S'appuyant sur une centaine de témoignages de femmes et d'officiels ayant fui le pays, l'ONG Human Rights Watch dénonce en 2018 les violences sexuelles et sexistes qui seraient commises sur les femmes nord-coréennes par des hommes, en particulier ceux en position d'autorité (policiers et autres représentants de l'État). En 2015, une femme ayant fui la Corée du Nord, interrogée par le média sud-Coréen NK News, relate que le pays est patriarcal et que la seule promotion de l'égalité par l'État a visé à ce que les femmes travaillent davantage pour reconstruire l'économie après la guerre de Corée.
Le travail forcé serait très fréquent au sein d'un grand nombre de camps de détention, comme ceux de Yodok, Kaechon et Haengyong. Les premières photos satellites de ces camps ont été rendues publiques en 2002. En 2003, le nombre de travailleurs forcés est estimé entre 150 000 et 200 000. En 2009, des associations, qualifiant ces camps de camp de concentration, estiment le nombre de ces travailleurs à 300 000. En 2011 Amnesty International estime à 200 000 le nombre de personnes enfermées dans ces camps dans des conditions « atroces », camps en augmentation en taille et en nombre depuis dix ans.
En 2010, un nouveau rapport d'Amnesty International affirme, sur la base de témoignages individuels, que des milliers de Nord-Coréens sont contraints de manger de l'herbe et des écorces d'arbre pour survivre. Début 2011, la Corée du Nord lance un nouvel appel à l'aide alimentaire internationale. En 2012, des transfuges rapportent des cas d'anthropophagie en Corée du Nord.
Les pénuries alimentaires sont imputées par de nombreux experts à une mauvaise gestion de la part du gouvernement, et notamment au choix de consacrer une importante partie du budget aux programmes balistique et nucléaire.
Wikipedia
Le travail forcé serait très fréquent au sein d'un grand nombre de camps de détention, comme ceux de Yodok, Kaechon et Haengyong. Les premières photos satellites de ces camps ont été rendues publiques en 2002. En 2003, le nombre de travailleurs forcés est estimé entre 150 000 et 200 000. En 2009, des associations, qualifiant ces camps de camp de concentration, estiment le nombre de ces travailleurs à 300 000. En 2011 Amnesty International estime à 200 000 le nombre de personnes enfermées dans ces camps dans des conditions « atroces », camps en augmentation en taille et en nombre depuis dix ans.
En 2010, un nouveau rapport d'Amnesty International affirme, sur la base de témoignages individuels, que des milliers de Nord-Coréens sont contraints de manger de l'herbe et des écorces d'arbre pour survivre. Début 2011, la Corée du Nord lance un nouvel appel à l'aide alimentaire internationale. En 2012, des transfuges rapportent des cas d'anthropophagie en Corée du Nord.
Les pénuries alimentaires sont imputées par de nombreux experts à une mauvaise gestion de la part du gouvernement, et notamment au choix de consacrer une importante partie du budget aux programmes balistique et nucléaire.
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