références de quelques récits afin d'élargir la compréhension

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salam aleykoum ...

Selon al-Thahabî :



"Abû Bakr compila les Hadîth du Prophète dans un recueil. Ils étaient environs 500 ...Hadîth. Puis, il ordonna qu'on allume un feu et il les y brûla"



(Tath-kirat al-Huffâdh, 1/5.).



'Umar Ibn al-Khattâb fit de même :



Il ordonna aux Musulmans de lui apporter leurs livres de hadith. Lorsqu'ils s'exécutèrent en croyant qu'il voulait les conserver et les protéger, il les mit au feu.



("Hujiyyat al-Sunnah" : 395 ; "Muqaddamat Ibn al-Çalâh" : 296.)



Ibn Sa'd rapporte ceci dans ses Tabaqât:

«Quand les hadîths se sont propagés à l'époque de 'Umar b. al- Khattâb, il pria les gens de les lui apporter. Une fois les écrits entre ses mains, il donna l'ordre de les brûler. »
(Ibn Sa'd, At-Tabaqât, 5/140, "Biographie d'Al-Qâsim Mohamed b. Abî Bakr".)



L'Ecole des califes prohiba donc l'écriture et la compilation de la sunnah prophétique jusqu'au bout du premier siècle de l'hégire. Mais cela ne lui suffisait pas. Elle prohiba aussi la narration du hadîth.
Quradzah b. Ka'b rapporta ce récit:

Quand le calife 'Umar nous envoya en Irak, il nous reconduisit jusqu'au Çurâr puis il dit:

-Savez-vous pourquoi je vous ai raccompagnés?»

- Pour nous tenir compagnie et nous rendre hommage, avons-nous répondu.

- Oui et une préoccupation avec! Vous allez en Irak, vous y rencontrez des gens qui s'occupent du Coran et le lisent d'une lecture qui rappelle le bourdonnement des abeilles. Ne les y écartez pas par les hadîths que vous rapportez à partir du Messager d'Allah et je suis votre associé!

Quradzah ajouta: «après cela, je n'ai rapporté aucun hadîth du Messager d'Allah (SAW)».



Dans une autre version: « Quand Quradzah b. Ka'b fut arrivé (en Irak), on lui demanda de rapporter des hadîths, mais il répondit: «'Umar nous l'a défendu».

( Ibn 'Abdil-Bar, Jâmi'u Bayân al-'Ilm, 2/147; Al-Khatib al-Bagdâdî, Sharaf Açâbil-Hadîd, p. 88; Adh-Dhahabî, Tadhkiratul …, 1/4-5)

Comme Quradzah b. Ka'b, d'autres Compagnons suivirent la politique des califes et s'empêchèrent de diffuser la tradition prophétique:

Ad-Dârimî rapporte ceci (Sunan, titre: "Ceux qui craignent de donner l'avis religieux", livre de la science 1/84-85).

Ash-Shi'bî dit: «j'ai accompagné Ibn 'Umar pendant un an sans l'avoir entendu rapporter un hadîth à partir du Messager (SAW)».

A son tour, Ash-Shi'bî b. Yazîd raconte: «J'ai accompagné Sa'd b. Abî Waqqâs jusqu'à Makkah puis jusqu'à Médine sans l'avoir entendu rapporter un hadîth à partir du Messager d'Allah (SAW)».





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En revanche, il y eut parmi les Compagnons ceux qui, en opposition à la politique des califes, rapportèrent la sunnah du Messager (SAW) quitte à subir des épreuves:



Dans Kanzul-'Ummâl, 'Abdur-Rahmân b. 'Awf dit:

«Bien avant sa mort, 'Umar fit venir à Médine les Compagnons du Messager d'Allah (SAW), qui s'étaient dispersés dans tous les horizons. Il fit venir 'Abdullah b. Hudhayfah, Abûd-Dardâ, Abû Dhar et 'Uqbah b. 'Amir et leur demanda:

- Quels sont ces hadîths que vous avez répandus dans les pays (les horizons)?

- Nous l'interdis-tu?, lui demandèrent-ils.

- Non, répondit-il. Mais restez ici près de moi. Par Allah, vous ne me quitterez pas, tant que je vis. Nous sommes plus savants (que les habitants des autres contrées musulmanes). Nous pouvons tantôt approuver ce que vous dites tantôt le récuser.

Ils restèrent alors près de lui jusqu'à sa mort».



(Al-Muttaqî, Kanz …, h/4865 (1ère éd.) ou n 1398)



Adh-Dhahabî rapporte que 'Umar emprisonna trois Compagnons pour propagation des hadîths prophétiques: Ibn Mas'ûd, Abû-Dardâ' et Abû Mas'ûd al-Ançârî.



(Adh-Dhahabî, Tadhkiratul-Huffâdz, 1/7)



Il disait souvent aux Compagnons: « Rapportez le moins possible de récits à partir du Messager d'Allah à l'exception de ce qui est nécessaire dans la pratique (du culte) ».



(Ibn Kathîr, Târîkh, 8/107)
 
salam aleykoum ...

Selon al-Thahabî :


"Abû Bakr compila les Hadîth du Prophète dans un recueil. Ils étaient environs 500 ...Hadîth. Puis, il ordonna qu'on allume un feu et il les y brûla"


(Tath-kirat al-Huffâdh, 1/5.).d'Allah (SAW)».


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Il n'y a pas que les hadith a avoir été détruit.
Les différents versions initiales du Coran aussi ont été détruites.
 
je pense que tu devrais revoir ta présentation ca donne vraiment pas envie de lire et puis si tes sources sont internet tu te fatigues pour rien...
 
je pense que tu devrais revoir ta présentation ca donne vraiment pas envie de lire et puis si tes sources sont internet tu te fatigues pour rien...


non c un frère ki sy connait ki ma envoyer cela ...car il etudie cela depui des années ...mai les references son vrai par contr desolé pr la presentation ct un copié collé dune page ...
kALLAH ten recompense davoir fai leffort de lire ...
 
tu peu parler 50 000ans le QURAN EST INATTAQUABLE !!!!!!

voilà mes notes sur la mise par écrit du Coran .

-Mise par écrit définitive du Coran au VIIIème siècle. Et non pas sous le règne d’ Othman (644-656) 3è calife, comme le veut la légende musulmane.
Les premières mises par écrits dateraient du vivant de Mahomet à Médine. Des écrits disent que Aïcha gardait des « cuirs sur lesquels était le Coran qui fut écrit de la bouche de l’envoyé de Dieu ». Différents secrétaires : Zayd Ibn Thâbit, un médinois Ubbay Ibn Kab et Abdallâh ibn Sad. Ce dernier s’étonne de voir que ses propres suggestions pour finir des versets sont reprises par Mahomet. Il perd la foi en l’inspiration divine du Coran, s’enfuit et échappe de peu à la condamnation à mort de Mahomet.

Les écrits de la tradition portent la trace de la satisfaction de Omar, le futur calife, qui voit ses suggestions politiques reprises dans des « révélations » dans les jours qui suivent, de même Aïcha constate avec humour qu’Allah révèle volontiers des versets adaptés au soucis domestiques du prophète dans la gestion de sa dizaine d’épouses.

Après la mort de Mahomet, deux versions des traditionalistes musulmans existent : l’une dit que Zayd Ibn Thâbit a écrit sous la dictée de Mahomet, l’autre qu’il aurait refusé d’obéir à Omar et Abu Barhr qui lui demandait de mettre par écrit le Coran : « Feriez-vous donc ce que l’envoyé de Dieu n’a pas fait ». Cette version aurait été confiée à Hafsa, la fille d’Omar, une des épouses de Mahomet.
Ali, le gendre du Prophète, fondateur du chiisme aurait été détenteur d’un Coran autonome collecté dès la mort du prophète.
Vers 645, Hudayfa, un juif converti à l’Islam, remarque que les musulmans récitent des Corans différents. Il demande au Calife Othman de fixer le coran. Bukhari rapporte les paroles de Hudayfa : « Rattrape cette umma avant qu’elle ne diverge sur le Livre comme ont divergé les juifs et les chrétiens. » Othman récupère donc les feuillets (suhuf) de Hafsa, pour élaborer le premier codex et demande de brûler « toute autre version existante »
Les récits des traditionalistes jusqu’au Xème siècle rapportent qu’il y a eu de multiples corrections du Coran tout au long du VIIème siècle : ainsi deux gouverneurs omeyyades d’Irak ont modifié le texte. Ubbayd Allah, vainqueur d’Ali à la bataille de Kerbala en 680 dit qu’il a « ajouté 2000 harf au codex » Un harf étant une lettre, un mot, une proposition ou un mode de lecture. Ubbayd Allah est assassiné par les chiites en 686.
Son successeur Hajjaj procède également à des interventions directes sur le Coran : à priori uniquement en corrigeant l’orthographe et la ponctuation et en améliorant l’ordre des sourates et des versets. Certains récits affirment qu’il exigeât la destruction des autres versions.

Le Coran a été encore remanié dans la première moitié du VIIIème siècle.

Cela provient de textes daté du VIIème siècle qui racontent en arabe toutes ces hésitations de rédaction.
 
voilà mes notes sur la mise par écrit du Coran .


Les écrits de la tradition portent la trace de la satisfaction de Omar, le futur calife, qui voit ses suggestions politiques reprises dans des « révélations » dans les jours qui suivent, de même Aïcha constate avec humour qu’Allah révèle volontiers des versets adaptés au soucis domestiques du prophète dans la gestion de sa dizaine d’épouses.

Après la mort de Mahomet, deux versions des traditionalistes musulmans existent : l’une dit que Zayd Ibn Thâbit a écrit sous la dictée de Mahomet, l’autre qu’il aurait refusé d’obéir à Omar et Abu Barhr qui lui demandait de mettre par écrit le Coran : « Feriez-vous donc ce que l’envoyé de Dieu n’a pas fait ». Cette version aurait été confiée à Hafsa, la fille d’Omar, une des épouses de Mahomet.
Ali, le gendre du Prophète, fondateur du chiisme aurait été détenteur d’un Coran autonome collecté dès la mort du prophète.
Vers 645, Hudayfa, un juif converti à l’Islam, remarque que les musulmans récitent des Corans différents. Il demande au Calife Othman de fixer le coran. Bukhari rapporte les paroles de Hudayfa : « Rattrape cette umma avant qu’elle ne diverge sur le Livre comme ont divergé les juifs et les chrétiens. » Othman récupère donc les feuillets (suhuf) de Hafsa, pour élaborer le premier codex et demande de brûler « toute autre version existante »
Les récits des traditionalistes jusqu’au Xème siècle rapportent qu’il y a eu de multiples corrections du Coran tout au long du VIIème siècle : ainsi deux gouverneurs omeyyades d’Irak ont modifié le texte. Ubbayd Allah, vainqueur d’Ali à la bataille de Kerbala en 680 dit qu’il a « ajouté 2000 harf au codex » Un harf étant une lettre, un mot, une proposition ou un mode de lecture. Ubbayd Allah est assassiné par les chiites en 686.
Son successeur Hajjaj procède également à des interventions directes sur le Coran : à priori uniquement en corrigeant l’orthographe et la ponctuation et en améliorant l’ordre des sourates et des versets. Certains récits affirment qu’il exigeât la destruction des autres versions.

Le Coran a été encore remanié dans la première moitié du VIIIème siècle.

Cela provient de textes daté du VIIème siècle qui racontent en arabe toutes ces hésitations de rédaction.

je connais ses faux recits pr attaquer le CORAN ,les chretiens on trahi lIngil comme les juifs on trahi la Thora et maintenan le diable veu ke les muslims trahissen le CORAN or ,tu es bien loin de comprendre que la foi né dune lecture du coeur ... inch ALLAH kALLAH te guide mai tepuise pa a msortir ses faux recits historiques ou meme si ya 50 000 docteur tu me fera pa douté du CORAN car contrairemen a toi je crois MON SEIGNEUR et non les humains ..;DIEU DIS QUIL PROTEGE LE QURAN IL EN ES LE GARDIEN et lerreur ne latteint de nulle pas ni par devant ni par derriere !
 
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