Qui manipule la police ?

  • Initiateur de la discussion Initiateur de la discussion KSENTINI
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Salam
Personne manipule personne
arrêté de trouver le mal la il faut pas
excecer ce métier et vous allez voir
combien il est difficile d'être un policier en 2016
C'est un râle bole général
il demande qu'on leur vient en aide
Et s'est connu la gauche à toujours délaissé le budget et les revendications des policiers
c'est pour ça qu'il sont majoritairement de droite
 
Ils ne sont pas manipulé ils se rend compte qu'ils ont mal fait leurs boulots car taper sur le citoyens lambda pour un pv de stationnement pourrir la vie au quotidiens a des milliers de français ils se rendent compte que les petites raclures monte en puissance c'est facile de taper sur le système judiciaire
Je pense qu'ils ont qu'a allez plus souvent au charbon car c'est eux qui ont mis en place des cités en lieux de non droit
 
Ils ne sont pas manipulé ils se rend compte qu'ils ont mal fait leurs boulots car taper sur le citoyens lambda pour un pv de stationnement pourrir la vie au quotidiens a des milliers de français ils se rendent compte que les petites raclures monte en puissance c'est facile de taper sur le système judiciaire
Je pense qu'ils ont qu'a allez plus souvent au charbon car c'est eux qui ont mis en place des cités en lieux de non droit
Ils n'y sont pour rien, leur Ministère qui donne des instructions pour ne pas provoquer d'émeutes, OUI !!!
Laisse les flics faire et ça va aller vite. Mais la justice ne suis pas ... et nos prisons sont des taudis.
 
Ils n'y sont pour rien, leur Ministère qui donne des instructions pour ne pas provoquer d'émeutes, OUI !!!
Laisse les flics faire et ça va aller vite. Mais la justice ne suis pas ... et nos prisons sont des taudis.
Bonjour Licornedame

Non je trouve réellement qu'ils ont trop laisser faire et maintenant ça monte en puissance Ils ont trop été laxiste
ils suffit de voir ce qui ce passe a Marseille les Zones de non droit c'est eux en ne s'impliquant pas danx ces cités
je pense que cette violence c'est le fruit de leurs laisser aller .Il est vrai qu'ils veulent plein pouvoir mais ils l'ont deja
Un dealer relâcher le lendemain a cause du procureur et bien je repare lui pourrir la vie C'esdt trop facile de dire c'est la faute de la justice et du Législateur .
 
Bonjour Licornedame

Non je trouve réellement qu'ils ont trop laisser faire et maintenant ça monte en puissance Ils ont trop été laxiste
ils suffit de voir ce qui ce passe a Marseille les Zones de non droit c'est eux en ne s'impliquant pas danx ces cités
je pense que cette violence c'est le fruit de leurs laisser aller .Il est vrai qu'ils veulent plein pouvoir mais ils l'ont deja
Un dealer relâcher le lendemain a cause du procureur et bien je repare lui pourrir la vie C'esdt trop facile de dire c'est la faute de la justice et du Législateur .
Ils reçoivent les ordres d'en haut nos flics. Je vais chercher un témoignage lu hier et tu vas comprendre comment ça se passe pour eux.
 
Un policier de Bordeaux témoigne : "On ne veut pas être pris pour des imbéciles"
A LA UNE / POLITIQUE / JUSTICE / Publié le 21/10/2016 . Mis à jour le 22/10/2016 à 07h39 par Olivier Saint-Faustin (SUD OUEST)

La grogne monte chez les policiers de France.
Un agent de la brigade anti-criminalité (BAC) de Bordeaux nous raconte son quotidienPar souci d'anonymat, nous l'appellerons Serge. Ce quadragénaire, policier "depuis plus de vingt ans", est aujourd'hui membre de la Brigade anti-criminalité (BAC) de Bordeaux. Il a d'abord exercé son métier en région parisienne avant de s'installer depuis plus de dix ans dans la capitale girondine.

Comme ses collègues, mobilisés depuis le début de la semaine dans de nombreuses villes de France, Serge est désabusé. En colère même. Contre la justice, contre sa hiérarchie, contre l'impunité présumée dont jouissent les délinquants, contre l'absence de soutien qu'il dit ressentir dans l'exercice, toujours plus complexe, de sa profession. "J'aime toujours mon métier", affirme-t-il néanmoins.
Son mal-être est pourtant palpable, reflet d'un "ras-le-bol" que le policier ne veut plus garder pour lui. S'il a choisi de témoigner, c'est pour faire connaître la réalité de son quotidien. Un témoignage édifiant, presque un appel à l'aide, entre frustration quotidienne et besoin de changement.

Vivre avec le danger
"La peur, on la ressent plus ou moins selon la ville où l'on est mais on sait que ça peut frapper partout maintenant. Même à Bordeaux, on n'est pas à l'abri d'un attentat terroriste, les autorités le savent. Le métier de "baqueux" (agent de la BAC, NDLR) est dangereux, quelle que soit la ville, même si Bordeaux est moins dangereux que Paris dans le sens où le phénomène de violence urbaine n'est pas à la même échelle qu'en région parisienne.
Mais quand on est en BAC, il n'y a pas de ville dans laquelle on peut se dire 'je ne suis pas en danger'. C'est la même chose pour les agents de police secours. C'est un métier où on risque sa peau."

"L'hostilité" des citoyens"
Il y a une hostilité vis-à-vis de nous de plus en plus grande. Quand tout le monde nous a applaudis après les attentats, on savait, au sein de nos rangs, que ça n'allait pas durer. On sait comment les gens réagissent. Le citoyen lambda a affaire une dizaine de fois à la police dans sa vie.

"C'est typiquement Français"
Nous sommes, dans la police, le reflet de la société et, il ne faut pas se raconter d'histoire, il y a des gens très bien chez nous mais il y en a d'autres qui le sont moins. Donc le citoyen qui va se faire arrêter dix fois, s'il tombe sur deux collègues qui ne se comportent pas bien, il ne va retenir que ces deux là et oublier les huit autres. C'est typiquement Français."

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Dernière édition:
Des priorités à revoir
"Les gens nous parlent souvent du code de la route et ça nous fait très mal. Car quand on voit la non-rigueur qu'il y a dans le cas des délinquants communs et la rigueur absolue qui s'applique aux délits liés au code de la route, ça interpelle.
Parfois, on manque de moyens, de matériel, et on nous dit qu'il n'y a plus de budget. Par contre, la voiture radar qui vaut 70 000 euros, elle, elle entre dans le budget. Elle est amortie très vite et rapporte de l'argent tandis que nous, en BAC… Il faut savoir que quand on arrête quelqu'un, il a droit à un avocat, un médecin et un coup de téléphone. Tout ça coûte de l'argent. Donc le calcul est vite fait. Nous, on coûte de l'argent quand on arrête quelqu'un tandis que la voiture radar rapporte rapidement…

"La mauvaise personne est bien celle qui va agresser"

Même s'il ne faut pas oublier que les véhicules sont plus performants qu'avant, cette stratégie de sécurité routière marche et les chiffres de la mortalité sur la route baissent grâce à l'application d'une tolérance zéro. Tandis que nous, en droit commun, quand on arrête des multirécidivistes, qui agressent, ils sortent trop rapidement !
J'ai vu le cas d'un jeune qui a fait des conneries pendant sept nuits d'affilée et à chaque fois qu'on l'a attrapé, il était relâché… Donc il ne faut pas se tromper. Entre quelqu'un qui roule à 56 km/h au lieu de 51 et quelqu'un qui va agresser une personne, dans le fonds, la mauvaise personne est bien celle qui va agresser."

Une justice trop laxiste ?
"Cette hostilité vis-à-vis de nous est liée au fait que la justice ne fait pas son travail. Les gars en face, on les arrête et deux ou trois jours après, et je suis gentil en disant deux ou trois, on les retrouve dehors. Donc déjà les individus se rendent comptent qu'ils ne risquent rien et en plus, ils font les cadors au sein de leur cité en disant qu'ils sont dehors alors qu'ils ont mis un flic au pas… Ils passent pour les héros de la cité.

"La sanction doit être dure et nette"
De la part de la justice, il faut plus de fermeté par rapport à ce genre de personne et aussi une fermeté absolue par rapport aux agressions commises contre les forces de l'ordre. Celui qui agresse les forces de l'ordre sait bien qui il agresse, que c'est une institution et qu'il risque gros s'il tape dessus. Donc imaginez ce qu'il fera s'il est face à un citoyen lambda ! Il va être encore plus violent car il y a moins de risque. Du coup, il faut vraiment montrer que quand on s'attaque aux forces de l'ordre, la sanction doit être dure et nette.
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Dernière édition:
Par rapport à la magistrature, les collègues se disent qu'on ne vit pas sur la même planète. Les magistrats ne connaissent pas vraiment notre métier, ne sont pas dans le feu de l'action. Ils sont déconnectés.
Quand on leur présente les gens dans leur bureau, ils sont beaucoup plus calmes que devant nous, disent qu'ils ont été frappés et que nous sommes des menteurs. Et certains les croient et mettent en doute ce que l'on rapporte ! S'il y a plainte, l'IGPN (la police des police, NDLR) enquête et on peut mettre en doute nos propos… On met notre parole en porte-à-faux par rapport à des délinquants, des gens pas crédibles qui peuvent avoir bu ou pris de la drogue ! Parfois, on se demande où on est..."

Un sentiment d'impunité chez les délinquants"
Durant les manifs de la loi travail, on voyait bien la haine dans le regard de certaines personnes. On sentait que si l'occasion de venir vous faire mal gratuitement se présentait, si ça dégénérait, il n'allait pas hésiter longtemps… Il y a aussi un certain laxisme car on est dans la politique du tout correct, que les manifs ne doivent surtout pas dégénérer.
Nous, dans les manifs, on sait dès le début où sont les casseurs. Si les pouvoirs politiques le voulaient vraiment, on aurait isolé le groupe ciblé et la manifestation se serait bien passée. Mais on est dans le "surtout pas de vagues"… ça ne fait pas bien aux infos donc on laisse faire…

"La police n'est pas crainte du tout et à juste titre"
Il y a un dicton chez nous qui dit "pour être respecté, il faut être craint". La police n'est plus crainte du tout et à juste titre. Elle est crainte par les honnêtes citoyens et sûrement pas par ceux qui devraient la craindre. On est beaucoup dans la passivité. On préfère avoir dix fonctionnaires blessés dans une manifestation plutôt qu'une image à la télé d'un fonctionnaire qui met une gifle. Sans montrer bien sûr qu'il en a pris pendant une heure avant, qu'il a pris des cailloux, des coups de pieds, etc. Le policier reste un être humain, il ne faut pas l'oublier.


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Nous, on n'a pas de filtre. La réalité, on la voit en direct. On prend tout en pleine gueule, on est en première ligne. Quand on arrive sur une agression, face aux victimes, qu'elles sont amochées, qu'on attrape l'auteur, on est content, il y a la satisfaction d'arrêter l'auteur, on se dit qu'on a fait quelque chose de bien. Et quand le lendemain on retrouve l'auteur dans la rue, qu'il vous rigole au nez, car c'est ce qui se passe, que voulez-vous dire… Si on donne trop d'importance à ça, on arrête le métier…

"Il y a 20 ans, ça ne se passait pas comme ça"
Avec cette impunité, pour les jeunes en face, c'est devenu un jeu. Ils picolent, passent la soirée, voient une voiture de police et se disent "allez, on va lui jeter des cailloux". Le temps que les collègues se rassemblent, que la hiérarchie en réfère au dessus, se demande ce qu'il faut faire, ils nous balancent des choses dessus car on ne charge pas…
Il y a 20 ans, ça ne se passait pas comme ça. Les collègues descendaient, disaient de se calmer et si le gars continuait, il prenait un coup. La fois suivante, quand il voyait la patrouille, il se disait qu'il valait mieux la fermer. Attention, je ne fais pas l'apologie de ce travail-là car il y a eu des abus à une époque. Mais beaucoup de collègues sont d'accord pour dire qu'avant c'était trop dans un sens et maintenant c'est trop dans l'autre. Il faut trouver un juste équilibre."

Une hiérarchie plongée dans les chiffres
"Notre ras-le-bol concerne aussi notre hiérarchie. Depuis des années, il y a eu des réformes et aujourd'hui, les patrons de la police ne sont plus des fonctionnaires de police mais des gestionnaires. Autrefois, ils connaissaient le métier de policier. Désormais, il faut que leurs statistiques soient bonnes et quand elles le sont, ils ont des primes. Donc il nous mettent la pression pour que les chiffres soient tenus car on leur met la pression. C'est valable à chaque échelle : le préfet à une prime et je crois que c'est aussi valable au-dessus… Et nous, pendant ce temps-là, on touche des clopinettes.
La hiérarchie ne prend pas ses responsabilités. Les responsables ne veulent pas qu'il y ait de vagues pour que leur carrière se passe comme il faut. Au bout du compte, il ne faut pas perdre de vue que le fonctionnaire qui risque sa vie, ce n'est pas le commissaire de police mais le gardien de la paix. Nous, on veut bien risquer notre vie mais derrière, on ne veut pas être pris pour des imbéciles."

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"Ras-le-bol" et lassitude"
Ce ras-le-bol est latent depuis quelques temps. Dans l'histoire des mouvements policiers, il y a toujours un moment tragique à l'origine. Là, il y a de l'accumulation depuis les attentats de Charlie Hebdo, de Paris, de Nice,… On a ajouté à ça Vigipirate à son niveau maximal, puis les manifestations contre la loi El Khomri et l'Euro, qu'on a fini éreintés. Et là, on a des collègues qui se font brûler dans une voiture… C'est une accumulation de choses qui font qu'on a décidé d'agir.
"Il y a des collègues qui pensent à changer de métier"Il y a des collègues qui pensent à changer de métier. Je connais peu d'entre eux, chez ceux qui ont des enfants, qui les inciteraient à devenir policiers… A l'époque, quand je suis entré dans la police, il y avait beaucoup de fils de collègues, les papas étaient contents que leurs enfants entrent dans la police, c'était une sorte de fierté, ça permettait de passer le flambeau. Aujourd'hui, je n'en connais pas un qui dit 'je veux que mon fils devienne policier'. C'est plutôt le contraire, ils veulent qu'ils fassent autre chose…
Personnellement, j'aime toujours mon métier mais pour continuer, il faut faire abstraction de la suite donnée à ce qu'on fait. Si on s'intéresse et si on donne de l'importance aux suites judiciaires données à nos arrestations, alors on arrête de suite le métier. "

Un mouvement téléguidé par le FN ?
"La rumeur d'un mouvement orchestré par le Front national fait sourire tout le monde chez nous. C'est ridicule. Je ne sais quelle est l'origine de cette info mais franchement, c'est ridicule et impossible. C'en est risible tellement c'est ridicule. C'est nous faire offense de penser qu'on se laisse manipuler. Le mouvement est parti de la base, aucun parti ni syndicat n'a initié le mouvement. Ceux qui pensent que c'est vrai doivent aller consulter."
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Les policiers veulent se défendre
"Le texte actuel concernant la légitime défense est fait de telle manière que grosso modo, quand on est en situation de légitime défense, si celui en face ne vous loupe pas, vous êtes mort. Le cas de Viry-Chatillon illustre bien le propos. Je suis persuadé que les collègues dans le véhicule, qui se sont retrouvés coincés, on dû se poser la question de savoir s'il fallait leur tirer dessus. Mais il y a une telle culture de la non-bavure policière que beaucoup ne sortent pas l'arme.
"On souhaite une présomption de légitime défense"Je sais, et on se le dit entre nous, que des collègues se sont retrouvés dans une réelle situation de légitime défense et qu'en raison de cette peur par rapport à l'usage de l'arme, ils sont posés la question et ce temps d'hésitation a pu leur être fatal. Dans ce type de situation, il ne faut pas hésiter.
Ce qu'on veut, c'est un assouplissement. On souhaite une présomption de légitime défense. Lors des manifs de 2005, les CRS se sont fait tirer dessus. L'administration s'est félicitée et a même décoré un officier car il a donné l'ordre aux collègues qui se faisaient tirer dessus de ne pas utiliser leur arme de service… On n'est quand même pas là pour se faire tirer dessus gratuitement ! Il y a une culture dans l'administration de la non-utilisation de l'arme parce qu'il ne faut pas faire de vagues… Nous, on voit juste que notre intégrité physique est menacée."

FIN
 
Merci licornedane
mais je note qu'a aucun moment il parle de laxisme de la justice il ne parle que de la peur
Donc pourquoi ont 'ils peur de quoi ?
Oups j'ai pas le reste il est vrai qu'il a raison mais c'est un cas parmis d'autres
cela dit je ne dis pas qu'ils font mal leurs boulots je dis simplement qu'ils trop minimiser les banlieues
 
Une justice trop laxiste ?
"Cette hostilité vis-à-vis de nous est liée au fait que la justice ne fait pas son travail. Les gars en face, on les arrête et deux ou trois jours après, et je suis gentil en disant deux ou trois, on les retrouve dehors. Donc déjà les individus se rendent comptent qu'ils ne risquent rien et en plus, ils font les cadors au sein de leur cité en disant qu'ils sont dehors alors qu'ils ont mis un flic au pas… Ils passent pour les héros de la cité.

Il en parle. Ce témoignage résume bien je trouve le malaise général de notre société. A force de vouloir du consensus pour ne pas avoir à répondre à une opposition quelconque ni expliquer pourquoi l'on agit de telle ou de telle façon, à force de ne pas vouloir stigmatiser, à force de laxisme, on en arrive là. Nos policiers ne sont que les derniers maillons de la chaîne de pouvoir.
 
Justement trop occupé a taper sur les cotoyens lambda et pour avoir delaissé les Cités et le mal etre
Sarko lui meme a supprimé des postes au sien de la Police il a retiré la police de proximité .
Et a faire la chasse au apprentie terro on oublie le reste

Content de l’échange d'ecris
Bon appétit
 
Justement trop occupé a taper sur les cotoyens lambda et pour avoir delaissé les Cités et le mal etre
Sarko lui meme a supprimé des postes au sien de la Police il a retiré la police de proximité .
Et a faire la chasse au apprentie terro on oublie le reste

Content de l’échange d'ecris
Bon appétit
Voilà Sarko entre autre, donc le pouvoir en haut de la chaîne.
Bon appétit à toi également.
 
Ils ne sont pas manipulé ils se rend compte qu'ils ont mal fait leurs boulots car taper sur le citoyens lambda pour un pv de stationnement pourrir la vie au quotidiens a des milliers de français ils se rendent compte que les petites raclures monte en puissance c'est facile de taper sur le système judiciaire
Occuper une place qui est interdite tu trouves ça normal ?
Je pense qu'ils ont qu'a allez plus souvent au charbon car c'est eux qui ont mis en place des cités en lieux de non droit
Ce sont les gouvernements précédents qui ont créé ces ghettos et qui ont entretenu cette délinquance . Il n'y a pas une grande
délinquance en col blanc depuis des décennies ? Mais cette délinquance est moins visible . Elle est très lâche
car elle tape presque tout le monde . Résultats 10 millions de chômeurs et 4000 milliards de dettes .

A la mort du Général la situation s'est dégradée en France et dans les DOM TOM . A qui profite ces crimes ?
 
Merci licornedane
mais je note qu'a aucun moment il parle de laxisme de la justice il ne parle que de la peur
Donc pourquoi ont 'ils peur de quoi ?
Oups j'ai pas le reste il est vrai qu'il a raison mais c'est un cas parmis d'autres
cela dit je ne dis pas qu'ils font mal leurs boulots je dis simplement qu'ils trop minimiser les banlieues

Dans cette campagne de manipulation, c'est bien le volet sécuritaire qu'utilisent les tireurs de ficelle. Tout se joue sur la peur. Si ceux qui sont chargés de notre sécurité disent qu'ils ont peur...que pensera le simple citoyen ? Il applaudira toutes les réactions des forces de l'ordre et se taira devant tous les excès. Ratonnades, camps de concentration et chartérisation massive.
 
Occuper une place qui est interdite tu trouves ça normal ?

Ce sont les gouvernements précédents qui ont créé ces ghettos et qui ont entretenu cette délinquance . Il n'y a pas une grande
délinquance en col blanc depuis des décennies ? Mais cette délinquance est moins visible . Elle est très lâche
car elle tape presque tout le monde . Résultats 10 millions de chômeurs et 4000 milliards de dettes .

A la mort du Général la situation s'est dégradée en France et dans les DOM TOM . A qui profite ces crimes ?

Non ce n'est pas logique et normal car il commence a avoir des derapages
la Police veut carte blanche
Tu parle de De Gaule mais le probleme de la racaille n'existait pas a l’Époque
 
le vote est un droit le probleme et pourquoi la majorité sont Fn

L'explication a été donnée dans plusieurs forum.

Pendant la colonisation, les petits pieds noirs algériens étaient fonctionnaires. Un statut qui leur accordait des salaires conséquents . Beaucoup étaient
policiers en particulier les corses . Après l'indépendance ,, ce beau monde a reflué en métropole où il fut mal accueilli. D'où la nécessité de resserrer les liens de la communauté qui se radicalisera et prendra les Arabes comme responsables de tous ses malheurs.
 
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