Etudes sans frontières : reconstruire le monde
Révoltés par les conflits politiques en Tchétchénie, une bande de copains crée en mars 2003 lassociation "Etudes sans frontières".
Son but : permettre à des étudiants de pays en conflit ou post-conflit de réaliser un cursus universitaire dans de bonnes conditions.
" Là-bas, toute une génération navait pas fait détudes, empêchant la relève : pas de médecin, ni journaliste, ni architecte Ce pays avait besoin dêtre reconstruit. Nous avons décidé de lui en donner les moyens, soit en accueillant des jeunes à Paris, soit en les aidant financièrement sur place" , explique Grégory, bénévole et étudiant à Science-Po.
Les candidats sont sélectionnés en fonction de leurs motivations et de la pertinence de leur projet de retour. Une fois en France, 40 bénévoles, tous de moins de 25 ans, assurent leur accompagnement : logement, cours de langue, inscriptions à la fac, conseils dorientation.
Grâce à eux, Lara est devenue styliste. Et Milana, écrivain-journaliste, est rentrée à Grozny pour reconstruire son pays. 21 étudiants tchéchènes ont suivi leurs études en France, et plusieurs antennes de lassociation ont vu le jour en Espagne, Italie et Allemagne.
En savoir plus : www.etudessansfrontieres.org
Florence Massin - Journaliste Reporters dEspoirs - http://www.reportersdespoirs.org
mam
Révoltés par les conflits politiques en Tchétchénie, une bande de copains crée en mars 2003 lassociation "Etudes sans frontières".
Son but : permettre à des étudiants de pays en conflit ou post-conflit de réaliser un cursus universitaire dans de bonnes conditions.
" Là-bas, toute une génération navait pas fait détudes, empêchant la relève : pas de médecin, ni journaliste, ni architecte Ce pays avait besoin dêtre reconstruit. Nous avons décidé de lui en donner les moyens, soit en accueillant des jeunes à Paris, soit en les aidant financièrement sur place" , explique Grégory, bénévole et étudiant à Science-Po.
Les candidats sont sélectionnés en fonction de leurs motivations et de la pertinence de leur projet de retour. Une fois en France, 40 bénévoles, tous de moins de 25 ans, assurent leur accompagnement : logement, cours de langue, inscriptions à la fac, conseils dorientation.
Grâce à eux, Lara est devenue styliste. Et Milana, écrivain-journaliste, est rentrée à Grozny pour reconstruire son pays. 21 étudiants tchéchènes ont suivi leurs études en France, et plusieurs antennes de lassociation ont vu le jour en Espagne, Italie et Allemagne.
En savoir plus : www.etudessansfrontieres.org
Florence Massin - Journaliste Reporters dEspoirs - http://www.reportersdespoirs.org
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