Bonjour, je tiens à partager avec vous ce poème qu'une personne que je connais a écrit :
Bonjour, je tiens à partager avec vous ce poème après les récents évènements, car plus que jamais nous devons rester unis : « Je suis allé partout chercher la vérité. J’ai pénétré dans des contrées ou la puissance et l’élévation de l’âme sont tolérés. J’ai franchi le portillon des églises pour mieux aller y déceler cette élévation à laquelle sont portés les croyants, puis j’ai prié sans que jamais mes prières ne soient pour un seul, mais pour l’universel.
Je me suis rendu dans les mosquées ou les croyances toutes unies forment un tissage d’une solidité inouïe que rien ne saurait délier. J’ai couvert mes cheveux et j’ai offert à l’universel mon humilité en priant en posture de révérence sous son regard divin.
Je suis allée à la synagogue, mû par la volonté d’un seul, puis j’ai donné à l’universel un concerto de sincères pr!ères.
Peu importe la croyance, seule la foi nous unit.
Au bord de la misère et devant la mort, c’est là que nous réalisons ce qui nous unit car faibles créatures, nous n’emportons avec nous dans la mort, pas un seul grain de poussière de ce monde.
Seul compte le parfum que votre âme y laisse qui doit être sans jugement et sans haine. »
Faith Fatih
Bonjour, je tiens à partager avec vous ce poème après les récents évènements, car plus que jamais nous devons rester unis : « Je suis allé partout chercher la vérité. J’ai pénétré dans des contrées ou la puissance et l’élévation de l’âme sont tolérés. J’ai franchi le portillon des églises pour mieux aller y déceler cette élévation à laquelle sont portés les croyants, puis j’ai prié sans que jamais mes prières ne soient pour un seul, mais pour l’universel.
Je me suis rendu dans les mosquées ou les croyances toutes unies forment un tissage d’une solidité inouïe que rien ne saurait délier. J’ai couvert mes cheveux et j’ai offert à l’universel mon humilité en priant en posture de révérence sous son regard divin.
Je suis allée à la synagogue, mû par la volonté d’un seul, puis j’ai donné à l’universel un concerto de sincères pr!ères.
Peu importe la croyance, seule la foi nous unit.
Au bord de la misère et devant la mort, c’est là que nous réalisons ce qui nous unit car faibles créatures, nous n’emportons avec nous dans la mort, pas un seul grain de poussière de ce monde.
Seul compte le parfum que votre âme y laisse qui doit être sans jugement et sans haine. »
Faith Fatih
