Baraka Merzaia est une artiste algérienne originaire de la région d’Adrar. Comme beaucoup d’habitants du sud du pays, elle a le teint foncé qui la fait passer pour une ressortissante d’un pays subsaharien.
À Alger, où elle habite, ce n’est que lorsqu’elle se met à parler en arabe algérois, qu’elle maîtrise fort bien, comme beaucoup de langues d’ailleurs, que les gens se rendent compte qu’elle est algérienne et non subsaharienne.
C’est cette méprise à l’origine de bien des comportements condamnables qu’elle a décidé de dénoncer sur les réseaux sociaux.
En quelques minutes, elle a résumé le calvaire que vivent certains gens de couleur dans leur propre pays. Remarques désobligeantes, propos vexants et qualificatifs racistes, la jeune femme dit qu’elle n’en peut plus.
À Alger, où elle habite, ce n’est que lorsqu’elle se met à parler en arabe algérois, qu’elle maîtrise fort bien, comme beaucoup de langues d’ailleurs, que les gens se rendent compte qu’elle est algérienne et non subsaharienne.
C’est cette méprise à l’origine de bien des comportements condamnables qu’elle a décidé de dénoncer sur les réseaux sociaux.
En quelques minutes, elle a résumé le calvaire que vivent certains gens de couleur dans leur propre pays. Remarques désobligeantes, propos vexants et qualificatifs racistes, la jeune femme dit qu’elle n’en peut plus.