Qui est Strauss-Kahn?

  • Initiateur de la discussion Initiateur de la discussion kolargool
  • Date de début Date de début

kolargool

schtroumpf CoCo
VIB
Qui est Strauss-Kahn ? par Raoul Marc Jennar


militant et chercheur altermondialiste http://www.jennar.fr/


depuis quelques temps, ces médias nous abreuvent d’articles et de sondages de
nature à nous convaincre que Dominique Strauss-Kahn, s’il est candidat aux présidentielles, a toutes les chances de battre Sarkozy. Sans jamais nous rappeler ce qu’il a fait quand il était ministre de Jospin et ce qu’il fait à la tête du FMI bien entendu.


.../...Il me paraît indispensable de rappeler les choix qui furent ceux de Strauss-Kahn quand il était ministre de l’Economie, des Finances et de l’Industrie de Jospin :


* la privatisation des banques publiques : le GAN, le CIC, la Marseillaise de Crédit, le Crédit Lyonnais, le Crédit Foncier de France, le Groupe Caisse d’épargne. Après le passage de Strauss-Kahn, il n’y a plus de secteur financier public. Les autres privatisations,sous l’impulsion de Strauss-Kahn, le gouvernement Jospin a davantage privatisé que les
gouvernements de droite présidés par Balladur et Juppé : Airbus, France Télécom, Thomson-CSF, Thomson Multimedia, Air France,

* la libéralisation du secteur de l’énergie : Strauss-Kahn, qui défend les négociations de l’OMC, soutient l’adhésion du gouvernement Jospin aux propositions européennes (Barcelone) qui vont permettre ensuite à la droite de privatiser EDF-GDF.

* c’est lui qui met en place le régime des stocks options avec plusieurs mesures favorables à cette manière de rémunérer les hauts-dirigeants d’entreprises

* c’est lui qui lance l’idée de fonds de pension « à la française »

* c’est lui qui pousse Jospin à renier les engagements pris par le PS devant les électeurs, en 1997 : défendre et renforcer les services publics, défendre Renault-Vilvoorde, poser quatre conditions pour le passage à l’euro

C’est Strauss-Kahn qui, en 1999, a proposé Pascal Lamy pour que celui-ci devienne le Commissaire européen au commerce international (avant de devenir ensuite, directeur général de l’OMC).

En 2005, Strauss-Kahn fait campagne pour le « oui » au TCE.

Le directeur général du FMI est fidèle à l’ancien ministre de Jospin. Sous son impulsion, le FMI instrumentalise la dette publique des pays du Nord comme du Sud.


l'article complet dans le fichier joint
 

Pièces jointes

La France n'est pas un îlot économique et industriel autonome. Elle ne vit pas en autarcie.

L'URSS et la Chine ont essayé le communisme.....Ces deux "pays" représentaient (l'URSS a explosé) 1/4 de la population mondiale.....et ils ont dû changer de direction.

Puis, ces deux entités n'étaient pas un modèle de démocratie.

Et les pays satellites (Europe de l'Est) sont entrés dans l'E.U. Personne ne les y a obligés.
 
je pense qu'aucun pays membre ne se plaint de sa gestion. :)


Surement puisque c'est l'un des leurs :cool:

La moindre des choses c'est qu'il arrête de tromper le petit peuple et qu'il prenne sa carte a UMP au lieu de se faire passer pour un socialiste.

Jaurés doit se retourner dans sa tombe.
 
Surement puisque c'est l'un des leurs :cool:

La moindre des choses c'est qu'il arrête de tromper le petit peuple et qu'il prenne sa carte a UMP au lieu de se faire passer pour un socialiste.

Jaurés doit se retourner dans sa tombe.

Exactement. Il n'est, hélas, pas le seul socialiste qui n'a de socialiste que la carte d'adhésion.
 
Qui est Strauss-Kahn ? par Raoul Marc Jennar


militant et chercheur altermondialiste http://www.jennar.fr/


depuis quelques temps, ces médias nous abreuvent d’articles et de sondages de
nature à nous convaincre que Dominique Strauss-Kahn, s’il est candidat aux présidentielles, a toutes les chances de battre Sarkozy. Sans jamais nous rappeler ce qu’il a fait quand il était ministre de Jospin et ce qu’il fait à la tête du FMI bien entendu.


.../...Il me paraît indispensable de rappeler les choix qui furent ceux de Strauss-Kahn quand il était ministre de l’Economie, des Finances et de l’Industrie de Jospin :


* la privatisation des banques publiques : le GAN, le CIC, la Marseillaise de Crédit, le Crédit Lyonnais, le Crédit Foncier de France, le Groupe Caisse d’épargne. Après le passage de Strauss-Kahn, il n’y a plus de secteur financier public. Les autres privatisations,sous l’impulsion de Strauss-Kahn, le gouvernement Jospin a davantage privatisé que les
gouvernements de droite présidés par Balladur et Juppé : Airbus, France Télécom, Thomson-CSF, Thomson Multimedia, Air France,

* la libéralisation du secteur de l’énergie : Strauss-Kahn, qui défend les négociations de l’OMC, soutient l’adhésion du gouvernement Jospin aux propositions européennes (Barcelone) qui vont permettre ensuite à la droite de privatiser EDF-GDF.

* c’est lui qui met en place le régime des stocks options avec plusieurs mesures favorables à cette manière de rémunérer les hauts-dirigeants d’entreprises

* c’est lui qui lance l’idée de fonds de pension « à la française »

* c’est lui qui pousse Jospin à renier les engagements pris par le PS devant les électeurs, en 1997 : défendre et renforcer les services publics, défendre Renault-Vilvoorde, poser quatre conditions pour le passage à l’euro

C’est Strauss-Kahn qui, en 1999, a proposé Pascal Lamy pour que celui-ci devienne le Commissaire européen au commerce international (avant de devenir ensuite, directeur général de l’OMC).

En 2005, Strauss-Kahn fait campagne pour le « oui » au TCE.

Le directeur général du FMI est fidèle à l’ancien ministre de Jospin. Sous son impulsion, le FMI instrumentalise la dette publique des pays du Nord comme du Sud.


l'article complet dans le fichier joint
ce monsieur est un guichetier (aux compétences douteuses) du capitalisme mondial le plus immoral
 
Surement puisque c'est l'un des leurs :cool:

La moindre des choses c'est qu'il arrête de tromper le petit peuple et qu'il prenne sa carte a UMP au lieu de se faire passer pour un socialiste.

Jaurés doit se retourner dans sa tombe.
par delà strauss kahn pour qui j'ai pas vraiment de sympathie , c'est tout la gauche européenne qui a viré a droite ,et pour la seule raison qu'ils ne croient plus a leurs idées d'antan
les idées socialistes sont maintenant devenus des idées d'extrêmes gauches défendu par un melenchon ou un chavez que les fuites de wiki qualifie de fou
 
Il faut dire que le travailliste Blair n'a pas brillé par une politique de travailliste...
Peut-être que le socialiste Strauss Kahn compte briller avec une politique un peu moins socialiste que ne l'indique la dénomination de son parti... ;)

Et puis Mitterand, qui a donné le pouvoir au socialistes, n'est pas connu pour avoir été un socialiste convaincu... ;)
 
Qu'on le veuille ou non, nous vivons TOUS (sauf la Corée du Nord) dans un système capitaliste dans lequel les capitaux sont fournis très majoritairement pas des privés (personnes ou sociétés) et très minoritairement par l'État.

La concurrence est acharnée. Les écarts de richesse entre pays et entre particuliers sont trop importants.

Le problème? TOUS les pays qui ont essayé un autre système sont.....plus pauvres car moins productifs .....et donc moins riches

Moins de richesse à répartir....

Je ne parle pas des pays pétroliers.
 
Qui est Strauss-Kahn ? par Raoul Marc Jennar


militant et chercheur altermondialiste http://www.jennar.fr/


depuis quelques temps, ces médias nous abreuvent d’articles et de sondages de
nature à nous convaincre que Dominique Strauss-Kahn, s’il est candidat aux présidentielles, a toutes les chances de battre Sarkozy. Sans jamais nous rappeler ce qu’il a fait quand il était ministre de Jospin et ce qu’il fait à la tête du FMI bien entendu.


.../...Il me paraît indispensable de rappeler les choix qui furent ceux de Strauss-Kahn quand il était ministre de l’Economie, des Finances et de l’Industrie de Jospin :


* la privatisation des banques publiques : le GAN, le CIC, la Marseillaise de Crédit, le Crédit Lyonnais, le Crédit Foncier de France, le Groupe Caisse d’épargne. Après le passage de Strauss-Kahn, il n’y a plus de secteur financier public. Les autres privatisations,sous l’impulsion de Strauss-Kahn, le gouvernement Jospin a davantage privatisé que les
gouvernements de droite présidés par Balladur et Juppé : Airbus, France Télécom, Thomson-CSF, Thomson Multimedia, Air France,

* la libéralisation du secteur de l’énergie : Strauss-Kahn, qui défend les négociations de l’OMC, soutient l’adhésion du gouvernement Jospin aux propositions européennes (Barcelone) qui vont permettre ensuite à la droite de privatiser EDF-GDF.

* c’est lui qui met en place le régime des stocks options avec plusieurs mesures favorables à cette manière de rémunérer les hauts-dirigeants d’entreprises

* c’est lui qui lance l’idée de fonds de pension « à la française »

* c’est lui qui pousse Jospin à renier les engagements pris par le PS devant les électeurs, en 1997 : défendre et renforcer les services publics, défendre Renault-Vilvoorde, poser quatre conditions pour le passage à l’euro

C’est Strauss-Kahn qui, en 1999, a proposé Pascal Lamy pour que celui-ci devienne le Commissaire européen au commerce international (avant de devenir ensuite, directeur général de l’OMC).

En 2005, Strauss-Kahn fait campagne pour le « oui » au TCE.

Le directeur général du FMI est fidèle à l’ancien ministre de Jospin. Sous son impulsion, le FMI instrumentalise la dette publique des pays du Nord comme du Sud.


l'article complet dans le fichier joint

c'est plus un sioniste au sevice d'israel ,est c'est vrais qu'il serait soutenus par eux est peut prendre facilement la place de sarko
un sioniste qui prend la place d'un autre ,,ca promet
 
* la privatisation des banques publiques :

* la libéralisation du secteur de l’énergie :
[...]

Au moins pour ces mesures, DSK ne fait qu'appliquer les directives européennes de libéralisation du marché de l'énergie (gaz, électricité, etc..) et du secteur bancaire pour éviter la prédation étatique. Le but affiché est clair, diminuer le poids de l'Etat et sa pléthore de fonctionnaires. Sarko a accéléré le mouvement par le non remplacement d'un fonctionnaire sur deux partant à la retraite.

En même temps, la France a t elle encore besoin de tant de fonctionnaires quand l'on paie nos impôts sur Internet, quand l'adossement de la redevance à la taxe d'habitation porte ses fruits, quand les tribunaux se jouxtent pour des compétences similaires et surtout, quand les salariés des collectivités territoriales n'ont cessé d'augmenter les taxes locales aux détriments des assujettis, quand la France vieillit?

DSK était déjà dans l'air du temps du capitalisme libéral. L'UE n'est d'ailleurs pas plus protectrice que le FMI en la matière. Ce capitalisme libéral rime forcément avec la diminution du poids de l'Etat. Un Etat qui a des déficits records bien loin des critères du PSC et qui flirtent avec les 144 milliards d'euros (7,5% du PIB) et la dette, les 1.500 milliards d'euros (+ 164 Mds d'euros sur 2009, 78,1% du PIB) et ce, sans compter les innombrables déficits sociaux : déficit des caisses de retraite, de la SS, etc..

Les risques sont connus : perte de souveraineté par la vente des OAT à des fonds souverains étrangers, accroissement du poids de la dette en cas de reprise et donc, des taux d'intérêts, perte de compétitivité face à un monde devenu "village planétaire".

Après, c'est un débat idéologique entre deux écoles de pensée. D'une part, l'école keynésienne dite de soutien à la demande qui voit le déficit positif comme une aubaine car elle soutient la demande des ménages et a des effets vertueux sur l'économie. D'autre part, l'école classique néolibérale dite de soutien à l'offre qui voit les rigidités du marchés, le trop plein de régulation comme des freins à la croissance et l'activité de la main invisible, alliée des marchés financiers. Pour cette dernière, on a vu le résultat avec la crise des subprimes mais aussi l'UE, le FMI que SuperSarko ont clairement pris le parti de la politique de l'offre avec la mise en place du bouclier fiscal (retoqué avant les élections présidentielles), la niche JF Copé, la suppression des droits de succession, la mise en place des forfaits de santé, le projet de suppression de la taxe professionnelle, des différentes strates de collectivités locales pour réduire la régionalisation comme suggéré par le rapport Balladur.
 
Qu'on le veuille ou non, nous vivons TOUS (sauf la Corée du Nord) dans un système capitaliste dans lequel les capitaux sont fournis très majoritairement pas des privés (personnes ou sociétés) et très minoritairement par l'État.

La concurrence est acharnée. Les écarts de richesse entre pays et entre particuliers sont trop importants.

Le problème? TOUS les pays qui ont essayé un autre système sont.....plus pauvres car moins productifs .....et donc moins riches

Moins de richesse à répartir....

Je ne parle pas des pays pétroliers.
Je ne suis pas souvent d'accord avec toi, mais la oui.

C'est évident on ne peut pas échapper au système capitalisme a part si un mouvement mondial renverse ce système (ce qui me semble improbable)
 
Au moins pour ces mesures, DSK ne fait qu'appliquer les directives européennes de libéralisation du marché de l'énergie (gaz, électricité, etc..) et du secteur bancaire pour éviter la prédation étatique. Le but affiché est clair, diminuer le poids de l'Etat et sa pléthore de fonctionnaires. Sarko a accéléré le mouvement par le non remplacement d'un fonctionnaire sur deux partant à la retraite.

En même temps, la France a t elle encore besoin de tant de fonctionnaires quand l'on paie nos impôts sur Internet, quand l'adossement de la redevance à la taxe d'habitation porte ses fruits, quand les tribunaux se jouxtent pour des compétences similaires et surtout, quand les salariés des collectivités territoriales n'ont cessé d'augmenter les taxes locales aux détriments des assujettis, quand la France vieillit?

DSK était déjà dans l'air du temps du capitalisme libéral. L'UE n'est d'ailleurs pas plus protectrice que le FMI en la matière. Ce capitalisme libéral rime forcément avec la diminution du poids de l'Etat. Un Etat qui a des déficits records bien loin des critères du PSC et qui flirtent avec les 144 milliards d'euros (7,5% du PIB) et la dette, les 1.500 milliards d'euros (+ 164 Mds d'euros sur 2009, 78,1% du PIB) et ce, sans compter les innombrables déficits sociaux : déficit des caisses de retraite, de la SS, etc..

Les risques sont connus : perte de souveraineté par la vente des OAT à des fonds souverains étrangers, accroissement du poids de la dette en cas de reprise et donc, des taux d'intérêts, perte de compétitivité face à un monde devenu "village planétaire".

Après, c'est un débat idéologique entre deux écoles de pensée. D'une part, l'école keynésienne dite de soutien à la demande qui voit le déficit positif comme une aubaine car elle soutient la demande des ménages et a des effets vertueux sur l'économie. D'autre part, l'école classique néolibérale dite de soutien à l'offre qui voit les rigidités du marchés, le trop plein de régulation comme des freins à la croissance et l'activité de la main invisible, alliée des marchés financiers. Pour cette dernière, on a vu le résultat avec la crise des subprimes mais aussi l'UE, le FMI que SuperSarko ont clairement pris le parti de la politique de l'offre avec la mise en place du bouclier fiscal (retoqué avant les élections présidentielles), la niche JF Copé, la suppression des droits de succession, la mise en place des forfaits de santé, le projet de suppression de la taxe professionnelle, des différentes strates de collectivités locales pour réduire la régionalisation comme suggéré par le rapport Balladur.

Ziryab aime ça...(à la facebook) :D
 
les déficits budgétaires mènent à la ruine....

Voir la Grèce, l'Irlande, .....

Même mon épouse sait qu'elle ne peut pas dépenser plus qu'on ne gagne et qu'il faut en plus penser au remboursement de nos emprunts.

D'accord! Je dois le lui rappeler régulièrement .....;)
 
Au moins pour ces mesures, DSK ne fait qu'appliquer les directives européennes de libéralisation du marché de l'énergie (gaz, électricité, etc..) et du secteur bancaire pour éviter la prédation étatique.

J'aurai dit le contraire concernant les prédateurs... car l'etat a ma connaissance porterait mal ce qualificatif.


Le but affiché est clair, diminuer le poids de l'Etat et sa pléthore de fonctionnaires. Sarko a accéléré le mouvement par le non remplacement d'un fonctionnaire sur deux partant à la retraite.

Avoir beaucoup de fonctionnaires n'est pas une tare en soit.
Ce son des emplois qu'il faut juste savoir organiser et déployer.
Quand on voit les deserts dans certain secteur et lieux.


En même temps, la France a t elle encore besoin de tant de fonctionnaires quand l'on paie nos impôts sur Internet, quand l'adossement de la redevance à la taxe d'habitation porte ses fruits, quand les tribunaux se jouxtent pour des compétences similaires et surtout, quand les salariés des collectivités territoriales n'ont cessé d'augmenter les taxes locales aux détriments des assujettis, quand la France vieillit?

Peu etre que oui...
Je continue a envoyer ma feuille et me déplacer en banque pour retirer au guichet et avoir un etre humain a qui dire bonjour et au revoir.
Je suis comptant d'avoir une permanence du tresor publique et un bureau de poste quand j'en ai besoin sans avoir a faire 50 Km

../.. Un Etat qui a des déficits records bien loin des critères du PSC et qui flirtent avec les 144 milliards d'euros (7,5% du PIB) et la dette, les 1.500 milliards d'euros (+ 164 Mds d'euros sur 2009, 78,1% du PIB) et ce, sans compter les innombrables déficits sociaux : déficit des caisses de retraite, de la SS, etc..

Exact ... en meme temps combien d'exonération au capital ? qui prend en charge la misère quand d'autres nous y plongent ? qui s'occupe des GENS ?
Je suis sur que si l'on récupérait toute les exonérations , le trou serait en partie comblé.
De plus ce capitalisme libéral en allant toujours plus loin se déconnecte de plus en plus de l'essentiel... que devenons nous dans ce cas ? qu'elle est notre place ?

.../....
 
les déficits budgétaires mènent à la ruine....

Voir la Grèce, l'Irlande, .....

Même mon épouse sait qu'elle ne peut pas dépenser plus qu'on ne gagne et qu'il faut en plus penser au remboursement de nos emprunts.

D'accord! Je dois le lui rappeler régulièrement .....;)


Mais personne ne prône les déficits !

Pourquoi ne pas prôner les recettes ?

Le plus important quand on "investit" c'est ce que cela nous rapporte.

Par exemple, le patronat en général n'a besoin que de main d'oeuvre sachant lire un plan, écrire et compter ..
Le reste, il s'en charge, il formera.

La philo, la musique, l'histoire Géo et la culture en générale , il trouve que c'est du gachis et que ca n'a aucun intérêt ,aucun retour sur l'investissement.
 
Mais personne ne prône les déficits !

Pourquoi ne pas prôner les recettes ?

Le plus important quand on "investit" c'est ce que cela nous rapporte.

Par exemple, le patronat en général n'a besoin que de main d'oeuvre sachant lire un plan, écrire et compter ..
Le reste, il s'en charge, il formera.

La philo, la musique, l'histoire Géo et la culture en générale , il trouve que c'est du gachis et que ca n'a aucun intérêt ,aucun retour sur l'investissement.



Juste une question.
En quoi le deficit public est-il un problème?
Pourquoi nous parle t-on autant de ce deficit alors que le vrai problème serait plutôt le fait que les etats ont perdu leur souveraineté monetaire.Les banques privées detiennent tout et dictent les politiques aux etats.
Le deficit ne serait pas un problème en soi si les banques ne detenaient pas le pouvoir monetaire.

C'est un systeme qui a echoué,on peut parler auatnt que l'on veut de productivité du systeme libéral,des profits etc...mais il n'en reste pas moins que ce systeme ne profitent qu'aux plus riches.
Les ecarts se creusent au niveau national et au niveau international cest encore pire.Les pays du Sud s'ecroulent sous le poids des plans d'ajustement structurel,l'abandon des cultures vivrieres pour une culture tournée vers lexportation,les dettes illegitimes,environnement dévasté...tout va de plus en plus mal pour eux.

C'est un echec mais quand tout va mal l'être humain reproduit ce qu'il sait faire sans même se poser la question d'une alternative.
On est pas prêt de sortir de ce système...
 
Il y en a une? Expliquez-nous!

Kolargool, je suis d'accord avec ta conception de l'école: instruire, former et forger l'esprit et la personnalité du citoyen de demain. La culture, le sport, .... font partie de l'enseignement à dispenser dans toutes les écoles.

Les entreprises reçoivent des personnes généralistes ou préparées à une profession mais c'est à chaque entreprise à les former pour être efficaces, performantes, chez elles.

Il ne faut pas toujours prendre les déclarations des uns ou des autres littéralement au mot. Personnellement, les responsables et les chefs d'entreprise souhaitent cette formation pour leurs propres enfants.

Pour la rentabilité il est clair que les patrons souhaitent que les impôts (impôt des sociétés, impôt des personnes physiques) et les taxes qui donnent les moyens (recettes) indispensables à l'État soient réduits....et répartis sur "les autres" (bouclier fiscal).
Il ne faut pas s'étonner qu'ils souhaitent moins de fonctionnaires (dépenses).

C'est le jeu politique. ;)
 
Qui est Strauss-Kahn ? par Raoul Marc Jennar


militant et chercheur altermondialiste http://www.jennar.fr/


depuis quelques temps, ces médias nous abreuvent d’articles et de sondages de
nature à nous convaincre que Dominique Strauss-Kahn, s’il est candidat aux présidentielles, a toutes les chances de battre Sarkozy. Sans jamais nous rappeler ce qu’il a fait quand il était ministre de Jospin et ce qu’il fait à la tête du FMI bien entendu.


.../...Il me paraît indispensable de rappeler les choix qui furent ceux de Strauss-Kahn quand il était ministre de l’Economie, des Finances et de l’Industrie de Jospin :


* la privatisation des banques publiques : le GAN, le CIC, la Marseillaise de Crédit, le Crédit Lyonnais, le Crédit Foncier de France, le Groupe Caisse d’épargne. Après le passage de Strauss-Kahn, il n’y a plus de secteur financier public. Les autres privatisations,sous l’impulsion de Strauss-Kahn, le gouvernement Jospin a davantage privatisé que les
gouvernements de droite présidés par Balladur et Juppé : Airbus, France Télécom, Thomson-CSF, Thomson Multimedia, Air France,

* la libéralisation du secteur de l’énergie : Strauss-Kahn, qui défend les négociations de l’OMC, soutient l’adhésion du gouvernement Jospin aux propositions européennes (Barcelone) qui vont permettre ensuite à la droite de privatiser EDF-GDF.

* c’est lui qui met en place le régime des stocks options avec plusieurs mesures favorables à cette manière de rémunérer les hauts-dirigeants d’entreprises

* c’est lui qui lance l’idée de fonds de pension « à la française »

* c’est lui qui pousse Jospin à renier les engagements pris par le PS devant les électeurs, en 1997 : défendre et renforcer les services publics, défendre Renault-Vilvoorde, poser quatre conditions pour le passage à l’euro

C’est Strauss-Kahn qui, en 1999, a proposé Pascal Lamy pour que celui-ci devienne le Commissaire européen au commerce international (avant de devenir ensuite, directeur général de l’OMC).

En 2005, Strauss-Kahn fait campagne pour le « oui » au TCE.

Le directeur général du FMI est fidèle à l’ancien ministre de Jospin. Sous son impulsion, le FMI instrumentalise la dette publique des pays du Nord comme du Sud.


l'article complet dans le fichier joint

DSK bourreau des pays dévellopés, quand on enfonce des millions de personnes avec une gestion du FMI qui me fait penser à une pieuvre indétachable...

Pauvre Marie elle va se faire plumé
 
Exact ... en meme temps combien d'exonération au capital ? qui prend en charge la misère quand d'autres nous y plongent ? qui s'occupe des GENS ?
Je suis sur que si l'on récupérait toute les exonérations , le trou serait en partie comblé.
De plus ce capitalisme libéral en allant toujours plus loin se déconnecte de plus en plus de l'essentiel... que devenons nous dans ce cas ? qu'elle est notre place ?

.../....
C'est pourquoi je ne voterai jamais pour la droite,

C'est quoi le but premier pour nous les gens? Avoir une vie tranquille

C'est quoi le but premier d'un pays capitaliste? Faire de la money
 
.....;
Le classement des 100 «penseurs mondiaux» [global thinkers] du site spécialisé sur l’analyse des relations internationales Foreign Policy (FP, qui appartient au groupe Slate), publié pour la deuxième année, reflète ces changements dans l’ordre mondial. Si on retrouve à la première place ex-æquo les milliardaires et philanthropes américains Warren Buffet et Bill Gates, le classement récompense des économistes comme Nouriel Roubini (12e), des chefs d’Etat comme Barack Obama (3e) et Angela Merkel (10e) ou encore le gouverneur de la banque centrale chinoise, Zhou Xiaochuan (4e).

Côté français, le directeur du FMI Dominique Strauss-Kahn se place sur la 2e marche du podium, ex-æquo avec Robert Zoellick, le patron de la Banque mondiale.
....................
http://www.slate.fr/lien/30965/strauss-kahn-2e-classement-des-penseurs-mondiaux

http://www.foreignpolicy.com/2010globalthinkers
 
.....;
Le classement des 100 «penseurs mondiaux» [global thinkers] du site spécialisé sur l’analyse des relations internationales Foreign Policy (FP, qui appartient au groupe Slate), publié pour la deuxième année, reflète ces changements dans l’ordre mondial. Si on retrouve à la première place ex-æquo les milliardaires et philanthropes américains Warren Buffet et Bill Gates, le classement récompense des économistes comme Nouriel Roubini (12e), des chefs d’Etat comme Barack Obama (3e) et Angela Merkel (10e) ou encore le gouverneur de la banque centrale chinoise, Zhou Xiaochuan (4e).

Côté français, le directeur du FMI Dominique Strauss-Kahn se place sur la 2e marche du podium, ex-æquo avec Robert Zoellick, le patron de la Banque mondiale.
....................
http://www.slate.fr/lien/30965/strauss-kahn-2e-classement-des-penseurs-mondiaux

http://www.foreignpolicy.com/2010globalthinkers

Quel monde !

Les principaux penseurs sont ceux qui pensent au bifton
 
Retour
Haut