Après le tollé soulevé au Maroc par la libération du pédophile espagnol Daniel Galvan, le ministère de la Justice a décliné toute responsabilité dans cette affaire. « Le droit de grâce est un droit garanti au Roi par la constitution, comme c'est le cas de tous les chefs d'Etat de par le monde. Le souverain l'exerce en fonction des intérêts de l'Etat lorsqu'il s'agit de ressortissants étrangers », apprend-t-on, ce vendredi, dans Les Inspirations ECO.
Le département de la Justice se lave complètement les mains et indique que la grâce accordée à Daniel Gavlan était « une pratique courante dans le cadre des relations diplomatiques amicales entre pays ». Selon lui : « s'il se trouve qu'une personne impliquée dans des crimes ignobles en ait profité, il n'en demeure pas moins que ce dernier a été aujourd'hui expulsé et interdit de séjour sur le territoire marocain ».
La tutelle a, par ailleurs, nié toute implication dans la préparation des listes de grâces des ressortissants espagnols. Elle a ainsi démenti toute pression du gouvernement espagnol et l’information selon laquelle un avertissement a été envoyé par le département de la justice au cabinet royal pour le prévenir du casier judiciaire du criminel.
Yabiladi
Le département de la Justice se lave complètement les mains et indique que la grâce accordée à Daniel Gavlan était « une pratique courante dans le cadre des relations diplomatiques amicales entre pays ». Selon lui : « s'il se trouve qu'une personne impliquée dans des crimes ignobles en ait profité, il n'en demeure pas moins que ce dernier a été aujourd'hui expulsé et interdit de séjour sur le territoire marocain ».
La tutelle a, par ailleurs, nié toute implication dans la préparation des listes de grâces des ressortissants espagnols. Elle a ainsi démenti toute pression du gouvernement espagnol et l’information selon laquelle un avertissement a été envoyé par le département de la justice au cabinet royal pour le prévenir du casier judiciaire du criminel.
Yabiladi