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"Dire aujourd'hui quand nous reconnaîtrons l'État palestinien, c'est acter par avance l'échec de notre initiative", a-t-il dit lors de sa visite en Israël. A l’inverse de ce qu’avait déclaré Laurent Fabius fin janvier…
Le Premier ministre Manuel Valls a pris ses distances, dimanche 22 mai, avec la menace faite en janvier par Paris de reconnaître l'Etat palestinien en cas d'échec de l'initiative française pour relancer l'effort de paix avec les Palestiniens. Il a aussi déclaré, dans le quotidien palestinien "Al-Ayyam" que l'arrêt de la colonisation israélienne dans les Territoires palestiniens était un "impératif".
Le Premier ministre Manuel Valls a pris ses distances, dimanche 22 mai, avec la menace faite en janvier par Paris de reconnaître l'Etat palestinien en cas d'échec de l'initiative française pour relancer l'effort de paix avec les Palestiniens. Il a aussi déclaré, dans le quotidien palestinien "Al-Ayyam" que l'arrêt de la colonisation israélienne dans les Territoires palestiniens était un "impératif".
Fin janvier, Laurent Fabius, depuis remplacé au Quai d'Orsay par Jean-Marc Ayrault, avait affirmé qu'en cas d'échec de l'initiative française,
"nous devrons prendre nos responsabilités en reconnaissant l'Etat palestinien".Israël avait fait de ces propos l'un de ses arguments primordiaux contre l'initiative française en faisant valoir que celle-ci était inutile puisque le résultat en était connu d'avance.
"Plus le temps passe, plus la viabilité d'un Etat palestinien s'estompe"Jean-Marc Ayrault, qui a repris la conduite de l'initiative, a considérablement atténué le propos depuis en déclarant qu'une reconnaissance n'était pas "automatique" en cas d'échec. Manuel Valls a abondé dimanche : "L'objectif, c'est d'aboutir à la création d'un Etat palestinien. C'est de permettre que votre aspiration nationale puisse enfin se concrétiser. Dire aujourd'hui quand nous reconnaîtrons l'Etat palestinien, c'est acter par avance l'échec de notre initiative", a-t-il dit.
Le Premier ministre Manuel Valls a pris ses distances, dimanche 22 mai, avec la menace faite en janvier par Paris de reconnaître l'Etat palestinien en cas d'échec de l'initiative française pour relancer l'effort de paix avec les Palestiniens. Il a aussi déclaré, dans le quotidien palestinien "Al-Ayyam" que l'arrêt de la colonisation israélienne dans les Territoires palestiniens était un "impératif".
Le Premier ministre Manuel Valls a pris ses distances, dimanche 22 mai, avec la menace faite en janvier par Paris de reconnaître l'Etat palestinien en cas d'échec de l'initiative française pour relancer l'effort de paix avec les Palestiniens. Il a aussi déclaré, dans le quotidien palestinien "Al-Ayyam" que l'arrêt de la colonisation israélienne dans les Territoires palestiniens était un "impératif".
Fin janvier, Laurent Fabius, depuis remplacé au Quai d'Orsay par Jean-Marc Ayrault, avait affirmé qu'en cas d'échec de l'initiative française,
"nous devrons prendre nos responsabilités en reconnaissant l'Etat palestinien".Israël avait fait de ces propos l'un de ses arguments primordiaux contre l'initiative française en faisant valoir que celle-ci était inutile puisque le résultat en était connu d'avance.
"Plus le temps passe, plus la viabilité d'un Etat palestinien s'estompe"Jean-Marc Ayrault, qui a repris la conduite de l'initiative, a considérablement atténué le propos depuis en déclarant qu'une reconnaissance n'était pas "automatique" en cas d'échec. Manuel Valls a abondé dimanche : "L'objectif, c'est d'aboutir à la création d'un Etat palestinien. C'est de permettre que votre aspiration nationale puisse enfin se concrétiser. Dire aujourd'hui quand nous reconnaîtrons l'Etat palestinien, c'est acter par avance l'échec de notre initiative", a-t-il dit.