle à Son sujet, de quelque ordre qu elle soit
d’ailleurs, est un nouveau miracle intellectuel. L’Intellect Premier lui-
même en tant que réalité distincte de l’infinité divine n’achève jamais
la connaissance du Principe dont il procède immédiatement et dont il
reçoit sans cesse les effluves béatifiants ; mais sous un autre rapport,
du fait que l’Intellect est essentiellement identifié en Principe (et cela
se rattache à l’idée d’identité de l’Existence Universelle, Wahdatu-
l-Wujûd ) et qu’il est ainsi « Principe » et non pas « Plntellect », sa
connaissance, éternellement et complètement en acte, est coextensive
à l’infinité principielle, en tant que Connaissance de Soi-même.
Le caractère nécessaire et aussi béatifique de la hayra en matière de
connaissance divine est illustré par la demande que le Prophète adresse
à Allâh : « Mon Seigneur, ajoute-moi un nouvel éblouissement »
(Rabbî zidnî tahayyuran) formule corrélative et au fond équivalente
à : « Mon Seigneur, ajoute-moi une nouvelle science » (Rabbî zidnî
r ilman (Coran, 20, 113)).