Grâce aux bénéfices apportés par le Mirror Group, avec beaucoup de magouilles et malversations, le magnat sioniste Robert Maxwell alias Jan HOCH de son vrai nom, avait injecté des millions dans l'entité sioniste, achetant des journaux, investissant dans des firmes pharmaceutiques et hi-tech et se hissant ainsi au rang de plus important investisseur individuel de toute l’économie israélienne.
L’homme d’affaires avait aussi commencé à transmettre des informations au Mossad qui devaient être utiles.
Lorsque la bulle financière avait éclaté dans les années 1980 et que les taux d’intérêt avaient grimpé en flèche, Maxwell avait désespérément jonglé avec les millions pour maintenir à flot son empire dévoré par les dettes et soutenir aussi le prix de ses actions, qui s’étaient effondrées.
Ses actifs avaient été vendus – et notamment le joyau de l’empire de l’homme d’affaires, la Pergamon Press –
il avait été amené à puiser de plus en plus dans les fonds de pension de ses entreprises.
Le 1er novembre 1991, Maxwell savait pertinemment que ses vols et ses tromperies étaient sur le point d’être découvertes. Une rencontre avec la commission d’audit du Mirror – au cours de laquelle la question du trou béant qui était apparu dans le fonds de pension allait être abordée – était prévue cinq jours plus tard.
De son côté, la police de la City, à Londres, attendait son tour en coulisses, après une alerte donnée par la Swiss Bank sur des « violations présumées de la loi » survenues dans l’empire de Maxwell.
Dans les semaines qui avaient suivi sa mort, la vérité sur ses pillages – 763 millions de livres manquaient dans ses entreprises britanniques, et notamment plus de 400 millions de livres qui avaient été directement prélevées dans les fonds de pension – et sur ses dettes avaient été révélées.
« L’escroc du siècle », avait titré en Une le magazine Newsweek pour l’occasion.
Sa fille Ghislaine Maxwell va s'illustrer dans des affaires glauques de mise à disposition de mineures à son amant Epstein et leurs amis ou relations.
Les chiens ne font pas des chats. Tromper et exploiter le goy par tous les moyens disponibles.
Ici avec le criminel sioniste de masse Sharogne
.