A la lecture, de certains sujets, j'ai noté que certains et plutôt des femmes avaient les symptôme de la dépendance affective.
La personne "dépendante affective" est à la recherche de son droit à l'existence.
Mais elle effectue cette recherche d'une manière déficiente. Comme toute personne à la conquête de son droit d'être, elle souhaite être aimée, acceptée telle qu'elle est.
Elle désire qu'on prenne soin d'elle et même parfois qu'on la prenne en charge, preuve ultime de son importance. (Si elle cherche aussi à être désirée, ce n'est pas par besoin d'être confirmée comme être sexué, mais encore comme preuve qu'elle est aimable et valable.)
Encore une fois, ce ne sont pas ses besoins qui constituent un problème mais bien le fait de dissimuler les enjeux fondamentaux de la relation. Son droit d'exister étant précaire, elle se retrouve souvent et facilement dans une relation transférentielle, occupée essentiellement à cette recherche. Comment nourrir ce besoin impérieux d'être aimée et confirmée tout en le cachant à son interlocuteur? C'est le drame vécu par la personne dite "dépendante affective". Elle choisit malheureusement une solution qui devient vite un mode de vie: l'aliénation de soi.
Être aliéné c'est n'être plus tout-à-fait soi-même. On devient graduellement aliéné à force de s'abstenir d'être soi, à force de renier sa réalité vécue. On peut en venir à avoir l'impression que le "vrai soi" n'est pas présent dans sa relation avec les autres.
Il y a différentes manières de se renier. Ignorer ce que je vis (ma colère, par exemple) en est une. Agir à l'inverse de ce que je ressens en est une autre (je suis triste mais je souris). Banaliser ce que je ressens ou perçois en est une autre ("ce n'est pas grave, d'autres vivent des choses pires que ça"). Renoncer à mon propre jugement, faire davantage confiance au jugement de l'autre qu'au mien, refuser de regarder ma réalité en face...
La personne "dépendante affective" est à la recherche de son droit à l'existence.
Mais elle effectue cette recherche d'une manière déficiente. Comme toute personne à la conquête de son droit d'être, elle souhaite être aimée, acceptée telle qu'elle est.
Elle désire qu'on prenne soin d'elle et même parfois qu'on la prenne en charge, preuve ultime de son importance. (Si elle cherche aussi à être désirée, ce n'est pas par besoin d'être confirmée comme être sexué, mais encore comme preuve qu'elle est aimable et valable.)
Encore une fois, ce ne sont pas ses besoins qui constituent un problème mais bien le fait de dissimuler les enjeux fondamentaux de la relation. Son droit d'exister étant précaire, elle se retrouve souvent et facilement dans une relation transférentielle, occupée essentiellement à cette recherche. Comment nourrir ce besoin impérieux d'être aimée et confirmée tout en le cachant à son interlocuteur? C'est le drame vécu par la personne dite "dépendante affective". Elle choisit malheureusement une solution qui devient vite un mode de vie: l'aliénation de soi.
Être aliéné c'est n'être plus tout-à-fait soi-même. On devient graduellement aliéné à force de s'abstenir d'être soi, à force de renier sa réalité vécue. On peut en venir à avoir l'impression que le "vrai soi" n'est pas présent dans sa relation avec les autres.
Il y a différentes manières de se renier. Ignorer ce que je vis (ma colère, par exemple) en est une. Agir à l'inverse de ce que je ressens en est une autre (je suis triste mais je souris). Banaliser ce que je ressens ou perçois en est une autre ("ce n'est pas grave, d'autres vivent des choses pires que ça"). Renoncer à mon propre jugement, faire davantage confiance au jugement de l'autre qu'au mien, refuser de regarder ma réalité en face...